WA SALAM ALEYKUM.
Bonne lecture !
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Je baisse la tête, il me violait.
Émir : Arrête de pleurer ! Ce n'est rien.
— Tu n'as pas le droit de me faire sa! * pleure, ayant la voix tremblante* tu n'as pas le droit..
Rien ? Il m'a détruite et ce n'est rien ?
Je ne ressentais rien à ce moment là, j'étais simplement vide, la seule chose que je ressentais était l'envie d'en finir.
D'en finir avec tout sa, je n'allais pas pouvoir supporter sa longtemps..
FLASHBACK.
Zakarya : Le consentement compte énormément, si je le fais sans le consentement d'une femme sa mériterais qu'on brûle mes couilles.
La manière dont il se comportait avec moi.. était comme si j'étais l'or d'un seule et unique désert.
C'est normal ! Mais .. n'ayant pas connue cela malheureusement sa m'affecte énormément, et sa me touche..
Je l'aime tellement.
FIN DU FLASHBACK.
Malgré ma peur, j'ai pris un briquet.
Il ne l'a pas vu, j'ai pris le briquet et je l'ai allumer.
Les flammes commencèrent de suite à toucher sa peau.
Émir : PUTAIN!
Il se décala de suite de mon corps, je lui met un violent coup de pied en plein ventre.
Mon seul moyen de défense, le bruler.
Je remet vite mes vêtements le cœur brûler.
Voulant partir mais je n'y arrivais pas, j'avais une douleur, une douleur m'empêchant de faire toute chose possible.
Je m'appuie au bord de la porte, les flammes s'enflammait.
Plus d'Emir, mais c'était trop tard le mal était déjà fais.
Il m'avait déjà salit, il m'avait tuer, tuer encore une fois.
Tuer mentalement, et sa plus d'une fois.
Sincèrement je n'arrivais pas à exprimer ce que je ressentais, juste, étant vide, je ne sentais plus rien, on m'a retirer tout, même la seule chose qui me restait a était retirer à cause de ce viole.
Plus rien ne me restait.
Les flammes s'agrandissaient de plus en plus, il n'y avais plus d'Emir?
Je forçais sur la porte, mais celle ci ne s'ouvrait pas.
Je regarde la fenêtre, elle était fermer.
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La souffrance de nos cœurs
De Todo𝐂𝐇𝐑𝐎𝐍𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐅𝐈𝐂𝐓𝐈𝐕𝐄 ‼️ 𝓤𝓷 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓹𝓪𝓼 𝓬𝓸𝓶𝓶𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮𝓼 𝓷é𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓪 𝓼𝓸𝓾𝓯𝓯𝓻𝓪𝓷𝓬𝓮 𝓮𝓽 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼. 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐚𝐢𝐦𝐚𝐧𝐭! 𝐄𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐦𝐢𝐬è𝐫𝐞 𝐢𝐥𝐬 𝐯...