Fatima : La Femme Du Boss

Le début des ennuis ?

Pov Fatima.
Après ma journée de travail. Je décide d’aller voir ma deuxième famille : tata Alima et cie. Ces gens me manquent.

Dès que je franchis la porte elles se jettent toutes sur moi manquant de me faire tomber.

Tata Alima : wellelele. Kein dou Pa Diagne. Il l’avait dit. Je savais qu’il allait ramper pour te
ramener.
Pov Fatima.
Après ma journée de travail. Je décide d’aller voir ma deuxième famille : tata Alima et cie. Ces gens me manquent.

Dès que je franchis la porte elles se jettent toutes sur moi manquant de me faire tomber.

Tata Alima : wellelele. Kein dou Pa Diagne. Il l’avait dit. Je savais qu’il allait ramper pour te
ramener.

J’étais confuse. De quoi elle parlait ?

-pardon ? Qu’est-ce qu’il a dit ? J’ai raté quelque chose on dirait.

Elle et Amina se regardent comme si elle venait de faire une grosse bourde.

Tata Alima : je t’expliquerai plus tard. Viens vite j’ai préparé des nems, fataya et mini pizzas rien que pour te donner assez d’énergie pour touuuuuuut nous raconter.

Amina : respire 5 min puis déballe tout on meurt d’impatience là. Têtue que tu es je croyais que t’allais jamais y retourner.

-où est tonton Moustapha il me manque tellement.

Amina : c’est nous qui sommes là et tu fais à peine attention à nous. Mon père est en voyage. Maintenant concentre-toi j’ai mis en suspens tous mes programmes juste cas bi ( les potins ).

Je déguste les mets préparéspar tata Alima. Cette dernière et Amina étaient là à me fixer avec hâte que je dise enfin un mot.

-une vraie cordon bleue. Tu n’es pas prête d’avoir une coepouse deh. La zone est minée.

Amina : tu manges bien c’est bon ? Tu peux commencer à parler tu sais. Ne prends pas trop ton temps non plus. Pikine ngay gnibi bul fatei  ( n’oublies pas que tu rentres à pikine ).

-vous dal si je comprends bien ma présence en tant que telle ne vous intéresse pas. Mais plutôt ce que j’ai à raconter.

Tata Alima : ici c’est chez toi. Mais raconte nak pourquoi il t’a cherché dans tout le pays ? Hmmm baa dou da am lou khew si digeuntei bi ( ou s’est-il passé quelque chose entre vous ? )

Amina : khamna dafko namone rek maa. ( je pense qu’elle lui manquait ).

Elles sont impossibles celles là. Je rigolais à leurs théories.

-il n’en est rien. C’est boss Ibrahima. Vous vous  souvenez. C’est lui qui a eu vent de l’histoire et lui a mis la pression pour que je revienne.

Amina : ce vieux est-ce qu’il ne serait pas amoureux de toi ?  Il te chérit trop deh.

Amina : arrête ça c’est comme un papa pour moi. On reste professionnels. En plus il est gentil avec tout le monde.

Tata Alima : particulièrement avec toi. Et il n’y a pas de mal à cela l’amour n’a pas de limite d’âge.

-arreter lein nak. C’est gênant ça. Vous ne pourrez pas comprendre. C’est une âme bienveillante. Dafa am sma yeurmande rek. Je me pose plutôt des questions sur sa relation avec Ndiouga. Il n’ose rien lui refuser or ils travaillent juste ensemble. Je ne sais même pas quelle place occupe qui dans l’entreprise et dans la vie de l’autre. Je ne veux pas demander au risque de paraître indiscrète.

Tata Alima : C’est un groupe kay il doit être de la famille. C’est sûrement son oncle ou même son père.

-non c’est pas son père.