Salam Aleykum !
Bonne Lecture— T'es complètement fou !
Zakarya : Défends toi, non ? Si on te fait sa, tu resteras la à ne rien dire et simplement dire que je suis fou ? Encore faible.
— tu penses que toi tu es fort ?
Zakarya : Un homme te frappe, ta fait saigner, ta pousse violemment, et tu ne fais rien ? * Place sa main sous mon menton* Tu ne vas pas t'en sortir comme sa, tu seras tel une faible sans défense au yeux du monde, Layla. Si tu te fais battre, tu ne vas rien faire ?
Il a raison tout de meme, Salid et Ried m'ont battue, je ne me suis pas défendue c'est comme si j'avais montrer que j'étais faible, et c'est pour sa qu'il ont continuer ?
Non, c'était pas sa, c'est simplement qu'ils sont de vrai chien sans aucun respect.
— Tu insinue que Salid et Ried me battait car j'étais faible à leurs yeux ?
Zakarya sourit avant de me lâcher.
Je fronce les sourcils, pourquoi il rigole ?
Zakarya : J'aime bien quand tu comprends vite.
— Tu te trompe, ce n'est pas pour sa !
Je me lève, mais il me plaque au mur.
Zakarya : C'est à cause de quoi alors ?
— ...
Il passe sa main dans mes cheveux, puis met l'une de mes mèches derrière mon oreille.
— Arrête de fumer.
Zakarya : Sans la drogue je ne suis rien.
— C'est cette drogue qui va te tuer.
Zakarya : Une fois tu commences, tu finis. J'ai commencer avec la drogue, je vais finir avec la drogue.
— Ne dit pas sa ! Tu ne sais pas, et c'est pas bien, déjà tu nuis à ta santé e-
Zakarya : Rien a foutre de ma santé, tant que sa m'aide à aller mieux.
— Tu as l'impression, alors que non.
Zakarya : Pourquoi t'es gentille ?
— Comment sa ?
Zakarya : Je t'ai fais saigner et tu restes gentille et patiente.
— ...
Il n'avait pas tord, surtout que je réagissais de cette manière la, car contrairement à ce que ma famille m'a fait vivre, ce n'était rien.
J'ai jamais rien dit sur sa.
Zakarya : Pourquoi tu dis rien ? T'es pas normal.
— Et toi alors ?
Zakarya : Je le sais que je suis bizarre, je l'ai toujours su.
— Je ne voulais pas dire s-
Zakarya : Admet la vérité, ne te cache pas derrière des mensonges, tu me trouves bizarre ?
— Oui, mais pas autant que sa.
Zakarya : Bah.. toi aussi tu es assez bizarre.
— Ah ouais ? Pourquoi ?
Zakarya : On te frappe, on te maltraite tu ne dis rien, comment tu fais ? Je suis capable de tuer pour un coup et toi la seule chose si tu dis c'est « mais t'es complètement fou » si c'est pour dire sa ferme ta gueule.
— Tu veux que je te frappe ?
Zakarya : Pour que tu finisses à l'hôpital ?
— Ah bah non merci alors, j'ai assez squatter l'hôpital !
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La souffrance de nos cœurs
Rastgele𝐂𝐇𝐑𝐎𝐍𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐅𝐈𝐂𝐓𝐈𝐕𝐄 ‼️ 𝓤𝓷 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓹𝓪𝓼 𝓬𝓸𝓶𝓶𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮𝓼 𝓷é𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓪 𝓼𝓸𝓾𝓯𝓯𝓻𝓪𝓷𝓬𝓮 𝓮𝓽 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼. 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐚𝐢𝐦𝐚𝐧𝐭! 𝐄𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐦𝐢𝐬è𝐫𝐞 𝐢𝐥𝐬 𝐯...