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Wa Salam Aleykum.

BONNE LECTURE !

🥀.

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L A Y L A.

A quoi bon ? Ils m'ont retrouver m'enfuir dans une chambre n'allais servir à rien.

Je tombe la tête en arrière, la dernière image que j'ai pue voir était mon bras en sang et l'imagine était assez flou.

Je ne respirais presque plus, ma respiration se baissait de plus en plus.

TROU NOIR.

Me réveillant, je regarde autour de moi une chambre basique, je me lève puis avant vers la porte, même pas le temps d'ouvrir la porte  que j'ai sentie un violent coup en moi.

: Wa smeh, je t'ai fais mal ?

Je lève la tête en voyant une personne me disant rien du tout franchement.

— Tu es ?

: Ah bah moi je suis Zaïn ! Et toi ?

— Layla, mais t'es qui qui genre tu sers à quoi ?

Zaïn : T'es la fille de Nabil, c'est bien sa?

— Alors non ce n'est pas mon père, mais toi tu es qui ?

Zain : Un employé travaillant pour Farid ! Je vais rien te faire sincèrement je n'ai pas que sa a faire, je vais juste faire un peu exprès donc si tu peux crier pour « de faux » sa m'aiderais ! Merci d'avance si tu comptes le faire.

Farid ? Ce batard.

Il avait l'air quand même assez jeune, je dirais au moins 13ans pas plus .

— Mmh.. pas de soucie.

Je passe mes mains sur ma tête, je ressentais mes cheveux.

Puis je baisse la tête, j'étais habiller normal en sois.

Dès que j'ai vue sa j'ai eue les larmes au yeux, je sais pas pourquoi mais je me sentais super mal.

Zaïn : ah bah .. tiens !

Il me passe un assez long gilet avec un jogging bien large comme on aime.

— Merci énormément.

Je pars mettre sa, sa m'allait aller large mais sa m'arrangeait de fou, la couleur était noir, bref je met ma capuche histoire de cacher mes cheveux.

Je ressors de la salle de bain et questionne Zaïn.

— Il est ou ton foutue de patron ?

Zaïn : Sûrement entrain de travailler, mais s'il te plaît lui fait rien c'est mon oncle! Il a remplacer mon père que il est mort, même si mon oncle est une personne mauvaise il reste à avoir un bon cœur dans le fond.

— Ne t'inquiète pas, si il fait rien je ne fais rien !

Zaïn : Bah d'accord, tu veux je lui dise de venir ?

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant