Entre Asphalte et Étoiles: L'amour sur le circuit de la vie!

Chapitre 2

Ce matin, je suis réveillée par le son de mon alarme. En constatant que Lando dort toujours, je rassemble mes vêtements pour la journée et me dirige vers la douche. Ma routine habituelle s'ensuit, entre maquillage, coiffure, et enfin, je sors de la salle de bain. Lando, lui, est maintenant éveillé.

- "Ah mince, j'espère que je ne t'ai pas réveillé ?"

- "Non, ne t'inquiète pas. Je vais aller prendre ma douche."

- "Je t'attends ici ou on se rejoint en bas pour le petit déjeuner ?"

- "Attends-moi ici,"dit il je hoche la tête et m'allonge sur mon lit, plongée dans mes réseaux sociaux.

Après une attente de dix minutes, il émerge de la salle de bain. Mouillé et décontracté, il est encore plus séduisant.

- "Prête, ma belle ?"

-"Oui. "

Nous sortons de la chambre en essayant d'éviter les regards indiscrets, mais une personne parvient à prendre une photo au passage. Les spéculations dans les journaux ne se font pas attendre : "Lando a une nouvelle copine ? Charlie Smith en couple avec Lando Norris, le célèbre pilote de F1 ?"Nous tentons de dissimuler nos visages, lui avec sa main, et moi avec mon sac à main. Il prend ma main, et nous nous dirigeons vers l'ascenseur. À l'intérieur, le silence règne jusqu'à ce que les portes s'ouvrent sur la grande salle à manger où d'autres pilotes sont déjà attablés.

- "Eh Lando, on dirait que tu as enfin trouvé une copine !", dit Carlos, son ancien coéquipier.

-"Euh, non Carlos, ce n'est pas ma copine", répond Lando.

- "Je me suis fait inviter par McLaren pour le Grand Prix de ce week-end."

-"Oh, désolé"

- "Ce n'est pas grave", dis-je.

Je m'installe à une table pour deux, mais finalement, je mange seule tout en consultant mon téléphone. Alors que je m'apprête à commencer, Lando s'assoit en face de moi.

- "Alors, tu ne voulais pas manger avec moi ?"Je lève la tête pour regarde Lando manger comme si on l'avait jamais nourris de sa vie

- "Je pensais que tu voulais manger avec les autres pilotes."

- "Je ne voulais pas te laisser seule."

Nous poursuivons la conversation, échangeant sur nos familles, nos professions, et nous achevons notre repas.

- "Alors, que veux tu faire aujourd'hui ?", me demande Lando.

- "J'ai toute la matinée libre, et ce soir je dois me préparer pour le dîner avec toute l'équipe de McLaren. Je pensais aller faire du shopping."

- "OK, ça te dérange si je viens avec toi ?"

- "Non, ça me va."

Nous nous dirigeons vers la voiture de Lando, et il me fait la courtoisie de m'ouvrir la porte. À notre sortie, une foule de fans se rassemble. Lando signe des autographes et prend des photos. Les gens tentent aussi de photographier à l'intérieur de la voiture, mais je cache mon visage. Lando revient à la voiture.

- "Désolé de t'avoir fait attendre."

- "Ce n'est pas grave. C'est agréable de voir quelqu'un ravir ses fans."

- "Merci, et toi, tu ne fais pas ça avec tes fans ?"

- "Oui, mais là, les gens prendraient des photos, et nous serions dans les journaux, spéculant sur notre relation."

- "Ah, je comprends."

Il démarre la voiture, et je mets de la musique. Je me mets à chanter, et Lando se moque gentiment de moi parce que je chante faux, tout comme lui. Après plus de deux heures de shopping, nous retournons à l'hôtel pour déposer nos achats et nous préparer pour le dîner avec l'équipe de McLaren. Je choisis une tenue simple mais élégante. Lando, quant à lui, opte pour une chemise à moitié déboutonnée, dévoilant légèrement son torse.Nous achevons nos préparatifs et nous dirigeons vers le restaurant où toute l'équipe est déjà présente. Le directeur de l'écurie McLaren nous accueille chaleureusement.

- "Les voilà enfin, il ne manquait plus que vous deux. Enchanté, je suis le directeur de l'écurie McLaren," dit-il en me tendant la main.

- "Enchantée," dis-je en serrant la main.

Je m'assois à côté de Lando, et nous entamons notre repas. Au fur et à mesure que les plats arrivent, je commence à ressentir le stress monter. Je n'aime pas manger devant les gens, un problème alimentaire qui remonte à mon passé. Je sais que demain matin, je chercherai à brûler ces calories supplémentaires par une course matinale ou, au pire, en provoquant des vomissements ce soir. Lando remarque ma jambe qui tremble légèrement et pose sa main sur ma cuisse. Je prends une grande respiration et lui souris pour lui assurer que tout va bien. Il commence à me caresser doucement la cuisse pour me rassurer, et je parviens à me détendre et à commencer à manger.

Après avoir parlé avec tout le monde et terminé le repas, nous quittons le restaurant et nous dirigeons vers la voiture de Lando. Personne ne parle au début, jusqu'à ce que Lando brise le silence.

- "Pourquoi as-tu commencé à stresser quand les plats sont arrivés ?," me demande-t-il en regardant la route.

- "Je préfère ne pas en parler," dis-je. Je n'ai pas vraiment envie de lui révéler mon passé et mon trouble alimentaire.

- "Charlie, tu peux me faire confiance, tu sais ?"

- "Oui, je sais."

- "Alors parle-moi."

Je me décide à lui parler de mon trouble alimentaire et de l'abandon de mon père. Cela fait vraiment du bien de pouvoir en discuter.

-" Écoute, Charlie, je ne veux plus que tu te fasses vomir. Au pire, viens me voir quand ça t'arrive."

- "Oui, promis."

-" Bon, maintenant, on va en boîte de nuit."

Arrivés à la boîte de nuit, nous nous dirigeons vers la place VIP. Lando s'assoit, et moi, je me lance sur la piste de danse en buvant verre après verre, tout comme lui, semble-t-il. Je danse, et Lando me rejoint sur la piste. Mes mouvements deviennent plus séduisants, et il pose ses mains sur mes hanches tandis que les miennes entourent son cou. Il rapproche son visage du mien, oscillant entre mes yeux et ma bouche. À quelques centimètres de ses lèvres, je cède enfin et les presse contre les siennes. Nos langues s'entremêlent, et nous nous séparons à bout de souffle.

- "On retourne à l'hôtel ?", me demande-t-il.

- "Oui."

Nous quittons la boîte de nuit et nous dirigeons vers la voiture. Je ne suis vraiment pas en état de conduire, et lui non plus, bien qu'il semble plus saoul que moi. Arrivés à l'hôtel, nous courons jusqu'à notre chambre. En entrant, je ferme la porte, et il me pousse contre celle-ci, plaquant ses lèvres sur les miennes. On s'embrasse, et je passe mes jambes autour de sa taille. On continue à s'embrasser, et il me dépose sur le lit. Je commence à déboutonner sa chemise et son pantalon, et je les lance à l'autre bout de la pièce. Lui aussi fait de même avec mes vêtements. Il détache ma brassière et enlève ma petite culotte. Il enlève son boxer, met une capote et se positionne au-dessus de moi. Les détails suivants laissent place à votre imagination.