Chapitre 14: Le Hulk des égouts

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Un homme gigantesque marcher dans l'eau sans aucune difficulté. Il était tellement massif qu'on aurait dit qu'il avait subi une métamorphose, une grosse tête et un corps XXXL comme je ne l'avais jamais vu ! Un gros ventre dont il portait juste un pantalon marron déchiré.

« C'est Hulk ce type ! »

Mais ce n'était pas tout, il avait comme bien d'autres ici, ce sourire qui montait jusqu'aux oreilles et ses yeux fixes qu'il pourrait vous tuer sans même vous toucher.

J'agrippais  le bras de Marcus et le regardais, son visage se décomposer au fur et à mesure que l'individu avancé.

- Marcus !, l'interpelais-je, faut faire quelque chose.

- On va...mourir... , bredouillait-il.

« Que faire ? Nous sommes coincé entre lui et la grille. »

Et là, une idée me viens en alternent mon regard entre les deux. Sa force méconnaissable pourrait fragiliser la grille.

« Je crois bien que j'ai pas plus de solution que celle là. »

- Hé ! J'ai une idée !, chuchotais-je à Marcus pétrifier de froid comme de peur, si on laisse avancer cette brute qui ma foi je ne sais pas si elle est gentille.

- Elle l'ait pas. Elle l'ait pas, gémissait-il.

- Il pourrait défoncer la grille ! Si on se met devant la grille et que l'on reste fixe, au dernier moment où je trouverais de quoi le faire frapper, il l'abîmera sans nous blesser.

- Je suis pas sûr.

- Tu as une autre idée ?, soupirais-je.

- Non.

Je n'attendais pas plus et l'emmener avec moi se placer devant la merveilleuse grille comme si on s'apprêtait à faire une photo de classe. Une fois bien placé, j'attendais que le Hulk se rapproche pour commencer la suite de mon plan.

- Hé Oh !, faisais-je avec de grands signes vers lui.

- Quoi ? Mais tu es malade !, me sortait Marcus.

- Ne t'inquiète pas, laisse-moi faire.

Sauf que son visage me montrait tout le contraire.

- Hé toi le Hulk ! Viens me refaire le portrait !, criais-je avec un grand sourire et les bras ouverts.

« Quoi ! ils sont tous fous de toute manière. », me disais-je alors de Marcus manquait bientôt de tombait au sol.

- Alors tu arrives !, relançais-je voyant sa splendide lenteurs comme s'il savourait ce moment. Tu veux pas accélérer ? Tu es trop lent. Comment veux-tu bien m'exploser la face contre le grillage si tu prends trop de temps et d'énergie, finissais-je ma provocation.

Et le meilleur, c'est que cela marchait comme sur des roulettes, il se précipitait avec un grognement de lion et accouru vers nous. Toujours cramponner à Marcus qui ne tenait plus et semblait vouloir s'échapper avant l'arrivée de la massue.

- Attends encore un peu et quand je te le dirais tu te baisseras et nous partirons de ton côté, lui chuchotais-je avec mon sourire bloquer vers le haut pour l'autre.

Le voilà qui foncer vers nous comme une flèche, le bras droit en arrière, prêt à frapper.

- En faite se sera de mon côté, relançais-je à Marcus.

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant