Chapitre 29 | Loyauté |

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Chapitre 29
Santo

Arrête, glousse-t-elle. Tu me chatouilles !

Je la suis dans son adorable rire, tout en continuant d'embrasser chaque parcelle de son cou.

Elle sent bon.

Non, laisse-moi profiter de toi. Tu m'as manqué!

Elle entoure ma tête de ses bras, puis passe ses mains manucurées dans mes cheveux.

Tu dois partir quand ?

Je lui ai annoncé que je devais quitter Bogotá pour le travail durant quelques jours.

Une de nos cargaisons est bloquée à la frontière vénézuélienne, nous allons la récupérer.

Elias a tenu à faire partie de l'équipe de l'intervention. Tout le monde sait que c'est seulement parce que Rosalia s'est immédiatement porté volontaire, lorsque Enzo a annoncé la nouvelle.

Elle aime trop partir en guerre et il ne sait plus se passer d'elle.

Leur duo est à la fois hilarant et mignon. Ils passent leur temps à se chercher. Aux yeux de tous maintenant, ils sont ensemble. Pourtant, personne ne les a jamais vus s'embrasser.

Je suis le seul, à ce jour, à être au courant de ce qu'il s'est passé dans les toilettes du club. Mais j'ignore s'il y a eu plus.

On décolle ce soir, je vais bientôt devoir partir, lui indiqué-je, toujours le nez dans son cou.

Et tu pars avec cette Rosalia c'est ça ? me questionne-t-elle, en repoussant ma tête.

Je ricane doucement, en comprenant ce qui l'inquiète.

Depuis le premier jour où elle a atterri ici, elle appartient à Elias, je lui explique, sans cesser mes bisous.

Elias ? Elias, ton jefe ? me questionne-t-elle, en repoussant ma tête.

Oui, lui. Laisse-moi embrasser ta peau, grogné-je, en replongeant dans son cou.

Elle gémit, en resserrant ses bras dans mon dos. Sa tête se penche sur le coter pour me donner un plus grand excès a sa peau.

Donc, Elias est amoureux ? souffle-t-elle, en plantant ses ongles sur mes épaules.

Hmm, je grogne. Non, je ne pense pas qu'il le soit. Mais elle est à lui, c'est tout.

Elle hoche la tête, avant de m'embrasser sensuellement. Mon corps s'embrase, au contact de ses lèvres charnues et mon entre-jambe se réveille une nouvelle fois.

Ma main, saisi sa hanche voluptueuse que je presse en m'enfonçant en elle d'une seule poussé.

Nous gémissons à l'unisson, pendant que nos lèvres se retrouvent et que nos langues se mélangent.

Je t'aime tellement, halete-t-elle, en enroulant ses jambes sur mon bassin.

Je t'aime aussi, Raina. Tellement fort, réponds-je, dans un lent va-et-vient.

Mon téléphone vibre sur le lit. Je l'ignore, concentré à faire l'amour à ma femme.

Le vibreur se fait entendre une nouvelle fois, alors que je nous sens aux portes de la jouissante. Je grogne de frustration, en accélérant mes va-et-vient.

Réponds, avant de, je l'explose contre le mur, crache Raina, avec irritation.

Putain, fait chier.

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