Chapitre 47: Opération sauver Bakugo (1)

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(Point de vue de Sen)

On a mis au point le plan avec les policiers et certains autres camarades héros à qui on a fait appel. Le problème, c'est que même si je suis d'accord avec la sélection de nos camarades, pourquoi lui demander à lui de venir ?, ce n'était pas mon idée. On est tous réunis et en costume de héros.

Moi : Bon, je suis contente que vous soyez venu pour la réunion stratégique, en tenue en plus, mais pourquoi t'es venu Endeavor ?!

Endeavor : Je suis le héros n°2, vous aurez besoin de notre force

Moi : Tu sais que tu causes plus de dommage qu'autres choses ?

Endeavor : Dit l'ancienne héroïne qui a abandonné son poste

Moi : Moi au moins, je suis honnête avec moi-même.

All Might : Arrêtez

Moi : Tais-toi All Might.

Best Jeanist : S'il vous plait, nous devons reprendre la réunion.

Moi : (soupir) Très bien mais j'espère au moins que nos enfants n'auront pas l'idée d'y aller eux-même.

(Point de vue extérieur)

*Du côté de Saori*

[En marchant]

Iida : Je... je m'excuse pour m'être emporté contre vous. Je suis désolé.

Momo : Franchement Iida, ton argument pour nous accompagner n'est pas vraiment persuasif

Midoriya : C'est bon !, c'est déjà tout oublié !

Seizu : Pas vraiment

Saori : Seizu !, ne t'inquiètes pas Iida, tu es pardonné.

Iida : Merci mais c'est justement parce que je ne peux pas tolérer votre comportement que je vous accompagne. Si je sens le moindre risque d'un combat, je vous ramène immédiatement !, je serais votre gardienne, en quelque sorte comme « Watchman » !

Todoroki : Iida le Watchman

Saori : (rires) « Au secours !, venez m'aider Watchman ! »

Momo : Non en faite... je suis plutôt d'accord avec Iida. Moi aussi je pense que c'est un travail pour les pros. Il n'y a absolument pas besoin que vous vous impliquiez là-dedans. Mais je comprends ce que vous ressentez donc, vous pouvez appeler ça un « plan de compromis ».

Momo sortit son traceur et les guida, mais au fond d'elle, elle se disant que c'était irréalisable. Que ces amis devraient comprendre en regardant la situation actuel que tout cela est irréalisable et farfelue. Surtout pour son amie qui vient de se remettre d'une gorge brisé.

Enfin bon, les coordonnées du traqueur indiquaient le quartier Kamino de la ville de Yokohama, dans le préfecture de Kanagawa, c'est pourquoi, nos 7 amis prirent le train de 20h00, ils savaient que dans deux heures, ils seraient à destination.

*Dans le train*

Seizu : On devrait y être pour 22h00, non ?

Midoriya : Oui, normalement. Dites... vous avez dit aux autres les détails de notre plan ?

Todoroki : Oui, après l'avoir fait ils ont essayé de nous en dissuader

Kirishima : (mangeant) Uraraka a été assez dure envers nous

Midoriya : Uraraka ?

Saori : (sourire) Connaissant Uraraka, elle a dû leur dire que Baku se sentirais déshonoré d'être secouru par tout le monde. La preuve... il nous a crié de ne pas le sauver...

Kirishima : Tss... cet idiot ne sait pas quand il faut accepter l'aide de ses amis.

Saori : Pas faux... c'est un idiot. Mais on ne peut pas le laisser tomber.

Todoroki : Vous savez, il n'est pas trop tard pour faire marche arrière. (mangant) Peu importe comment on y réfléchit, ce qu'on tente de faire est guidé par nos propres égos.

Kirishima : Je n'aurais pas soulevé l'idée si je n'étais pas certain de ce que nous faisons. On sait tous le genre de mec qu'il est, il ne voudrait pas que les vilains agissent comme ils l'entendent.

Midoriya : L'un des signes d'un héros est d'être entrainé dans des affaires qui ne le concerne pas. Alors, (regard sérieux) Il n'y a aucun moyen que je puisse reculer à présent

Saori : Moi aussi je refuse de faire arrière maintenant, certes... je ne peux pas utiliser mon pouvoir. Mais tant que je serais debout, je me battrais. En plus, j'ai eu un mal fou à convaincre Seizu de me laisser venir, ce serait bien que ce ne soit pas pour rien

Au fond, tous nos amis étaient un peu perdu, Saori et Seizu en particulier. Seizu est un ami de Bakugou, mais aussi le frère de Saori. Le fait qu'elle se donne tant de mal pour sauver son camarade alors qu'elle est blessé, le touchait un peu, mais il se disait surtout que c'était plus de la stupidité qu'autres choses. Saori, elle, était plus inquiète pour ce qui pourrait arriver à Bakugou qu'à eux, pourtant, elle avait un pressentiment plutôt mauvais.

*Quelques heures plus tard*

Nos amis arrivèrent à destination assez rapidement. Kirishima commença à se précipiter, cependant, Momo l'a retenu en lui disant qu'ils devaient être prudent puisqu'il est possible que les vilains soient partout. De plus, ils devaient cacher leur visage pour que personne ne les reconnaisse. C'est pour cela que la jeune fille leur propose de faire des achats qui leur permettront de se déguiser.

Au bout de quelques minutes, ils sortirent d'une des boutiques avec des déguisements que je dirais... qui leur allait bien bizarrement. Todoroki était en serveur ?, Momo en femme chic ?, Iida en... euh... j'en sais rien. Pour les deux autres non plus à vrai dire, cependant... quelqu'un n'était pas d'accord avec son déguisement.

Saori : Non sérieux... pourquoi je suis déguisée en Lolita ?, à la base je voulais juste une perruque

Seizu : (rires) Aller, t'es mignonne dans cette robe, avec ce chapeau et ce parapluie dans la main.

Saori : Tu peux parler, toi tu as juste acheté une perruque et des lunettes.

Seizu : (sourire) C'est parce que je suis le plus beau, même ainsi je reste beau. Pas vrai, Momo ?

Momo : Euh... on va dire que oui. (sourire) Bref !, On est dans le quartien commerçant nocturne !, Une bande de jeunes se baladant un peu partout attirerait trop l'attention

Iida : Nous avons des femmes avec de fortes poitrines !

Saori : (gêné) Iida, la ferme.... C'est déjà assez gênant.

Todoroki : Je me disais, Yaoyorozu. On aurait pu avoir des déguisements gratuitement en utilisant ton individualité, non ?

Momo : Hein ?!, c'est... c'est une violation des règles !, si j'utilisais mon pouvoir à chaque fois pour créer ce que je voulais, la circulation des biens... c'est là !, en tant que citoyen de mon pays, je dois contribuer à l'économie !, on l'a vu avec Sen-sama !

Saori allait dire quelques choses, quand d'un coup, quelqu'un a criée « Hey, ce ne serait pas Yuuei ? », nos amis sursautèrent et virent sur une télévision géante un extrait des excuses publiques des responsables de l'académie des héros. Cela concernait évidemment les élèves blessés pendant le camp d'entrainement. Il y avait bien sûr, les professeurs, dont... la mère de Saori et Seizu.

A suivre...  

My hero Academia, All Might × Oc : Une romance inatenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant