Chapitre 18.

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~Aurore~

Lumineuse et accueillante. Les couleurs vives de cette forêt étaient surprenantes ! On pouvait reconnaître de petites fées aux ailes diaphanes que s'amusaient à voler de roses en violet qui ondulaient au rythme de la legère brise. Un petit coins de paradis dans cet univers, des lapin, faons et tout autre mignons petits mammifères ce plaisaient à jouer dans l'eau cristalline d'une rivière.

Le paradis...

C'est normalement ainsi que toutes les forêts de mondes magique devraient être décrite ! Non ? Cette forêt remplis de bonheur et de douceur !

Evidemment il y avait toujours l'autre. La noir, la sombre où à peine est tu rentré dedans tu as envies dans ressortir. Celle remplis de bestioles toute plus gluantes les unes que les autres et où le poisons et la douleur étaient présent dans chaque recoins.

Et par une logique implacable, notre quête nous conduisait dans CETTE forêt !

Caleb nous avait prévenus de l'horreur que nous allions ressentir mais mon esprit comme ceux de la plupart d'êtres humains normalement équilibré ne pouvait s'empêcher d'imaginer le meilleur. C'était notre réflexe, le pire ne pouvait exister seul. La lumière était forcement présente dans uns des coins...

Mais là... Rien que de sentir les ondes meurtrières que la forêt laissait dégagée je me sentait nauséeuse. Je me tourne alors vers Carl et remarquant son teint pâle et inquiétant je pose ma main sur son bras et sens immédiatement mon énergie vital le traverser pour ensuite voir de la couleur revenir sur ses joues. Il m'offre un léger sourire en remerciement et me prend par la main. Bizarrement je ne me sent pas du tout gêné par se contact. et je ne me sens pas non plus rougir .Caleb ne me laisse pas le temps de réfléchir plus longtemps que déjà il repart nous entraînant à se suite.

A peine pénétrons nous dans la forêt que le soleil qui nous éclairait faiblement disparut. Tout est sombre et menaçant.

Caleb qui c'est bien préparé avant de partir sort d'un de ses sacs des bout de bois ressemblant légèrement à des torches qu'il allume grâce à son souffle que je perçois quand il l'appelle. Il nous tend ensuite une torche à chacun. Avant notre départ il nous avait bien expliqué que cette forêt étant toujours plongée dans le noir les monstre qui l'habitaient était tous ou presque aveugle. Le feu était donc notre meilleure arme. Mais malgré cet avantage, un inconvénient énorme était donc crée. Leur ouïe était sur développer et nous ne devions évitez tout bruits des plus forts.

Nous marchions depuis au moins quatre bonnes heures avant que Caleb ne décide d'accorder une pause de dix minutes à l'équipe que nous étions.

Louinda m'avait lors de mon intense entraînement entraîner à l'endurance. Je fus heureuse d'en voir les résultats. J'étais à peine essoufflée. Je me tournais vers le groupe et seulement Carla, Paul et légèrement Carl semblait fatigués. Je fis mon plus beau sourire à Paul qui ne se contenta que de me fusiller du regard.

C'est donc toute fière que je demandais à Carl : "Tu penses que l'on pourra s'entraîner aujourd'hui ?

-Bien sûr ! Avant le repas de se soir on n'aura cas s'éclipser !

Super !" Nous n'eûmes pas le temps de continuer à discuter, Caleb et le reste du groupe repartait.

Ce n'est que quelques heures plus tard que nous posâmes nos affaires pour la nuit. Caleb et Mativa s'occupèrent de monter les tentes pendant que Luneris et Malicia créèrent les sort de protections autour du campement. Je dûs m'occuper avec Carla de préparer le repas.

J'avais toujours adoré cuisiner, mélanger les couleurs, les saveurs, les sensation... Je me sentait comme transporté dans un paisible rêve loins de cette hideuse forêt. Avant c'était avec ma mère que je préparais les repas. Je souris tristement au souvenir de cette mère aimante. Ces bras rassurants et ses douces paroles me manquaient affreusement. Carla me ramena rapidement à la réalité en me tendant un couteau pour que je puisse couper les légumes.

Le royaume des songes.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant