La souffrance de nos cœurs

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WA SALAM ALEYKUM.

BONNE LECTURE.

🥀.

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L A Y L A

Zakarya restais neutre, je pointé l'arme sur lui.

J'allais tirer, je voyais le visage de Kelyen se réjouir.

Je n'ai pas attendue une seconde, je me suis retourner et j'ai tirer sur Kelyen.

Il a reçue la balle en plein cœur, puis il est tomber en arrière, tomber du toit.

Je voulais regarder mais le vide m'a fait mal à la tête, j'ai crue j'allais tomber jusqu'à ce que je sens qu'il m'attrape.

Je sentais ces mains sur ma taille, je me retourne et je place mes bras autour de son cou.

Putain, il m'a eut aussi facilement..

Parcontre je levais la tête haute, ce n'est pas normal d'être aussi grand.

On s'est embrasser, d'une manière si forte, que je ne saurais pas la décrire mais les papillons sont bien présent.

Nos lèvres comme nos souffles s'échangeaient entre eux, puis il lâche mes lèvres et plonge son regard dans le mien.

Son regard d'un noir sombre se plongeait dans le mieux, un regard aussi ténébreux me tenait notamment des frissons.

J'ai pue remarquer une cicatrice en dessus de son œil, mais je m'en foutait il était tout aussi beau.

Sa se rajoutait à son charme notamment, le charme est plus puissant que la beauté, et sa c'est vrai !

Beaucoup de charisme.

Il voyait très bien que je fixais ces yeux comme il le faisait.

Comment tu peux avoir un aussi beau sourire, de belle dent toute blanche et carré contrairement à certaine personne.

— Zakarya..

Zakarya : Oui ?

ZAKARYA A DIT OUI A LA PLACE DE OUAIS !

— Enfaite, c'est assez délicat.

Zakarya : Dit moi.

Son regard toujours plonger dans le mien, sa me stressait j'en bégayait j'étais tellement concentrer sur ces yeux.

— Arrête avec ce regard.

Zakarya : Et pourquoi donc ? C'est mon regard naturel.

— Sa me déconcentre.

Zakarya : Mon simple regard te déconcentre ? Et il te déconcentre en quoi madame ?

— Je veux te dire quelque chose d'important !

Zakarya : Dit le moi.

Je ne pouvais pas parler sans qu'il décroche ses yeux des miens et sans que je décroche les miens des siens.