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J'essaye de reprendre le contrôle sur ma respiration qui ne veut pas redevenir régulière et mes jambes tremblantes. En voyant mon état, il sourit.
Zyon — Je t'ai déjà dit à quel point t'es belle quand tu jouis ? Il demande en posant un baiser sur ma poitrine nue.
Il ramasse ma robe et m'aide à la remettre.
Zyon — Tu fais plus ça.
— Quoi ?
Et voilà, ma voix est cassée maintenant.
Zyon — Ne mets plus de robe sans sous-vêtements, tu crois on vois pas comment tes fesses elle tchololo ?
Je rigole doucement.
— Et alors.
Zyon — J'aime pas qu'on regarde ce qui m'appartient.
J'ai eu chaud d'un coup, faut pas dire ce genre de chose comme ça wesh.
— Je t'appartiens grave pas monsieur.
Zyon — J'aime pas partager, Aleena.
— Et alors ? Jusqu'à preuve du contraire, je suis pas doté ni rien, Zyon.
Sa grosse main se pose sur mon cou qu'il serre légèrement.
Zyon — Je suis pas en train de blaguer ou truc du genre, c'est moi qui te baise donc personne d'autre te touches. Compris ?
— Pourquoi ?
Zyon — Je te partagerai avec personne, Aleena.
Vous savez les blancs ils utilisent une expression du genre « mon cœur s'est emballé ».
Là carrément le mien il a fait la même.
Est-ce qu'on disquette le neuf mois de quelqu'un comme ça la ?
Je soupire.
— Me demande pas une exclusivité que toi tu ne respecteras pas.
Zyon — Etqui dit que je ne la respecterai pas ?
En vrai qui ne tente rien n'a rien hein.
— Un écart, je dis bien un seul petit écart, on arrête tout. Je dis légèrement menaçante.
Zyon — Je t'ai dit d'arrêter de me menacer ça m'excite.
Je le pousse légèrement pour passer, vu qu'il est entre mes jambes. Il ne bouge pas d'un pouce et me regarde.
— Laisse-moi passer, j'ai faim.
Zyon — Mais tu viens de manger. Il dit amusé.
— Bah nan... oh le pervers.
Il éclate de rire et je le pousse encore mais rien.
— Okey tu as plus de force que moi mais est-ce qu'il y a besoin de me stigmatiser comme ça ?
Zyon — Oui madame. Il me vole un bisou avant de s'éloigner. Va manger et laisse-moi travailler sale grosse.
Il s'assoit a sa place initiale et je descends du bureau. Et directement je me prends un coup sur les fesses.
Zyon — Merde ça bouge bien deh.
— Je vais te niquer tu verras, chien sauvage.
Il a relevé sa tête en vitesse vers moi, carrément près a me sauter dessus. Alors je prends mes jambes à mon cou et fuis.
La porte claque légèrement attirant l'attention de Maria qui me lance un regard bien noir.
Je calcule pas et passe devant elle pour aller trouver à manger.
Maria — J'espère que la baise a été bonne.
Elle rigole.
Maria — C'est pour ça que tu m'avais dit d'arrêter et que je méritais mieux que ça, c'est parce que tu le voulais a toi toute seule ! Tu verras tu le perdras très bientôt.
J'aime pas ce genre de meuf qui se dispute pour un homme, mais encore qui n'est même pas le sien.
— Okey ma belle, la porte de son bureau est juste là. Je dis en lui pointant du doigt la porte. Si ça te suffit pas et que tu veux son adresse aussi je peux te le noter.
Je prends pas le temps d'écouter sa réponse et appuie sur le bouton.
Je me dirige vers la salle du personnel et quand j'ouvre la porte un gros silence s'installe
Oh j'ai fait quoi encore.
Je calcule pas et pars me faire un café, j'entends des gens applaudir. Je me retourne et vois la belle-mère de Cendrillon et ses deux fils comme j'aime les appelés.
Emma, Andy et Thomas.
Emma — Aujourd'hui tu m'as épaté, Aleena. Après Campian, Moretti fils tu veux Moretti père. T'as une de c'est facilité à collectionner les hommes.
Andy — Les hommes riches plutôt.
Thomas — C'est pour ça que tu mets autant de luxe, t'es une grosse michto.
Conscience — Mais peut-être les parents on l'argent où ça c'est exclu ?
Je rigole légèrement, j'ai tellement galéré avec eux que leurs paroles ne font plus rien.
— Et même si c'était vrai, et alors ? Ça ne regarde que moi.
Emma ouvre grand la bouche, choquée.
Emma — Alors tu acceptes que c'est vrai ?
— Vous m'avez déjà jugé non ? Donc je ne perdrai pas mon temps à m'expliquer.
Je retourne a ma fabrication de café quand une main se pose sur mon épaule. C'est Ashley.
Ashley — Je peux te parler en privé s'il te plaît.
J'hoche la tête et la suis hors de la pièce.
Ashley — J'ai entendu Emma et Maria parler tout à l'heure, elles veulent te faire suivre pour prouver que tu couches avec le patron. Pour ensuite faire fuiter une sextape et te faire licencier une bonne fois pour toute.
Mon café est carrément ressorti par mes narines.
Mais c'est qu'elle degré de méchanceté, ça ?
Ashley — Je sais pas s'il a vraiment une relation entre Moretti et toi. J'allais parler mais elle me coupe, et je ne veux pas savoir. Juste s'il te plaît, Aleena fait attention à toi. Elles veulent vraiment te détruire.
Je la remercie avant de la prendre dans mes bras et elle part.