OS neybappe

C'est la vie

Prenez soin de vous

Quoi ? Je relisais plusieurs le message qu'il venait de m'emoyer. Ses mots me firent l'effet d'une bombe en pleine figure, mon monde s'écroulait, je m'effondrais de l'intérieur.

Je ne voulais pas y croire, je refusais d'y croire, je ne voulais pas... En seulement quatre mots, en seulement quatre mots, il m'avait détruit le cœur. En seulement quatre mots, je n'arrivai plus à respirer, comme si c'était devenu une action beaucoup plus difficile, comme si elle était devenue insurmontable pour moi. Je me sentais suffoqué de l'intérieur, tout mon corps crispé, essayant à tout prix de retenir mes pleurs.

Les larmes me vinrent aux yeux, et sans que je ne puisse rien contrôler, elles tombèrent, roulant sur mes joues pour finalement s'écraser sur mon teeshirt teinté de gris, un peu comme ma vie l'était actuellement.

Je sentais tous ces sanglots rester coincer dans ma gorge, ça me faisais mal. Mais la douleur n'était pas comparable à celle que je ressentais dans ma poitrine. J'avais envie de vomir. Et pourtant, la première chose que je voulais faire, était combler la vide en moi qu'il avait créé. Ma vision était floue, m'empêchant de relire ce message.

Je passais vivement ma main sur mes veux. puis remis mon regard sur ces quelques mots. Il me suffisait de les relire une seule fois pour me sentir encore plus mal. A chaque mot sur lequel je repassais en boucle, je me sentais un peu plus déchiré.

« Je quitte le PSG. »

Il m'avait prévenue, et ça ne devait sûrement pas être son idée. Je sais que notre relation amicale avait beaucoup fait parlé, car elle avait été beaucoup plus compliqué que certaine, surtout par des malentendus avec la presse et tout le merdier qui en suivait, et ça me déchirai sincèrement le cœur.

C'était juste fini, plus rien ne reviderais comme avant. Mon cœur se serrait, comme l'intégralité de mon corps, sa présence m'avait était tellement bénéfique, malgré les plusieurs dispute que nous avions pu traverser, mais je l'avais toujours aimé, je n'avais jamais cessé de l'aimer, au grand jamais je n'avais cessé de le regarder, au grand jamais je n'avais cessé de l'admirer.

Il avait était un modèle pour moi, une personne sur qui j'avais pris exemple, quelqu'un toujours là pour moi et même dans les épreuves qui avait pu être difficiles pour moi. Quelqu'un sur qui j'avais pu poser ma tête quand je pleurais, quelqu'un qui prenait les reines quand je n'étais pas bien. Quelqu'un qui maintenant, ne serait plus à mes côté.

Même si la plupart de ce que je venais de citer n'était pas arrivé depuis longtemps, le voir partir si soudainement sans même avoir était prévenue, était brutal. J'avais créé un lien avec lui, et même si peut que parfois, des propos venant de moi on mal était géré, ou ce sont même sans le vouloir retrouver dans la presse du jour au lendemain, mais aujourd'hui j'en regrettais la majorité. Je m'en voulais vraiment d'avoir dit ce genre de connerie, je ne voulais pas que Neymar y croit...

Mais le jour ou je voulais le lui dire, lui annoncer que tout était faux il avait déjà eu le temps de montrer son vrai visage, en repostant de chose méchante à mon égard, en me lançant des regards glacée au entraînement, en m'enlevant de quasiment tout ses contact privé, et surtout en la jouant solo sur le terrain. Je n'avais pas su comment réagir, alors bien évidement que le coeur brisé, je suis rentré dans son jeu.

Je sais, c'était idiot venant de ma part, mais je le connaissais et je savais que pour lui, notre relation était quasiment morte. J'avais toujours eu un mini espoir, tout les soirs, me disant qu'il regrettait peut être lui aussi ses actes... Je ne voulais pas vraiment l'accepter toute au fond de moi, alors je gardais cette possibilité, et savoir qu'il ne serais plus là dans très peu de temps me brisais en mille morceaux.

Je suis quelqu'un de très nostalgique malheureusement, et ce défaut ne m'a jamais aidé, il m'a même beaucoup fait reculer. J'en n'ai énormément était affecté, à toujours trifouiller dans le passé en me répétant que je n'aurais pas du faire ça, ou juste en me rendant compte de la chance que j'avais d'être encore à ses côté. D'avoir vécu de magnifiques souvenirs, d'avoir était  heureux en sa présence...

Car maintenant, tout ça ne serait qu'un bon souvenir, tout ça ne reviendra plus, tout ça, c'était finis et à présent il fallait tourner la page. Chose que j'étais littéralement incapable de faire.

Certaine personne me diraient, tu peux toujours le voir, mais rien, rien ne serait aussi fort qu'avant, et puis, pourquoi lui voudrait-il me revoir...? On pourrait croire à un caprice d'enfant, qui ne veux pas accepter ce qu'il se passe et qui ne veut pas croire à ce qu'on n'ai pas tout ce que l'on veut dans la vie... Mais c'était malheureusement la triste vérité.

Et il fallait faire avec, la vie pouvait être une belle salope parfois, quelqu'un d'égoiste, une personne mauvaise, quelqu'un qui aimait voir souffrir les gens. J'avais tant apprécié la vie à ses côté, j'avais tant rigolé, j'avais kiffé putain. Il avait était la seul lumière dans cet endroit si sombre, mais maintenant, elle s'était éteinte. Me laissant me noyer, me laissant perdre pieds, me laissant étouffer dans l'obscurité.

Mon corps ne voulait toujours pas accepter cette mauvaise annonce, ni mon cerveau. Juste savoir que tout était finis, me brisais en mille pièce. J'avais eu l'impression qu'en seulement quatre petits mots, il m'avait écrasé. On était un duo, un duo magnifique, parfait, je lui faisais confiance, il me faisait confiance, on se tenait la main dans les moments les plus complexes, et dans celui-là, il m'avait laissé tomber dans ce ravin sans fond.

Peut-être n'était-ce pas sa faute, et qu'il n'avait pas eu le choix... Mais m'imaginer continuer sans qu'il ne soit à mes côté, m'étais littéralement impossible, et je savais, je le savais que cela aller être une terrible étape à surmonter. Peut-être même trop de pantes à gravir, je ne savais pas si l'en aurais la force physique, et encore plus mentalement. J'étais détruit, anéanti. J'aurais aimé lui faire une accolade, une dernière fois, le serrer fort contre moi, lui faire un câlin. Le sentir collé à moi, une toute petite dernière fois, c'était juste ce que je voulais. Sentir son odeur, sentir ses bras si fort me serrer, sentir cette chaleur qu'il m'apportait dès que j'en avais eu besoin, entendre sa voix, voir son visage sourire, revoir une dernière fois ses manière qui n'étaient propre qu'à lui. Juste être avec lui, et repasser en boucle tous ces moments plus merveilleux les uns que les autres.

Il y avait trop d'épreuve auquel je n'étais pas de taille, et je le savais très bien. Personne ne se préoccupait de moi, j'avais l'impression d'être invisible, de sourire, et personne putain, personne ne voyais réellement que ça n'allait pas personne ne se préoccupait vraiment de ma santé mental, sauf cet homme, sauf cet homme qui avait été là pour moi...

Je voulais crier je voulais hurler, hurler à m'en déchirer la voix, je n'en pouvais plus, c'était beaucoup trop lourd pour moi... Un frisson me parcourait tout le corps, j'étais plongé dans tous les bons souvenirs que j'avais eu avec lui, tout défilait dans ma tête, comme si j'étais sur le point de mourir. Je revoyais nos premiers sourires, nos premières engueulades d'enfant, nos premières bêtises, nos premiers buts avec les premières célébrations qui allaient avec, je revoyais nos premiers fous rires, toutes nos sorties les plus marrantes, et tous les moments où l'un avait était là pour l'autre. Aïe aïe aïe, ça piquait tellement fort.

J'étais seul, dans cette chambre, sans personne... Me retrouvais seul n'était pas vraiment une bonne idée, mais au finale qu'est-ce que j'en n'avais à foutre ? Peut-être que... Je devrais ?

A part vous redire que tout était du passé actuellement, et que je me sentais pas bien, mal, déchiré, piétiné, je ne ferais que me répétait. Tout s'arrête là.

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