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Wa'Salam aleykum

Ce chapitre comme le chapitre d'avant contiendra des scènes de violences.

Chapitre 37.

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Je pensais c'était Zakarya mais non.

J'avais tellement Zakarya dans la tête  que j'espérais et je penser que c'était lui.

Les coups de feux continuer mais l'homme me fixer.

Zahym : We chef.

Chef ? J'avoue il avait l'air vieux sûrement 50ans je dirais.

L'homme : Farès mon fils, donc toi petite pute tu oses prendre Farès pour un imbecile ?

Zahym : Elle n'as rien fait, elle n'as rien à voir avec les problèmes de Zakarya et Farès. C'était un mariage forcé et sa vous pouvez rien y faire. Vous n'avez pas réussit à avoir Zakarya donc vous vous en prenez au femme ?

Il se lève et se met devant lui.

Zahym : Vous n'êtes pas des hommes, vous êtes des grosses merdes. Vous méritez même pas de respirer un souffle de cette terre tellement vous êtes des pourritures. Violée, frappée pour vos histoires haram ? Je vais rien dire de plus mais osez lui faire du mal je vous ferez regretter d'avoir mit un pied ici, Orospu çocuğu.

J'ai bien vue la haine dans les yeux de son père, mais il ne dit rien.

Je lui étais si reconnaissante, qu'il me protégeais, vraiment je savais pas comment le remercier.

Le père de Farès me lance un regard sombre.

Le père de F. : Tu regretteras ton existence Layla Ben T*****.

Il la dit en étant clair et net.

Après il est parti et les coups de feux ce sont arrêter, je voulais vraiment savoir d'où sa venait.

— Zahym c'était quoi les coups de feux ?

Zahym : T'inquiète reste ici.

Je le regarde bizarrement, biensur je l'ai pas écouter.

Je me suis lever et je suis sortie.

Je regarde par la fenêtre, l'homme que j'aimais Zakarya était sur un goûte de sang.

Mon cœur s'est brisé.

Je sais pas ce qui m'a pris je me suis empressée de prendre une arme, je savais que Farès était derrière tout sa.

Je cours dehors je m'en foutais des hommes de Farès, ils n'étaient pas là.

Farès était de dos à moi entrain de regarder l'homme que j'aimais en sang.

Je lui tire dessus.

Je lui ai tirer dessus.

Il tombe au sol.

Je m'approche de Zakarya, c'était finit ?

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant