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Wa Salam Aleykum, bonne lecture ❤️

: Layla ?

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En me retournant je vois quelqu'un qui m'avait l'air familière mais j'arrivais pas trop à savoir qui c'était.

Comme si mon cerveau bloquée, trop bizarre.

— Peut-on parler plus tard s'il vous plaît ?

: Kesta tu nous la fais à la Molière et tu fais za3rma tu vois pas je suis qui.

— Tu me dis rien.

J'allais avancer mais la personne attrape violemment mon bras.

— Ça va pas! Lâche moi.

C'était un gars, un peu grand mais pas plus que Zakarya, avec une barbe et qui sent énormément le shit mélanger à l'alcool. J'arrivais pas trop à distinguer son visage vue que la lumière me taper dans les yeux.

J'allais rajouter un mot quand cette personne la commence a mettre sa main sur ma bouche et mon nez afin que je ne puisse plus respirer.

On connaît la mélodie

J'ai commencer à débattre comme jamais mais sa servait a rien, clairement.

J'ai entendue un tire d'arme de feu puis quelque crie, je voyais presque plus rien, j'avais d'un coup un mal de tête, les coups d'arme de feu se faisaient de plus en plus, puis d'un coup.. Plus rien.

[ ... ]

Je me réveille en ayant un mal de crâne, pas possible.

Je sens vraiment une odeur trop bizarre autour de moi et je ne me sentais pas alaise, vraiment pas.

Comment vous dire que je n'ai même pas eue besoin de réfléchir pour me dire que c'était un kidnapping ?

Sa paraît logique et bon ca m'étonne même pas.

J'me lève, puis avance vers quelque chose qui m'avait l'air comme une porte.

Biensur j'allais pas casser une porte en robe.

J'avais des habilles en dessus, je m'attache les cheveux en faisant un chignon en vite fait puis retire la robe.

En dessus j'avais un short qui m'arrivait jusqu'au genoux et un débardeur.

En regardant mon short, je vois une arme,heureusement qu'il me l'avait pas pris.

J'avais mie une arme au cas où.

Je sors l'arme et tire dans la porte en espérant qu'elle se casse ou bien quelque chose comme sa.

J'entends des pas se rapprocher, j'attends même pas je prépare mon arme.

Je vois la porte qui commence a se verrouiller et s'ouvrir.

Dès que j'ai vue son visage, j'ai tirée.

: SALE PUTE!

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant