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Je suis concentré sur mes documents quand la porte de mon bureau s'ouvre à la volée sur Maria.
Chose que je déteste.
Maria — Vous êtes en retard à la réunion, monsieur Moretti est très énervé contre vous !
— Sors et toque.
Maria — Quoi ?
— J'ai dit ressort et toque.
Elle soupire en s'exécutant.
— Oui, bonjour Maria, que puis-je pour toi ?
Maria — Vous êtes en retard à la réunion.
Je regarde ma montre et effectivement je suis en retard.
— J'arrive.
Je prends mon Mac et sors du bureau, pour me diriger vers l'étage de la salle de réunion. Je vois quelques employés courir par ci par là.
Je dois m'inquiéter là ?
En passant devant la salle, tous les regards convergent vers moi. Je vois que tous les chefs de service sont là et qu'ils y'a d'autres personnes surment des actionnaires.
Je pousse la porte et récolte quelque regard satisfait de ces rats. Je me dirige vers la seule plage restante, celle à gauche de Moretti. Celui-ci regarde sa montre avant de me regarder longuement ses yeux parcourant mon corps. Monsieur est totalement à l'ouest.
Et bingo, j'ai pas mis du blanc pour rien, je compte bien gagné mon paris.
Il s'éclaircit la gorge.
Zyon — Quinze minutes de retard, tu m'impressionnes de plus en plus, Mendoza.
— Je te l'ai dit, c'est un talent inné chez moi.
Il sourit secouant légèrement la tête.
Emma — Comme je le disais avant que notre retardataire ne fasse son arrivée, notre chiffre d'affaires ne fait qu'augmenter. La nouvelle stratégie marketing d'Amina semble très efficace.
Zyon — Je vois.
? — Et concernant les ressources humaines ? L'homme est semble assez âgé, dans le début de la cinquantaine je dirais, darkskin et malgré ça assez beau.
— Eh bien, le personnel de la boite est bien traité. Les conflits sont minimes est assez facile à gérer, il a eu une vague d'embauche il y a moins d'une semaine donc tout est safe.
? — Mademoiselle, pouvez-vous me rappeler votre prénom ?
— Aleena Mendoza.
Et il s'étouffe carrément, les autres autour s'active pour lui donner de l'eau et de l'air. Mais Zyon reste les bras croisés, ne lui lançant à peine un regard.
C'est trop bizarre.
— Vous allez bien ?
Il hoche la tête en buvant son eau.
? — Monsieur Moretti, nous ferions mieux d'écourter la réunion pour que vous puissiez vous reposer.
Je fronce les sourcils, comment ça se reposer ? Zyon va très bien, c'est le tonton le problème.
Monsieur Moretti — Non c'est bon on peut continuer.
Et mon cerveau fait title.
Eh comment mon visage s'est froissé.
Je suis assise en face du père de Zyon, l'ancien amant de ma mère.
Le reste de la réunion se fait dans le plus grand des silences pour moi.
[...]
J'allais quitter la pièce quand le trompeur m'attrape par le bras, je m'en dégage bien rapidement.
— Que puis-je pour vous ?
? — Tu es bien la fille de Jordan et Savannah ?
— Effectivement.
? — Oh mon Dieu, tu as tellement grandis, la dernière fois que je t'ai vu tu avais à peine quelques semaines. Tu sais que je suis ton parrain ?
Je soupire, l'hypocrisie c'est pas bon deh. En plus ma mère chienne jusqu'au bout, elle le laisse être mon parrain comme si de rien était ?
— Qu'est-ce que vous voulez ?
? — Le numéro de ton père.
— Je ne pense pas qu'il veuille encore vous adresser la parole.
? — De quoi tu parles ?
— Ce que vous faisiez avec sa femme. Vous savez cette activité qui se pratique à deux dans une chambre, alors que chacun de vous été marié.
Il tire une chaise et s'assoit, prenant sa tête entre ses mains.
Je l'ignore et je suis prête à sortir quand je remarque que la pièce est vide et que Zyon est de retour. Il ouvre la porte et me regarde.
Zyon — Qu'est-ce que tu fais ? Viens.
? — C'est toi qui l'as dit à Jordan c'est ça ?
Zyon — J'ai même pas eu besoin de le faire et arrête de faire genre ça t'atteint on sait tous que non.
? — Tu sais même pas à quelle point je souffre tous les jours de ma vie, en sachant que j'ai perdu la femme de ma vie, mes enfants et mon meilleur ami à cause d'une bêtise que j'ai fais quand j'étais complètement ivre.
Zyon — Être bourré n'excusera jamais ce que tu as fait à ma mère, fallait retenir ta putain de bite au lieu d'aller baiser la femme de ton meilleur ami. Et estime toi heureux même si tu es triste tu as l'argent.
? — Cet argent ne me sert à rien si j'ai pas ma famille qui peut l'utiliser et tôt ou tard, tout cet argent sera tiens.
Zyon — Et j'en veux pas.
Mon patron m'attrape par la main et me traîne dans le couloir. Les employés chuchotent à notre passage mais monsieur s'en fout.
Vu la rapidité de ses pas, ma robe remonte.
Merde.
— Ma robe.
Il m'ignore.
— Zyon, ma robe !
Il grogne avant de ralentir légèrement le pas.
L'ascenseur s'arrête à notre étage et on sort, Maria nous regarde, ses yeux bloquant sur nos mains encore liées. J'essaye de m'en détacher mais il serre plus fort.
Zyon — Ne laisse personne nous déranger. Il dit froidement tandis qu'on entre dans son bureau.
Il est énervé, je le vois et je le sens.
Il enlève sa veste puis desserre sa cravate avant d'enlever les boutons de ses manchettes.
Zyon — Déshabille-toi.
— Pardon ?
Zyon — Déshabille-toi, Aleena, parce que si je le fais c'est avec des vêtements déchirés que tu rentreras.