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Wa'Salam aleykum.

Ce chapitre va contenir une scène -18, si vous ne voulez pas la lire, arrêtez vous à la phrase « Mais bon c'est la vie. » puis passer jusqu'au prochain passage que je mettrais en gras voilà mes bebetas !!

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Zakarya : Ce qui s'est passer et qui se passe c'est entre lui et moi.

— Mh, si tu le dis.

Je n'avais pas la force de forcer pour savoir, surtout avec lui.

— Merci..

Si je serais rester là bas, je sais pas ce qui aurait pue encore m'arriver, même si je sais que sa pourrait être rien contrairement à ce que qu'Enis et Farès m'ont fait.

Je voulais pas en parler à Zakarya, en tout cas pas maintenant, quand je me sentirais prête à en parler.

A cause de tout ce qui s'est passer, j'en ai même oublier l'histoire avec ma mère mais bon, on avait chercher et on l'avait trouver nul part.

Zakarya : Layla.. je m'occupe de tout repose toi.

— Zakarya, ma mère.

Zakarya : Je ferais tout pour que tu l'as vois

— Comment tes arrivé aussi vite ? T'étais à l'hôpital normalement.

Zakarya : Ne pose pas trop de question Layla, je suis juste partie j'allais pas te laisser encore quelque jours chez ce fils de pute, je suis arriver le plus vite possible.

— mmh, merci..

Zakarya : Je te laisse reposer habiba je vais voir quand tu peux sortir ok ?

— J'aimerais sortir d'ici le plus vite possible s'il te plaît..

Depuis le kidnapping de Farès, j'avais peur qu'il m'arrive la même chose et que je me fasse kidnapper de la même manière.

J'avais mal, je me sentais mal.

Zakarya : J'essayerais ok princesse ?

— Mh..

Zakarya allait partir mais j'attrape sa main.

— S'il te plaît me laisse pas seule comme la dernière fois.

Zakarya : Il Va rien se passer ok habiba ?

— Zakarya imagine on me refait comme on m'a fait la, j'ai trop souffert w الله.

Zakarya : Ok princesse je reste.

Il viens s'asseoir à côté de moi.

— Zakarya, tu penses vraiment qu'on trouvera ma mère ? Et si elle est vraiment morte ?

Zakarya : Dit pas sa Layla, on va sûrement  retourner en Espagne mais je continuerais mes recherches jusqu'à le trouver, et même si elle est vraiment morte comme tu le dis je ferai tout pour retrouver l'emplacement de son cercueil.

— Zakarya, retournons en Espagne s'il te plaît il sait passer trop de chose, j'arrive pas à rester la. Peut être si on retourne avec les autres ça va m'occuper un peu l'esprit tu trouves pas ?

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant