62

216 10 3
                                    

Wa Salam Aleykum
Bonne lecture

Zahym : Tu regretteras !

— Écoute moi Zahym, si je voulais vous tuez, je le ferais, mais vous me faites tellement pitié que je ne le ferais pas. Des cons qui écoutent d'autre con, sa me fait de la peine tu vois ? Mais si je veux et j'aurais voulue je t'aurais tuer Zahym.

Zahym : ...

— Je vais le regretter ? Tu n'es capable de rien, rien du tout. Vous avez créé quelque chose de mauvais.

Zahym : ...

— Je t'ai laisser la possibilité de ma tirer dessus, pourquoi tu ne l'as pas fais Zahym, tu dis me faire regretter, mais quand tu as une grande possibilité tu ne le fais pas ?

Zahym : Farès est encore en vie.

— Donc tu retravailles pour lui ?

Zahym : Ouais.

— Faible, tu travailles pour un chien , tu deviens le chien.

Zahym : Le chien en question te tuera.

— Comme je l'es dis tu ne peux pas tuer une survivante, si tu aurais vécue tout ce que j'ai vécue tu serais mort à l'heure d'aujourd'hui.

Zahym : ...

— Encore une attaque, et je vous tues un par un sans pitié.

Je lui crache à la gueule, puis je pars.

[ ... ] A LA CASA.

En rentrant, je sent l'odeur du shit.

De la fumer envahie la maison avec l'odeur du shit.

Je rentre dans ce qui est sensée être la chambre de Zakarya, tout en bazar, du sang sur le sol, des cigarettes au sol, tout était casser.

Je regarde Zakarya assit sur son lit en fumant.

J'allais m'étouffer, comment c'est possible ?

Je me battais pour tenir début et rester consciente.

— C'est quoi sa ? Ce sang, cet fumer, ces choses casser.

Zakarya se lève, jete sa cigarette au sol.

Puis il me regarde, un regard tellement sombre que je ne saurais pas le décrire, une haine en lui..

Zakarya : J'vais te tuer, toi et ta vie..

— ...

Il s'approche de plus en plus, je reculais, il avançait.

Layla, ne te laisse pas faire.

J'arrête de reculer, je me tenais la, la tête haute.

Zakarya : Tu as des couilles.

— ...

Zakarya : T'es sur de vouloir me tenir tête.

Un coup je vole.

Un instant, j'avais peur, l'autre jamais mal, maintenant aucune douleur ne m'atteint.

— Ouais, je suis sur.

Il me plaque violemment au mur.

Zakarya : T'étais ou ?!

— Ou tu n'étais pas.

Zakarya : Tu sais que si je le souhaites, je te tue.

— Fait le alors, tu as besoin d'aide Zakarya ?

Je voyais très bien qu'il était agacer, sa ma fait sourire.

Zakarya : POURQUOI TETAIS AVEC CE FILS DE PUTE ?! TU SORS EN PLEINE NUIT POUR L'EMBRASSER ?!

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant