Chapitre 2 : le somnifère

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19h41, le direction nous amenait faire une petite visite des lieux.

Nous étions dans un vieux manoir qui avait eu le droit à quelques rénovations comme l'électricité et le chauffage. Les murs étaient divisé en deux colories, blanc en haut et du bois claire en bas, le sol était en parqué et les luminaires en verre . Le bâtiment était si grand qu'il était très facile de se perdre.

Au cour de cette visite le directeur nous proposait une légère collation. Il nous dirigeait vers la cuisine et nous servait. Les deux frères avaient choisi de l'alcool alors que moi et Luc nous avions pris du soda.

L'homme nous tournait le dos lorsqu'il préparait nos verre puis nous les donnait avec un grand sourire.

- Avec cette chaleur vous devez avoir soif. Heureusement que je suis là pour prendre soins de vous.

Alors que nous buvions, ces dernières paroles m' avaient glacé le sang. Sa voix et ces phrases devenait de plus en plus malaisante au fur et à mesure de la visite.

- S' ils ne reviennent pas vous chercher vous serez obliger de rester ici !

Mike rigolait pensent qu'il s'agissait d'une blague, pour moi non. Je commençais à avoir peur et Luc devenait de plus en plus pale. Je m'approchais de lui et lui chuchotais :

- J'aime vraiment pas cet endroit et le directeur est flippant.

- Je sais.

- Quoi ? Qu'es-ce que tu veux dire par là ?

- C'est....C'est compliqué, terminait-il.

Le directeur nous ramenait dans la salle principale. Il y avait un étage visible tout autour de l'immense pièce comme un long balcon. Sur les côtés se trouver des vieux fauteuils, il n'était peut-être pas trop tard pour faire mon interview.

- Dite-moi Louis je peux toujours vous poser mes questions pour le reportage ?

- Oui bien évidemment.

Nous nous sommes assit l'un en face de l'autre. Luc se rapprochait et se mettait derrière mon épaule pour filmer l'interview. J'attendais que Luc allumait la camera et me fasse signe de commencer.

- Nous sommes avec Louis, pompier à la caserne Mount Massive, dans des conditions très particulaires. Louis pouvez-vous nous raconter pourquoi vous aviez décidé de faire ce métier qui vous accompagne tout les jours ?

- Hé bien je dirais que c'était à l'âge de 15 ans, un incendie s'était déclaré dans l'immeuble où je vivais avec mon frère et mes parents. Ce jour là nos parents n'étaient pas à l'appartement. La fumé été très abondante que l'on ne percevait plus rien. Je cherchais dans tout l'appartement un moyen de sortir, je pris la main de mon frère et à nous deux ont tapaient sur les murs pour trouver la porte d'entrée. On suffoquait tellement que l'on se demander si l'on aller survivre. Soudain Ils furent arrivés ; les secours, Il fit une pause dont il toussait un moment puis reprit. Depuis ce jour là....

Il continuait à tousser de plus en plus fort, puis son frère le rejoins dans cette cacophonique . Tout les deux tousser.

- Vous allez bien ?, paniquais-je.

Puis Luc se mettait à tousser. Je me suis relevée, contemplent la scène sans que je puisse faire quoi que se soit. Mike qui était debout tombait sur ces genoux ainsi il finissait sa course au sol totalement inerte. Je ne comprenais pas se qui se passait, mais j'étais tétanisé par la peur, je ne bougeais plus aucun de mes membres regardent Louis et Luc tomber au sol.

Des yeux je cherchais le directeur, mais il avait disparut. Ma tête commençait à tourner, ma gorge me grattait et voilà que c'était mon tour. En tombent au sol je vis la camera qui filmait encore. Je voulais la ramasser qu'un pieds écrasait ma main. Je me mettais à hurler et en relevant la tête, c'était le directeur avec à long sourire qui prenait le plaisir de me broyer la main. Il appuyait de plus en plus fort, je criais de douleur et essayais pourtant de me débattre, mais c'était inutile, je n'avais plus aucune force. Petit à petit mes yeux se fermaient et voici la dernière chose que j'entendis :

- Fait de beau rêve. [...]  Aller s'y ,ils dorment comme des loirs....

La suite je ne l'eu pas entendu.

Je me réveillais avec un horrible mal de crane comme si la pièce autour de moi tournait à grande vitesse. J'essayais de bouger, mais quelque chose m' empêcher, des cordes étaient noués à mes poignets et chevilles. Les mots qui sortaient de ma bouche ressemblait à des gémissements, mes phrases étaient incompréhensibles tellement mes lèvres étaient engourdit.

Derrière moi, un claquement de porte résonnait dans mes oreilles qui bourdonnaient encore. Quelqu'un était présent dans la pièce.

- Qui.... Est là ?, sortis-je enfin.

Peu à peu je retrouvais la vue suivi de l'ouïe. Un homme de laboratoire se mettait devant moi et m'inspectait, regardent mon visage sous toute ces coutures.

- Réveillez-vous. Mais vous ne devez pas vous réveiller, me disait-il.

- Quoi...

Sans mis attendre il me frappait d'une gifle.

- Qu'est-ce qui il y a ? On dirait que quelqu'un vous a frappé ?

- Imbécile...., répondais-je complètement sonnée.

Puis plus rien. Je m'étais à nouveau évanoui sur ma chaise.

Je sentais une main me toucher, d'un coup je me réveillais. Je regardais derrière moi, un homme qui ressemblait à un patient avec son accoutrement, un vieux pyjamas blanc cassé. Il me détachait de la chaise. Mais il avait l'air inquiet.

« Après tout c'est vrai si quelqu'un le surprenait dieu sait ce qui se serait passé. »

- Va y tu es libre, me disait-il en enlevant les derrière liens, sauf que le directeur sortait d'un coin de la pièce et se situait derrière l'inconnu auquel j'étais reconnaissance de m'avoir libérer.

- Derrière toi !, criais-je trop tard.

Le directeur l'assommait d'un coup sec à la nuque, il tombait raide au sol. La peur m'envahissait, je me cachais le visage essayent de croire que tout çà n'était qu'un cauchemar et que tôt ou tard je finirais par me réveiller. J'avais envie d'y croire même si je devais me confronter à la réalité.

Il s'avançait vers moi, je décidais donc de courir en direction de la porte pour pouvoir m'échapper. Heureusement pour moi il ne se mettait pas à ma poursuite. Je continuais ma course en me cachent sous un lit d'une salle de repos au bout du couloir. Je respirais lentement pour faire le moins de bruit possible. J'entendais les bruits de pas du directeur s'éloigner, le stresse diminuait.

Je ne comprenais toujours pas comment tout cela avait pu se produire, enfin on venait chercher de l'aide et voilà que c'est pire. L'endroit où l'on demandait de l'aide sont de vrais barges.

« Le directeur est un psychopathe, quel est le but s' il garde déjà des malades mentaux dans son établissement. Tout se que je sais, c'est qu'il va falloir survivre et se foutre le camp. »

En regardant tout autour de moi, sur la table de nuit juste à côté de moi se trouvait la caméra de Luc.

«Enfin quelque chose qui va pouvoir m'aider, il fait tellement sombre que la caméra en mode nocturne m'éclaira d'avantage. »

Je me relevais et me saisissais de l'objet puis retournais aussi tôt sous le lit.

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant