Wa Salam Aleykum
Bonne lectureZahym : Tu regretteras !
— Écoute moi Zahym, si je voulais vous tuez, je le ferais, mais vous me faites tellement pitié que je ne le ferais pas. Des cons qui écoutent d'autre con, sa me fait de la peine tu vois ? Mais si je veux et j'aurais voulue je t'aurais tuer Zahym.
Zahym : ...
— Je vais le regretter ? Tu n'es capable de rien, rien du tout. Vous avez créé quelque chose de mauvais.
Zahym : ...
— Je t'ai laisser la possibilité de ma tirer dessus, pourquoi tu ne l'as pas fais Zahym, tu dis me faire regretter, mais quand tu as une grande possibilité tu ne le fais pas ?
Zahym : Farès est encore en vie.
— Donc tu retravailles pour lui ?
Zahym : Ouais.
— Faible, tu travailles pour un chien , tu deviens le chien.
Zahym : Le chien en question te tuera.
— Comme je l'es dis tu ne peux pas tuer une survivante, si tu aurais vécue tout ce que j'ai vécue tu serais mort à l'heure d'aujourd'hui.
Zahym : ...
— Encore une attaque, et je vous tues un par un sans pitié.
Je lui crache à la gueule, puis je pars.
[ ... ] A LA CASA.
En rentrant, je sent l'odeur du shit.
De la fumer envahie la maison avec l'odeur du shit.
Je rentre dans ce qui est sensée être la chambre de Zakarya, tout en bazar, du sang sur le sol, des cigarettes au sol, tout était casser.
Je regarde Zakarya assit sur son lit en fumant.
J'allais m'étouffer, comment c'est possible ?
Je me battais pour tenir début et rester consciente.
— C'est quoi sa ? Ce sang, cet fumer, ces choses casser.
Zakarya se lève, jete sa cigarette au sol.
Puis il me regarde, un regard tellement sombre que je ne saurais pas le décrire, une haine en lui..
Zakarya : J'vais te tuer, toi et ta vie..
— ...
Il s'approche de plus en plus, je reculais, il avançait.
Layla, ne te laisse pas faire.
J'arrête de reculer, je me tenais la, la tête haute.
Zakarya : Tu as des couilles.
— ...
Zakarya : T'es sur de vouloir me tenir tête.
Un coup je vole.
Un instant, j'avais peur, l'autre jamais mal, maintenant aucune douleur ne m'atteint.
— Ouais, je suis sur.
Il me plaque violemment au mur.
Zakarya : T'étais ou ?!
— Ou tu n'étais pas.
Zakarya : Tu sais que si je le souhaites, je te tue.
— Fait le alors, tu as besoin d'aide Zakarya ?
Je voyais très bien qu'il était agacer, sa ma fait sourire.
Zakarya : POURQUOI TETAIS AVEC CE FILS DE PUTE ?! TU SORS EN PLEINE NUIT POUR L'EMBRASSER ?!
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La souffrance de nos cœurs
De Todo𝐂𝐇𝐑𝐎𝐍𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐅𝐈𝐂𝐓𝐈𝐕𝐄 ‼️ 𝓤𝓷 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓹𝓪𝓼 𝓬𝓸𝓶𝓶𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮𝓼 𝓷é𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓪 𝓼𝓸𝓾𝓯𝓯𝓻𝓪𝓷𝓬𝓮 𝓮𝓽 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓵𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼. 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐚𝐢𝐦𝐚𝐧𝐭! 𝐄𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐦𝐢𝐬è𝐫𝐞 𝐢𝐥𝐬 𝐯...