Chapitre 19: le début de la grande évasion

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Après m'être battu avec les deux combinés, ils réussirent à m'enfiler le masque. Je retenais ma respiration, mais c'était trop difficile étant donné que j'étais essoufflé.

Deux des patients s'attaquait à eux et m'enlevait le masque. L'un ensuite me parlait, mais je ne comprenais pas bien ce qu'il me disait, les effets du gaz commençait à apparaître.

- Ne t'en fais pas petite biche, bientôt tu seras libre et dieu tout puisant te protégera...

Il me semblait qu'il me parlait de religieux et me réciter ainsi des textes s'en rapportent. De nouveau, les deux hommes en combinaisons s'apprêtaient à reprendre leur activité, mais ils furent stoppé par les patients. À vu d'œil, il semblait y avoir plus de patients que de gardes. L'inconnu religieux me détachait et me faisait signe de partir d'un geste du bras. Je n'eus fait tout juste deux pas que mon regard se posait sur Luc toujours endormi.

- Merci pour votre aide. Mais il faut libérer mon ami, lui expliquais-je en désignent Luc.

- N'est-il pas mort ?

-Non, juste endormi et... assommé quelques temps avant, disais-je un peu embarrassée.

De bonne gaîté il allait délivrer Luc, cela me laisser le temps d'observer les alentours et de constater des hommes, toujours aussi uniforme physiquement, protester des textes religieux accompagné de leur croix contre le personnel.

L'homme avait fini de desserrer les sangles à ces poignets, je me rapprochais de lui pour l'aider à le porter et parcourir l'immense salle en marche rapide.

Une fois dans le couloir, des gardes étaient à terre et certain rechargeaient leurs flingues dont ils avaient déjà fait usage juste avant.

- Deux de mes frères viennent de mourir. Cela est triste, mais il faut rester fort et continuer, annonçait-il en faisant le signe de la croix que l'on fait à chaque prière.

- Vous êtes un groupe religieux ?, lui demandais-je.

Il ne pût répondre à ma question que l'un des gardes se levait et pointait son arme vers nous avec une vengeance collée au visage. Il était blessé à la jambe dont il retirait l'objet qui était une croix taillée en bois avec un long bout pointu désormais couvert de sang.

- Saloperie de sectaire !, grognait-il.

Il tirait sans trop viser et malheureusement la balle atterrissait dans la jambe gauche de Luc.

Soudain, de part la douleur, Luc se réveillait en hurlent. Le garde, lui avait un sourire qui se rallonger de plus en plus.

L'homme à côté de moi lâchait le bras de mon ami et s'élançait sur le garde. Ce dernier, ayant une arme à la main tirait, mais rien. Rien ne se produisait, son arme était épuisée.

- Que dieu me protège !, hurlait le patient qui lui mordait l'avant bras.

Le garde hurlait à son tour, il était temps pour moi de faire quelque chose.

N'ayant pas le temps de réfléchir, un autre garde arrivait et aidait son confrère.

- Petite biche ! Pars enfuis-toi loin. Toi et ton ami. Dieu tout puissant vous protèg....

Il ne pût finir sa phrase, que le deuxième garde lui plantait un découpe enveloppe dans l'abdomen.

Prise de court, j'essayais de remettre Luc sur pieds.

- Luc debout il faut partir.

- Abandonnes-moi, je ne suis qu'un freins.

- Non, aller lèves-toi !

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant