56

309 14 3
                                    

Wa Salam Aleykum
Bonne lecture.

Zakarya : Tu parlais à qui ?

Je regarde son poing, je voyais bien qu'il se retenait.

— A Malak, car mon téléphone n'a plus de batterie et je me rappelle qu'elle m'avait dit des que je sors de l'hôpital je l'appelle et c'est ce que j'ai fais.

Zakarya : Sérieusement Layla, t'essaye encore de me mentir ? Tu mens bien mais t'es mensonges dures 2 seconde avec moi. Sa se voit quand tu mens.

— Tu veux savoir Zakarya ? Oui j'ai appeler quelqu'un afin d'essayer de savoir la vérité car tu ne veux rien me dire.

Zakarya : Ta appeler qui ?

Il la dit sur un ton sec.

— Tu as besoin de savoir , non.

Il me regarde droit dans les yeux avec un de ses regards qui donnaient des frissons.

— Arrête.

Il me plaque contre le mur, c'est la que j'ai vue ma vie défiler.

Il sorti une arme, ce n'était pas une fausse.

— T'es complètement f-

Il la pointe sur mon front.

Je regarde à l'autre bout de la salle, se trouvait des armes.

Il commence à mettre toute sa force sur ma gorge, je n'arrivais pas à respirer.

J'essayais de le dégager de mon corps, mais il avait toute son emprise sur moi.

Ma seule solution était de prendre l'une des armes au fond de la pièce.

Il allait appuyer, j'ai baiser la tête puis l'ai repousser.

Il avait lâcher son emprise sur moi, je me suis précipiter vers les armes, pendant qu'il me regardait en souriant.

J'ai pris une arme entre mes mains sous son regard infligent.

Zakarya : Vasy.

Mes mains ont commencer à trembler a l'idée de faire sa.

— Dit moi seulement que tu rigoles.

Zakarya se contente de sourie, je visais l'arme vers lui, j'ai tirer, bien sur je savais que l'arme n'était pas charger.

Zakarya : Encore un peu de travail et tu gères.

— C'est qu'un essaie ?

Zakarya : Ouais, histoire de voir comment tu te défends si ta des choses à revoir ou pas.

Sa me paraissait assez logique, si l'arme était remplis Zakarya n'allait pas me laisser lui tirer dessus.

Je repose l'arme ou elle était.

J'allais partir de la salle quand je sens une main sur mon bras.

— Lâche moi.

Zakarya : Qu'est ce qu'il y'a ?

— Tu m'as étrangler et tu demandes ce qu'il y'a ?

Zakarya : Pardon hayatım , je peux ?

P D V. YASMINE

Plusieurs jours dans cette cave de merde à ne rien foutre.

Kerim : Lève toi.

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant