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Ça fait vingt minutes qu'on est dans l'allée de la maison. Zyon fait que de me charier alors que je stresse a mort.
Zyon — Donc toi avec moi tu fais ta grosse gueule alors que t'es peureuse comme ça en réalité ? Il dit en partant en fou rire.
— Toi là si je m'en sors vivante, je te fais ta fête, t'es trop mesquin. Toi et ta nièce m'avaient empêché toute la journée de rentrer maintenant tu rigoles, ton big crâne.
Zyon — Bah fallait dire non.
C'est pas comme si j'avais dit une dizaine de fois non, hein.
— Moretti, hm. Je dis bien menaçante et tout.
Zyon — T'es sexy quand tu me menaces comme ça, ça m'excite.
— T'es qu'un pervers.
Zyon — C'est de ta faute aussi, t'es bien consommable et bien addictif.
— On dirait on t'a dit je suis de la bouffe.
Zyon m'ignore saisit son téléphone qui fait que vibrer depuis bad longtemps, affichant encore et toujours le même prénom Sienna. Et le même avec lequel il m'avait appelé l'autre jour.
Peut-être c'est son ex.
Il décroche en soupirant.
Zyon — Tu veux quoi ?
Pardon sécheresse pendant la période chaude en Afrique même est étonné.
Zyon — Je t'ai déjà dit que j'avais plus rien à te dire.
Zyon — Assume tes bêtises au lieu de faire la pute.
Zyon — C'est avec moi que t'ouvre ta grosse gueule qui te sert qu'à sucer ? Mdr.
Il rigole nerveusement, un rire bien nerveux, bien énervé.
Zyon — Carrément j'attends juste que t'apparaisses de nouveau devant moi, je vais tellement bien te tabasser. Et tu te souviendras de qui est qui, Sienna.
Pendant que cette Sienna parle, il raccroche et contracte la mâchoire avant de balancer son téléphone à l'arrière.
EH.
Pardon respectez les iPhone c'est trop chère cette merde là.
Il est très énervé et ça se sent, détendons tout ça.
