Heart Hope. [ Lord Gabriel Wingrave ]

Matière 15.

Debout à coter du taxi...Hope disait au revoir madame Black, qui affichait une mine triste.

— Vous allez manquer ici...miss, je vous souhaite bon courage pour la suite.

Hope reporta son regard sur le manoir, et dire que les choses se sont vite passées, et que maintenant pour ces adieux, elle assistait à un autre scène qu'à son arrivée.

la vielle dame voyant, le regard de Hope, se reporter sur le manoir. Elle savait, sans aucun doute, qui elle espérait voir.

— Ne vous en fait pas...dit-elle en suivant son regard. Il est très occupé en ce moment même. Sinon, je suis sûre qu'il serait là pour vous dire ces adieux.

Hope lui afficha un sourire triste.

— Merci...madame Black, c'est gentil...mon séjour ici, a été merveilleux.
À partir de maintenant, elle pourra faire décoller sa carrière. Son projet est la plus belle de ses réalisations, et elle en était fière malgré les difficultés ; la présence de cet homme dans la même pièce, qui en ce moment n'avait même pas prit la peine de lui déclarer ses adieux. Depuis ce soir, il avait complètement disparu, aujourd'hui les rôles était inversé, c'était lui qui la fuyait.

— Moi qui croyais, que vous resteriez pendant minimum quatre jours.

— Le travail a pris fin avant, j'ai été assez efficace madame Black. Ne vous en fait pas, il n'y a pas de problème.

— Vous savez être efficace, que c'est merveilleux. Bon et bien, faite bon voyage...

— Oui et merci encore...dit-elle d'un sourire sincère.
Hope monta dans le taxi, c'est avec regret sur cette fin décevante, de cette aventure qu'elle quitta les terres du manoir de LondonBlyManor.

Posant sa tête sûre, la fenêtre. Elle se rappela tous les faits, et c'est dans ses heures interminables du voyage qu'elle trouva le sommeil.

— Madame, vous êtes arrivé à destination.
La voix du taximètre la fut sortie de son sommeil, elle était vraiment exténuée à ce qu'elle constate. Descendant de la voiture après avoir réglé le taximètre. Elle prit son seul bagage, pour rentrer dans le hall de London Coorperation Of The Literature. Certaines femmes ne manquaient pas de lui jeter un regard hautain et méprisant. Apparemment, la menace de l'écrivain ne leur était pas encore digérée.

Continuant, son chemin en asseyant de ne pas prêter attention. Elle Se dirigea tout droit vers le bureau miss Jessel.

— Entrez... En entendant sa voix sèche, elle expira profondément, tout en fermant les yeux. Sa main sur la poignée de la porte, elle hésita une seconde à vouloir l'ouvrir. Mais il le fallait à tout prix.

Hope entra les mains jointes. Mademoiselle Jessel lui offrit un regard méprisant.

— Bonjour, mademoiselle Jessel...

— Bonjour... asseyiez-vous. Que me vaut cette visite ? Demande-t-elle sèchement.

— Eh bien...l'interview s'est terminé plus tôt que prévu, on a eu de l'avance et donc voila mon travail, dit-elle en lui donnant son rapport. Puis elle chiffonna le bout de sa jupe, nerveusement.

Miss, Jessel ne prenant même pas la peine de le regarder, qu'elle le jeta sur une pile de documents indésirables.

— Dite plutôt, qu'il s'est rendu compte que j'avais eu raison. Hope révéla la tête précipitamment en sa direction choquée de cette réponse.

—Et quand je pense que vous avez osé vous plaindre de moi et des autres candidates auprès de lui ! Vous êtes décidément une lâche miss !

— Non, madame, je vous assure que j'ai fait preuve de professionnalisme et le travail s'est terminé plutôt que prévue, se justifia-t-elle en sueur.