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Je guette par la fenêtre depuis à peu près quinze minutes, tout en faisant les cent pas tellement je stresse.
Je vois une voiture se garé, devant la maison.
Mais il a pas peur deh lui.
| Sors.
| Nan.
| Viens orh.
| Nan.
| J'arrive alors.
Comment j'ai ouvert mes yeux en grand, hein ?
| Non c'est bon j'arrive.
| Non tranquille.
| Façon tu sais pas où est ma chambre. Vu
Carrément, je vois floue quand je le vois debout sur mon balcon, ses mains dans les poches, me regardant avec un petit sourire en coin.
| Ouvre.
| Non casse toi c'est trop risqué.
| Continue continue bien Aleena, je vais tellement te malmener que tu sauras plus marcher.
| Que de la bocca lui.
| Continue et je te jure que c'est contre cette porte que je compte te prendre.
| Oulalaaa c'est bon orh.
Je m'approche de la porte et l'ouvre, à peine un pied posé dans ma chambre, sa main s'enroule autour de mon cou et il me tire vers lui.
Zyon — Je suis très impatient comme personne, je déteste attendre.
— Et alors ?
Il se rapproche de moi, sa bouche effleure la mienne. Puis descends sur ma mâchoire puis vers mon cou. Les petits baisers deviennent rapidement des suçons.
Zyon — Et alors tu vas payer pour cette attente. Ta porte est verrouillée ?
J'hoche la tête et directement, il me saisit par les cuisses pour me soulever. Mes jambes s'enroulent autour de sa taille tandis qu'il me colle à la porte vitrée du balcon.
— Non pas ici, on peut nous voir.
🔞
Zyon m'ignore et rentre sa main dans mon peignoir, il décale mon tanga, s'assurant que je suis bien humide avant de me pénétrer doucement.
— Zyon...
Il s'enfonce progressivement, allant jusqu'au fond. Avant de commencer à bouger, faisant des va et vient rapide, qui me font gémir à chaque fois.
Je pose ma main sur ma bouche pour m'empêcher de crier, mais ça semble l'encourager vu qu'il accélère et là c'est plus des gémissements mais carrément des cris.
Je sens l'orgasme venir, lui aussi, alors il ralentit.
— Zyon...
Zyon — Pour hier. Il dit en embrassant ma clavicule puis mon cou et fini sur mes lèvres.
Ses coups de rein n'arrêtent pas mais leur lenteur frustre comme jamais.
— Je le ferai plus...
Conscience — T'es faible dh eh.
Je le sens sourire contre ma peau avant qu'il n'accélère à nouveau.
Zyon — On a deux admirateurs.
— Quoi ?
Il se retourne et je fais face à Etienne, mon voisin depuis toute petite et avec qui j'ai joué, il est debout dans sa chambre nous regardant, voyant que je l'ai chopé il referme la fenêtre et rentre.
Zyon — Merde, un de moins.
Je me fige en voyant l'autre, Abel. Il est debout en bas dans le jardin, fleurs à la main et nous regarde.
— Abel ?
Zyon — Ton ex nan ?
J'hoche la tête et il me fait descendre, il pose mes mains sur la vitre et se met derrière moi.
Zyon — Montrons-lui ce qu'il a perdu.
— Nonon, pas ça...
Il me pénètre à nouveau, cette fois-ci il se lâche carrément. On m'a jamais fait ça, à part lui, carrément il est en train de traumatiser mon corps.
Je voulais parler mais tellement j'étais dans un autre monde, j'en avais perdu tout mon vocabulaire.
Une suite de mots incompréhensibles sortent de ma bouche.
Je sens mon orgasme venir, tellement que j'en oublie la présence d'Abel et que je suis chez mes parents, je lâche un gros cri.
Toute mes forces me lâchent, je m'écroule presque et Zyon me rattrape tout en continuant ses mouvements.
Quelques minutes plus tard, il vient. Toujours dos à lui, sa bouche se pose sur mon cou, et il lance un regard amusé à Abel. Celui-ci laisse tomber son bouquet de fleurs et fait demi-tour.
C'est là que je viens de me rendre compte de ma bêtise.
— Putain, comment je vais faire pour regarder Étienne dans les yeux moi maintenant ?
Je me retourne et tape Zyon.
— Tout ça c'est de ta faute, je t'avais dit pas ici !
Zyon — Pourquoi tu t'es pas plainte quand j'étais à en toi ?
Je le tship, mais ça semble pas lui plaire vu comment il a serré mon cou directement.
Zyon — Refait plus ça.
— Tship, lâche mon cou.
Il me toise sans pour autant lâcher quand son téléphone sonne, signe d'un message.
Il le prend et lis avant de lâcher mon cou.
Zyon — Habille-toi.
— Pourquoi ?
Zyon — On sort.
— Mdr.
Zyon — Y'aura Kimia mais si tu veux rester c'est ton cul, je peux partir sans toi.