Chapitre 25 : Un de moins

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Luc remuait sa planche devant lui comme pour faire fuir un animal sauvage.

Marcus était toujours en en état de choque, il gémissait et se roulait par terre terrifié alors que j'essayais de le calmer.

- Marcus c'est bon je suis là ! Arrêtes de paniquer !

- J'vais le tuer...j'vais...j'vais le tuer... !

Il se relevait soudainement, je basculais en arrière et tombais sur les fesses. Marcus, la tunique massacrée, son visage si grave et furieux et sa démarche de course aussi terrifiante qu'une créature aux membres disproportionnés.

Le directeur ne faisait pas gaffe à lui et l'ignorait en continuant de s'approcher de Luc. Il l'attrapait par le cou et l'emmenait en arrière, le directeur se débattait en se secouant comme un chien tellement il sentait le faible poids de Marcus.

- Qu'est-ce qu'il nous fait ouistiti ?

- J'vais te crever les yeux...et t'arracher les tripes !

Il lui répondait d'un air si sérieux qu'il tentait d'exécuter ce qu'il disait. Il posait une main sur son visage et cherchait à faire pression sur ses globes oculaires. Le directeur poussait des grognements qui n'étaient pas rassurent.

« Est-ce qu'il faut que je fasse quelque chose ou c'est déjà assez désastreux ? »

- Mais lâche-moi espèce de malade !

- Putain ! Mais tu t'es vu !, lui sortait Marcus d'une voix roque.

« Quelque chose me dit, enfin, que je ne mis attendais pas et encore moins Luc qui me regarde avec des yeux de merlans frits. »

La main de Marcus glissait et laissait l'opportunité au directeur de le mordre de toutes ses dents.

« Je fais quoi ? Je ne vais pas rester sans rien faire, mais j'ai pas d'idée à la fois. Si j'y vais, est-ce que je serais utile ? De toute façon au point où nous en somme autant mettre ce malade à terre... »

Le directeur se retournait de manière vive et plaquait comme dans un combat de catch Marcus à l'assise du premier banc. Marcus hurlait, mais s'en était pas encore fini, car l'autre fou réussi à se libérer de son emprise et lui filait un coup de coude dans la gueule puis se retournait et le choppait par le col.

Luc tentait de s'interposait avec sa planche qui lui fit arraché des mains par le directeur et qui s'en servait pour le repoussait en donnent une frappe à l'horizontale de la planche et créer comme un bandeau, sauf que celui-là ne l'avait pas rendu héroïque, mais meurtrier qu'il en tombait à la renverse.

- Bien je vois cet autel et je me dis qu'on va l'a jouer autrement !, annonçait le directeur qui s'avançait sur l'estrade. Aller monte bon à rien ! Même le paradis ne serait faire de toi. Ma foi nous vairons bien où tu iras, enfin tu verras, finissait-il en le projettent sur l'estrade.

Il n'attendait pas plus longtemps et l'installait de force sur l'autel en marbre blanc crème.

- Arrêt de bouger sac d'os ! Comment veux-tu que ça se passe bien si tu n'obéis pas !

- Aller crever...

- Pardon qu'as-tu dit ?

- Je t'ai d'aller te faire...mourir, répliquait Marcus toujours hésitant sur ses mots; mais en même temps avait une telle rage que je le reconnaissais à peine.

Sur le sol, traîner les liens fins des grands rideaux de velours rouges et poussiéreux derrière eux, ouvrant comme une fenêtre imaginaire sur une peinture de Jésus crucifié. Le directeur se saisissait du morceau qui pendait, alors que l'autre était noué dans l'anneau mural permettent de les accrocher et attachait les chevilles de Marcus.

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant