27. Traitresse

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TW : VI🟣L / Drogues

N.D.A.

Ce chapitre contient une scène de vi🟣l.
Le chapitre  n'est pas obligatoire dans la lecture de mon histoire, donc si vous ne vous sentez pas à l'aise, passez directement au chapitre suivant

VINCENZO

Fier de mon système de sécurité d'époque et non électrique, je me prépare à faire payer cette traîtresse de Chiara. Comme on dit, il faut toujours un plan B, et grâce à ce mantra, même si je me fais pirater par un débutant, je saurai toujours ce qu'il se passe. Quel fut mon étonnement quand le détecteur de mouvement du bureau s'est actionné alors que j'étais dans ma chambre, de plus au beau milieu de la nuit. Mes hommes, bien vif, ont attendu que l'enfoiré qui s'était introduit dans mon système se retire pour attraper la rousse.

C'est ainsi que je me retrouve face à elle, attachée par les mains au plafond. Elle pleure, et tremble complètement paniquée de s'être faite avoir. Je missionne un de mes hommes à la déshabiller, sa douleur n'en sera que plus jouissive.

— Je vous en prie, laissez-moi, beugle-t-elle.

Je rigole sarcastiquement et retire ma ceinture en cuir.

Les minutes passent, et je jubile intérieurement de ce retournement de situation.

— Dit moi, Chiara, pour qui travaille tu, demandais-je en faisant claquer la ceinture entre mes mains.

— Je ne sais pas ce qui m'a pris, je vous le jure, s'exprime-t-elle.

Je hoche la tête de gauche à droite et m'avance vers son corps tendu et magnifique. Enfin, plus pour très longtemps.

— Tu travailles pour Angela, c'est ça ? la questionnais-je, intéresser.

Elle ne répond pas, se contentant de pleurer. Je me rends derrière elle, et me retrouve à hauteur de ses jolies fesses. De ma main, je prends l'élan nécessaire et la fouette à l'aide de ma lanière de cuir. Elle couine face à la force de mon coup. J'en jubile déjà.

— Je vais adorer te faire du mal, mais sois gentil et répond à mes questions.

— Non, chouine-t-elle.

Clac

Ce coup si la marque d'une belle trace rouge.

— Non quoi ? Non, tu ne veux pas répondre, ou non, tu ne travailles pas pour elle ?

Je retourne devant elle, pour la regarder dans les yeux. Cette vision splendide de ses seins rebondis juste à ma hauteur me font perdre la tête.

Je commence à prendre de l'élan pour le prochain coup quand elle crie.

— Je ne travaille pas pour elle ! Je ne veux pas prendre des coups pour cette pétasse, avoue-t-elle.

— Bien, alors tu travailles pour qui ?

Silence.

Clac.

Silence.

Clac.

Elle se tortille de douleur et respire fortement. Elle est si belle, quand j'en aurai fini de cet interrogatoire qu'elle soit vivante ou morte je m'enfoncerais en elle une dernière fois.

— Tu travailles pour qui, chantonné-je en caressant son ventre de la paume de ma main.

— Personne, je bosse seule.

Nos cœurs désarmés | T.1 & T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant