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Le foot.
Le sport le plus populaire du monde et un de mes préférés. Je sais même plus quand j'ai commencé à aimer les matchs, peut-être le fait de grandir avec quatre garçons ?
C'est pour ça que j'ai accepté d'accompagner Kimia au match d'Alessandro.
Le seul inconvénient c'est que je vais revoir l'autre alors que ça fait bien quatre jours que je l'esquive.
On arrive au stade et, comme je m'y attendais, il y a beaucoup de monde. Le chauffeur qu'Alessandro a mis à notre disposition à du mal à trouver une place dans le parking, mais, après avoir tourné longtemps, il finit par réussir à se garer.
On entre dans les tribunes et nous cherchons des sièges.
Quand le chauffeur nous indique un autre chemin et nous mène vers les sièges VIP, qui sont à moitié remplis.
On s'installe devant pour une vue imprenable sur le terrain.
Je regarde les joueurs qui s'étirent et s'entraînent avec le ballon pas loin. L'équipe d'Alessandro porte un maillot rouge, tandis que l'autre équipe est en noir.
Je vois Alessandro qui est très beau avec sa tenue parler avec Zyon. Celui-ci porte un brassard avec un C inscrit dessus montrant qu'il est capitaine.
— Ah étonnant. Je dis sarcastiquement en ricanant légèrement.
[...]
Après quatre-vingt-dix huit minutes le match se finit avec une victoire pour nous. On se dirige vers la maison où se passera l'after, à presque cinq minutes du stade.
La musique résonne à l'extérieur et je suis choquée de voir autant de monde.
Quelques personnes discutent dans le jardin, un gobelet à la main.
J'entre dans la maison, la musique est tellement forte que j'hésite à me boucher les oreilles. Les lumières sont éteintes, quelques leds colorées projettent un faible éclairage.
Kimia — Allons chercher à boire.
Kimia m'attrape la main pour pas que nous soyons séparées.
La cuisine est pleine mais Kimia arrive à nous faufiler vers le comptoir où sont posés toutes sortes d'alcool. J'allais me servir quand Kimia arrache la bouteille de ma main et me tend un coca sherry.
— Mais ?
Kimia — Quitte ici, même.
J'allais répliquer mais j'entends la musique baisser et les gens commencent à s'agiter.
? — Veuillez accueillir nos joueurs !
Tous les gens crient en levant leur verre. L'équipe fait son entrée dans la pièce. Ils se sont douchés et sont bien habillés.
Après de longues acclamations, les gens retournent à leur occupation tandis qu'un groupe de filles entourent les joueurs.
Je vois Kimia commencer à monter en pression quand elle voit une fille coller un peu trop Alessandro qui la repousse quelques instants plus tard.
— Va le rejoindre wesh.
Kimia — Non, je veux pas te laisser seule.
Je souffle doucement.
— Je suis assez grande pour me gérer, Kimi, t'inquiète pas.
Kimia — Mais/
Je la coupe.
— Va orh.
Elle s'en va en me lançant quelques regards. Je la vois faire la bise a Zyon puis faire un câlin à Alessandro. Après quelques minutes, je la vois me pointer du doigt et Zyon se lève pour suivre la même direction.
Je comprend toute suite que c'est moi qu'il cherche, donc j'essaye de m'enfuir en me faufilant entre les gens, mais on m'attrape par la queue de cheval.
Mais wesh ?
Il me tire et sort de la cuisine par la porte arrière.
Il s'adosse au mur en me lâchant.
Zyon — Pourquoi tu me fuis ?
— Je te fuis pas.
Zyon — Regarde-moi dans les yeux quand je te parles.
Mon regard se plante dans le sien et sans faire exprès mon regard dévie légèrement sur ses lèvres.
— Je... je dois y aller.
J'essaie de passer mais il m'en empêche, me collant au mur.
Je le pousse, mais il ne bouge pas d'un millimètre.
— Dégage, orh.
Je le pousse à nouveau, mais zéro mouvement.
Mais c'est de l'insolence à ce niveau wesh.
Je suis nerveuse et il le sens, sa main se pose sur mon visage et rapproche mon visage du sien m'obligeant à me mettre sur la pointe des pieds, malgré mes talons.
Ce boug me déstabilise et me fait perdre le contrôle, une chose que je déteste plus qu'autre chose.
Ses lèvres se posent doucement sur les miennes, je passe les mains autour de son cou et je le tire vers moi.
Sans attendre, il pose ses mains sur mes fesses et me soulève, j'enroule mes jambes autour de sa taille et il me colle au mur.
Je sens ma jupe remonter, je sens une érection se former entre mes jambes, directement je sens mon bas ventre s'enflammer.
Il s'écarte une seconde et plonge ses yeux dans les miens.
Zyon — J'ai tellement envie de te prendre et te bousiller comme personne ne l'a jamais fait... Il souffle contre mes lèvres gonflées maintenant.
— Qu'est-ce qui t'empêche de le faire ? Je demande en bougeant pour sentir un peu plus son membre contre moi.
Zyon — Pas ici, tu mérites mieux que l'arrière d'une maison.
Il sourit et me fait descendre, j'arrange ma jupe en vif, et il me saisit la main pour nous faire quitter les lieux.