La souffrance de nos cœurs

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Wa'Salam Aleykum

Zakarya : Layla ?

J'étais entrain de repenser à tout, ce qu'il a vécue avec sa famille.

- Oui ?

Zakarya : Arrête de penser à sa je sais même pas pourquoi jtai dis si c'est pour que tu commences à y penser toute tes nuits

- Mais c'est pas humain

Zakarya : C'est bon Layla, j'aimerais qu'on arrête d'en parler ok ?

- Mmh.

Zakarya : Stp Layla

- Mais wAllah c'est pas possible de faire

Zakarya : Je sais mais c'est passer

Je recommence à y penser, enfaite derrière chaque personne ce cacher vraiment un passer

Zakarya : Az viens laa

Le gars je vous dit il m'a pris il a commencer à me porter et il faisait genre il allait lâcher mon corps

- T'es fou lâche moi

Zakarya : Va te changer on sort.

Il pensais vraiment que sortir allais me faire oublier tout ce qu'il a vécu ?

Après, il me pose devant ma chambre

- taxis privé Za3rma ?

Zakarya : Ouais

- Fou rire

Zakarya : Quel fou rire ? Za3rma le rire il est fou

- T'es bête bref, jsuis déjà habiller

Zakarya : J'avais meme pas vue, passe devant

- T'es fou va toi devant

Pourquoi j'ai ouvert ma bouche ?

Il m'a pris en mode sac à patate.

Je commence à lui mettre des coups mais ce batard il ressentais rien

Il me met dans sa voiture, puis il monte après moi, je voulais vraiment savoir il m'emmenais ou, tant que je mange sa m'allait.

Zakarya : Az jt'emmène au grec 

- Jure trop bien wsh

Zakarya : Toi c'est trop tout te plaît

- Bah oui tant que j'ai c'est bon alhamdulilah

Zakarya : La bonne mentalité mais tkt princesse

- C'est normal en sah

Après une heure de route, on arrive dans une grand restaurant, tellement c'était grand, je refusais de croire que c'était un restaurant.

- On est passer devant le grec y'a 30 minute

Zakarya : Layla, Layla, c'est la que je t'emmène, sors.