Matière 5.

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Lisant ce livre dans la bibliothèque du manoir. Une bibliothèque parfaitement bien ranger, on aurait même peur d'en prendre un, par mégarde, de tout déranger.

Ce livre qu'elle tenait à la main n'avait rien d'ordinaire, c'était l'œuvre de Lord Wingrave, un livre qui capta le monde d'entier, qui remportera un succès grandiose.
Elle ne savait, pas pourquoi elle avait eu cette curiosité, à découvrir ces écritures. Mais elle le trouvait si mystérieux et inaccessible.

— Je l'ignorai que c'est maintenant vous vous être intéressés par mes livres, dit-il d'une voix traînante.

Hope se leva du canapé précipitamment. En rangeant rapidement le livre, à la main.

— Je. Je voulais voir simplement un aspect de vos écrits...dit-elle en se mordant les lèvres nerveuses.

—Vous n'avez jamais lu l'une de mes œuvres.Très intéressant là au moins, j'aurai un point de vue différent, dit-il en s'approchant d'elle.

— Jamais, j'aurai cru que vous serez du style roman policier, comme Sherlock Holmes, ce personnage fictif britannique si célèbre.

—Ah bon ? Et comment vous avez imaginé
mon style, auparavant ?

— Et...bien...vous allez trouver cela stupide, mais je, vous vois dans le style des romans thrillers.
Lord Wingrave fut étonné de cette remarque.

—Vous voyez ce que je veux dire, se rattrapa-t-elle vu l'expression de son visage. Vous être tellement intriguant et mystérieux que je vous imaginais dans ce genre de roman. Même si les romans policiers ne s'éloignent trop de ceux-ci.

—Est-je l'air d'un criminel ?

— Vous êtes mystérieux et inaccessible, et par votre présence, vous vous imposez sur les lieux.

— Donc, si j'en conclus votre analyse. Mon comportement, et mon physique me donne l'air d'un criminel ?

Hope se sentit stupide d'avoir prononcé ses dires. Et maintenant, elle s'était payé sa tête.

— Non ! Je dis juste que vous être difficile à cerner ! Dit-elle honteuse.

— J'ai compris, miss Wilson, dit-il d'un sourire au coin.

Il la mettait dans des positions délicates. Et il s'en réjouissait. Elle cédait en s'emportant dans ces mots. Et il en sortait vainqueur.
Elle était perdante. C'était une nouvelle joie dans son cœur pour lui.

— Et d'ailleurs en ce qui concerne ce que vous avez déclaré précédemment. Il existe bien et bel, une différence entre les deux, les romans policiers et les thrillers.
Il metta ses mains dans ses poches.

— Mais les deux sont basés sur le thriller ?

— Cela reste quand même différent cependant :

— En ce qui distingue le polar du thriller qui est principalement basé sur l'intrigue. Or le thriller tient en haleine les lecteurs en montrant progressivement combien l'ennemi est dangereux pour le monde.

Hope, hoche la tête.

— Je crois qu'il est bien temps, de passer à l'interview. Vos questions sont-elles avec vous ?

— Oui, elles sont là.

— Donc que comme tout est prêt, on va aller dans mon bureau. On serra plus tranquille.

Hope serra son carnet, avec son stylo entre ses mains, et elle le suivit.
Il emprunta, un chemin assez sombre, et bien cacher à l'abri du regard.

Voire inexistant, après quelques marches. Elle était face, désormais, a un long couloir contenant, une porte lourde, massive, faite entièrement de noir, à l'autre bout, de ce couloir, elle crut un instant être dans le fond d'un tunnel. L'ambiance, le style, toutes ces choses qui montraient à l'inconnu que cela est un lieu interdit, du fait de la terreur qu'il dégage, et qu'il serait préférable de faire demi-tour.
De manière craintive, en s'avançant, il l'invita à entrer. Hope pouvait voir, un grand bureau fait de marbre en noir tâcher de blanc en plein milieu de la pièce. Lord Gabriel avait une vue parfaite de l'extérieur de sa demeure, surtout sur tout le jardin. Un minibar y était présent, ainsi qu'un salon avec une table basse.

Heart Hope. [ Lord Gabriel Wingrave ] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant