Heart Hope. [ Lord Gabriel Wingrave ]

Matière 37.

Public admonester. Présence d'une scène érotique.

— Oui, je t'entends, dit-il, les dents serrées. Tu te rappelles de la discussion qu'on a eut lorsqu'on avait parlé de mes aventures.

Comment l'oublier ? songea-t-elle.

— Ça, je l'avais bien compris et mémoriser. Tu ne t'étais jamais attaché à une femme. C'est également quelque chose de permanent. Pourquoi...tu veux revenir dessus ?

— J'avais remarqué, seulement ta déception. Surprise, elle releva sa tête.

— Mais, comment ?

— Tu es comme un livre ouvert, commence-t-il. Apparemment, tu ne me crois pas. Lorsque, je te dis qu'avec toi, c'est différent. J'en ai eu ça, c'est certain. Cela a toujours été mon meilleur travail.

— Oui, et je ne te demande pas de changer pour moi. Je l'ai bien comprise, dit-elle, en voulant s'en aller, tout en ayant peur d'avoir des sentiments pour rien. Il l'a retenu par son bras.

— Tu ne m'as pas laissé finir, dit-il en collant son dos contre son torse. Ce fut mon travail, mais toi, tu es littéralement en train de rentrer dans ma tête.

— Je n'ai pas envie, d'êtres comme elles.

— Et il est hors de question, que tu le sois, dit-il avec force. Hélas, je te le répète avec toi, ce n'est pas ordinaire.

Il l'emmena, dans sa chambre, pour poursuivre cette discussion et peut-être mettre certains, choses aux claires.

— Je te serre un verre moy sladkiy ?

— J'espère que ce ne sont pas des boissons fortes ?

Il eut un rire.

— Non, tu ne t'inquiètes pas, tu ne seras pas ivre, en tout cas pas comme la dernière fois. Ou tu as voulu t'enfuir, dit-il d'un rictus en se rappelant ce souvenir.

— Ce n'était pas ma faute, je te l'avais dit. Et jusqu'ici, je suis toujours là.

— Oui, tu as raison et tu es toujours ma prisonnière.

Sa prisonnière, il l'a voyait toujours de cette façon.

— Je pensais qu'on avait dépassé ce stade... déclare-t-elle timidement.

— Tu es m'ont invité, de ce point je te l'accorde, mais tu n'en demeures pas moins ma prisonnière, tu as assisté à des choses. Et je dois également te garder, car un pauvre amateur te cherche. Ne confonds pas les deux ma douce, il y a deux blocs différents.

C'était dur à entendre, mais ça ne s'éloignait pas de la vérité.

— Maintenant, revenons à notre discussion déclare-t-il, lui donnant son verre.

— Pose-moi toutes les questions que tu désires savoir, dit-il d'une voix, chaude et teintée d'une voix erotique.

— Pourquoi moi ? Je veux dire, je suis loin d'être l'une des femmes que tu as l'habitude de fréquenter.

— C'est vrai, tu es loin d'être les femmes que j'avais l'habitude de fréquenter. Tu es spéciale, une chose que je n'avais pas la chance de trouver, chez elles. Et c'est cette différence qui change tout.

— Et je ne peux l'expliquer, avec toi, je ressens un désir insoutenable et incontrôlable. Je me demande encore comment j'ai pu tenir jusqu'ici...

— Tenir, sur quoi ? Demande-t-elle.

Il rapprocha, son visage du sien.

— Sur tout ce que tu provoques en moi.

—Tu imagines si tu ne m'avais pas rencontré, comment ta vie serait ?