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Depuis le temps, j'étais en congé, Ethan m'a forcé à prendre trois semaines d'arrêt maladie, je ne foutais rien à la maison, je dormais, je regardais la télé, je faisais à manger et j'attendais qu'Ethan rentre du travail, il a fait des heures supplémentaires comme je lui avais demandé, notre couple se forgeait, mais...
Je devenais un handicap pour lui.
J'ai commencée à devenir violente physiquement et psychologiquement, je criais et je le griffais pendant nos rapports, je lui demandais d'être violent aussi, des fessées, des gifles, je devenais folle.
Le problème, c'est que je voulais transformer mon traumatisme en une forme de plaisir pour me rassurer mentalement.
Se lever chaque matin avec la première pensée étant: "il m'a violé", c'est tout sauf simple.
J'en demandais trop à Ethan, il se levait très tôt pour rentrer très tard, quand j'ai compris que je l'exploitais, je lui ai dit d'arrêter ces foutus heures supplémentaires et de rentrer à la maison dans l'après-midi, comme d'habitude.
Aujourd'hui, il était déjà sur le point de rentrer à la maison, j'ai voulue lui faire plaisir... j'ai préparé le dessert en avance.
J'avais acheté des gros pots de glace et une belle lingerie qui ressortait mon ventre déjà rond et ma poitrine qui grossissait encore plus.
Ethan aimait beaucoup ça, qu'est-ce qu'il n'aimait pas chez moi ?
Le moindre petit truc que je faisais le rendait amoureux, il a déjà bandé parce que je saignais du nez.
Son fils me fatigue aussi, j'étais enrhumée à cause de ce voyou et j'avais la libido au max.
J'avais des maux de ventre, mais bon... mon bébé grandit, il fait treize centimètres et ses cheveux vont sûrement apparaître sur la prochaine échographie, elle sera la semaine prochaine, Alejandro fera la taille d'une poire et il fera cent cinquante grammes.
