La souffrance de nos cœurs

94

Wa salam a3leykum.

BONNE LECTURE !

🥀.

______________

L A Y L A

ZAKARYA : Apprend l'art du mensonge, tu ne sais vraiment pas mentir. Ouvre ta bouche avant que je tue quelqu'un au hasard.

— ...

J'allais vraiment lui sortir un « j'ai faillit me faire violer par un inconnu amis je lui ai tirer dessus parcontre donc je suis heureuse » dire que je suis heureuse serait un pur mensonge, le plus gros mensonge que je sortirais.

Peut être un jour je serais heureuse..

ZAKARYA : Oh!

—Désolée.. je vais boire de l'eau.

Zakarya me regarde en fronçant les sourcils, je ne pensais qu'à sa.

ZAKARYA : N'oublie pas que je t'aimerais jusqu'à mon dernière souffle Layla.

Je sors de la salle, je me retenais de verser des larmes.

M'avançant vers un distributeur d'eau, mais j'ai sentie comme une forte pression sur mon cœur.

Je me tenais au mur.

Je me suis assise, quand en levant ma tête j'ai vue plusieurs personne se dirigeant dans la chambre de Zakarya, les cries se faisait de plus en plus fort.

: Il peut mourrir à tout moment. Quelqu'un a débrancher les fils !

: Je pense que c'est trop tard.

: Non, rien n'est jamais trop tard.

Je voyais de plus en plus flou, puis, je ne sais pas ce qui s'est passer.

C'est comme un moment présentement, je me lève et regarde par la vitre de la chambre d'hôpital.

Plusieurs personne autour d'une seule et même personne.

Me dit pas que cet personne est Zakarya.

D'un coup je me sens pousser en arrière, j'avais perdue l'équilibre.

Je n'arrivais plus à supporter, si je le perdais, je perdais mon cœur avec.

Il ne pouvait pas partir mon cœur entre ces mains, c'est impossible.

FLASHBACK.

ZAKARYA : Je t'aime a en mourrir, tu le sais Layla ?

— Et moi alors ? Je t'aime à en mourrir aussi.

ZAKARYA : si demain on me dit de choisir entre ma vie ou la tienne, je choisirais la tienne.

— Sans toi je ne serais rien, toi même tu le sais!

ZAKARYA : J'ai fais une erreur d'apparaître dans ta vie ?