Chapitre 15: De nouveau seul

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La pression partie, nous pouvons souffler un bon coup. Malheureusement, cela ne durait pas longtemps, un immense bras ressortait de l'eau. Il fallait se dépêcher et comme la seule issu possible à présent était l'échelle, il fallait refaire la courte échelle et prier pour que j'arrive à l'attraper.

Marcus me hissait sur ses épaules comme un enfant, mon short mouillé lui fit frissonnait de froid. Alors que nous tentons d'obtenir un équilibre, je tendais les bras, les mains ouvertes pour attraper l'échelle encore trop haute.

- Met tes mains à plat comme si tu portais un plateau, comme ça je vais pouvoir me propulser jusqu'à l'échelle. J'espère ne pas me rater.

Il le faisait aussitôt et à mon top, posait mes bottes dégueulasses sur ses mains et m'élançais comme une grenouille, les jambes déployées, les mains prêtes à chopper le dernier barreau.

Par chance j'attrapais cette dernière d'une main puis l'autre.

- Ça y est ! Je la tiens !

- Super. Et je monte comment ?

- Heu..., réfléchissais-je. Tu peux attraper mes pieds ou pas ?

- Du bout des bottes.

- Attends je vais montais un peu j'ai du mal à tenir, mes bras n'en peuvent plus, montais-je en me hissent du mieux que je pouvais qui n'était pas des moindres.

Les pieds sur les derniers barreaux, je tournais la tête et évaluais comment aider Marcus à me rejoindre.

« Je sais pas comment faire. »

Je regardais tout autour de moi, mais rien de concluent.

Soudain, Le Hulk resortait de l'eau telle un requin affamé, son sourire et sa respiration montrait qu'il en avait pas fini et qu'il voulait en découdre.

- Marcus ! Fuit tant qu'il en ai encore le temps !, criais-je paniquée et désolée de le voir dans cette galère.

Il n'attendait pas plus un peu affolé et suivait mes instructions temps qu'il le pouvait.

Malheureusement, pour moi il m'était impossible de redescendre, je tomberais d'au moins trois mètres et avec ma jambe, cela me coûterais beaucoup.

« Je ne pourrais plus marcher à cette hauteur. »

Il ne me restais plus qu'à monter délicatement et voir ce qui m'attend au bout. Les barreaux crissaient sous mon poids qui n'était déjà pas grand. Plus j'avançais plus il faisait sombre, désormais, à tâte ton j'arrivais en haut. Il semblait y avoir une trappe qu'il fallait trouver la poignet.

Soudain, je me suis prenais d'une panique en repensant à ce que m'avait dit Marcus pendant notre dispute.

« Et s'ils m'attendaient en haut ! Si j'ouvrais la trappe, sur qui j'allais tomber ? »

Je crois que je n'ai pas le choix, il faut que je l'ouvre, je ne peux rien faire d'autre.

J'ouvrais donc avec peur et tout doucement et remontais pour voir où est-ce que je me trouver.

Il faisait jour, le soleil commençait à taper.

« Mais quelle heure est-il ?! »

On avait passé toute la nuit dans cet immonde asile et se n'était pas fini.

J'ouvrais la frappe en grand et me voilà dans une cour, un accès réservé aux techniciens. Cependant, il y avait toujours, comme me l'avait décrit Marcus, des fils de barbelés et les longs et hauts grillages. Il n'y avait personne, s'était justement l'occasion de filer, mais il n'y avait pas d'issus sauf une porte qui ramener dans l'asile, quelques panneaux électriques et mon trou.

Je l'ouvrais et rentrais à l'intérieur avec dépit.

Deux choix s'offraient à moi, soit je partais à gauche, soit ouvrir une nouvelle porte avec des vitraux tout autour donnent dans un autre couloir.

À travers les vitraux, je pu voir personne et à gauche rien non plus si ce n'est qu'il n'était pas rassurent, juste sombre et sans lumières apparentent.

J'ouvrais la porte et entrais. C'était calme, pas un bruit, personne. Je n'étais pas spécialement calme, mais je me sentais plus tranquille.

« Je me demande si je peux faire une pause ? »

Malgré tout, j'avais une pensée pour Marcus que j'ai dû abandonner.

Subitement j'entendais comme le bruit d'une scie, je me crispais à ce moment.

« D'où est-ce que cela venait ? »

Je ne serais dire, mais je n'étais pas rassuré.

« Pourquoi il n'y a personne qui vérifie la sûr-té de cet asile. »

À ce moment là, une ombre se dessinait peu à peu sur ma droite dans un autre petit couloir.

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant