Shut up or smile

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Point de vue de Riku

Je suis resté au chevet de Miru à tels point que j'ai arrêté de compter le nombre de jour depuis qu'il était hospitalisé.
Tenant sa main attendant le moindre petit signe de réveil,mais il ne bougeait pas,restant immobile. Il était nourrit grâce à la perfusion et depuis qu'il l'avait il avait repris un peu de poids.
J'avais refusé au aide-soignant de le laver,ayant maintenant peur de la moindre personne s'approchant de lui. J'avais donc pour tâche,en plus de le veiller de le nettoyer autant de fois que nécessaire.
Malgré la mine calme que Miru arborait, il s'agitait brusquement et dans ces cas là, il transpirait à grosse goûtes.

Il était 16h passez lorsque Doc me rejoint dans la chambre de Miru,tenant dans ses main le dossier médical du jeune homme.
Mordant ma lèvre en revenant à ma place laissant le doc s assoir face à moi.

- Comment va le gamin ?
- Il va bien en apparence, mais chaque nuit il s'agite brusquement à tels point qu'il doit être sédaté...
Il a déjà ré-ouvert la plaie dans sa nuque au moins quatre fois !

- Riku, il est temps que tu sache ce qu a vécu Miru, et crois moi ... je n est jamais vue ça ! J'ai beau être médecin pour les Yakuza jamais je n est vue autant d'atrocité.

Mon corps entier se raidit,je n'était pas encore prêt, mais je n'avais pas le luxe de refuser, bientôt mes hommes le trouverais et je voulais tout savoir pour lui faire payer absolument chacun de ses gestes..
Serrant les poings contre mes cuisses en baissant la tête écoutant attentivement.

- Il a été affamé et déshydraté. Certainement pour le rendre plus docile,Miru à clairement du se défendre un temps, vue les marques défensif que présente son corp. Il a ensuite été battu avec de nombreux objet...Il a de nombreuse fracture en début de guérison cela prouve la violence et l'acharnement de cette homme .
Il la..

Il soupirais en serrant le dossier entre ses doigts laissant les nombreux papier se tordre avec force.

- Il a violé Miru comme une bête en rute.. Son anus est totalement déchiré et il a de nombreuse blessure à l'intérieur.. Il a échappé de peu à une Ileostomie...
Mais en plus de cela il a essayer de le marquer encore et encore ce qui explique les déchirures dans sa nuque, chance ou malchance appel ça comme tu veux..Mais Miru n étant pas un oméga pure sa glande est beaucoup plus basse.

Cette information me fis me redresser brutalement, comme disait l'homme par chance, si on pouvais la nommer comme ça.
Miru,n'avait donc pas été marqué et cela me rassurait au plus au point.

Le doc poursuit .

- Comme tu la compris, il n'a pas été marquer, mais il l est dans sa tête. Ce qu'à vécu Miru le changera profondément, il faudra que tu sois patient avec pour que la confiance ne revienne.

- Je prendrais tout le temps qu il faudra doc.

- Ta mère m'a dit qu'elle avait ré-ouvert ta salle, je me suis donc permis d'y laisser un petit quelques chose .

- Qu est ce donc ?

J'étais  curieux,et pour une bonne raison. Doc était un homme énigmatique au passé trouble, ma famille et la sienne travaillait main dans la main depuis des génération, cumulant le savoir médical de 6 génération. Mais sous ses air de gentil médecin ce cachait une monstruosité perverse.

- Vois tu mon arrière-arriere- grand-père était un homme aimant les expériences, il aimais particulièrement les expériences avec les insectes et les virus. Il entrepris de nombreux voyage autour du monde et à ramener des créatures rampante de tout les coins du monde et parmi ces choses il ramena un verre, il n est pas bien gros et peu vivace mais une fois dans de la chair chaude... la bestiole devient aussi affamé qu'un vautour .
Il se multiplie à une vitesse folle dévorant son hôte sûrement mais lentement, laissant la nécrose,  la folie emporter le pauvre malheureux.

- Vous voulez que je lui injecte cette bestiole ?

- Oui ! Mais n'en met pas plus de cinq, bien dispersé sur l'ensemble de son corps, cela ralentira leurs propagation mais pas la peur et la douleur .

- Je pourrais toujours le torturé ?!

- Cela va de sois.

Savoir que j'avais de nouvelles branche à mon arc me fis frissonner d'excitation.
Je posa une mains tremblante sur celle de Miru en le regardant avec un petit sourire.

- Bientôt tu sera venger..

- Je te laisse le dossier, lis le et vois ce que tu va en faire, après ça rend le moi, quand Miru aura finis avec l'hôpital je serais celui qui le soignera.

- Je te remercie.

Il se leva en laissant la pochette sur le meuble et me souris légèrement avant de quitter la pièce sans un mot. De nouveau de me retrouvais seul avec le jeune homme.
Le soleil commençait déjà à se coucher lorsque Miru commença à s'agiter, je finis par comprendre que c était à cette heure que les sévices devait commencer.
Cette information était bénigne pour certain mais pas pour moi,chaque début de châtiment commencera au moment où le soleil se couchera.
Le calmant tendrement, lui murmurant à l'oreille,que j était la, que plus aucune menace ne viendrait à lui.. Lui racontent la journée, le temps qu'il faisait..
Des banalités qui semblait pourtant l apaiser.
Profitant de cette accalmie pour dormir un peu.

La pièce était plonger dans le noir et ma vue à eu bien du mal à s'habituer à l obscurité. Je ne saurais dire se qui m'a tiré de mon sommeil mais je l en remercie, Miru etait assis sur son lit, les yeux plonger dans le noir .
Les quelques rayons lunaire reflétait la blancheur de sa chevelure et sans réfléchir je me leva pour allumé la lumière.
Dire que j'etait heureux etait loin de la vérité pourtant...mon sourire disparut .
A peine avais je essayé de le prendre dans mes bras, que son corps eut un mouvement de recule,la perfusion fut tiré si violemment que celle-ci manqua de s arracher. La panique se lisait dans le regard du jeune homme... il ne me reconnaissait pas.

- Miru.. c est moi Riku, tous va bien maintenant..

Ma voix était étouffer par les sanglots mais je me forçais à parler pour lui présenter mes excuses mais aucune réponse ne se fit entendre. Il écoutait simplement en me dévisageant.

- Je suis désolé.. si seulement se soir là j'avais pu me contrôler,Yura ne serait pas venue et tu n'aurais pas fui. Tout est de ma faute .. je serais incapable de me le pardonner mais je te jure sur ma vie que Guneo payera..

A peine avais je prononcer le nom de l'homme responsable de tout ça que Miru se mit à hurler de terreur,les infirmières arrivèrent en panique le calmant à coup de sédatif.
Je me fis " gronder", elles m expliquais qu il avais besoin de temps et de repos que je ne devais pas lui parler de se qu'il avait vécue tant qu'un psychologue ne serais venue.
J'avais fortement envie de l envoyé balader pourtant elle avait raison, j avais beaucoup de métier à mon arc mais pas celui de psy..non moi j avais plus l'habileté du chirurgiens..