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Shalom,

«J'estime d'ailleurs qu'il n'y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire qui va se révéler en nous.»
‭‭Romains‬ ‭8‬:‭18‬ ‭BDS‬‬

M  A R J E R I

-Julie: *sourire* vous êtes revenu madame ?!

-Moi: *en roulant des yeux* si tu me vois c'est que je suis revenu.

-Julie: c'est juste que je suis contente de vous voir.

-Moi: monte nos valises dans ma chambre. Et ramène-moi du thé glacé avec quelque chose de sucré.

-Julie: oui madame.

Elle s'en alla faire ce que je lui avait dit, j'allais m'installer au salon et scrollais sur mon téléphone, je pris plusieurs selfies et les postais sur mes réseaux sociaux.

-Jacob: toujours entrain de prendre des photos.

-Moi: *sourire* il faut bien que ma beauté serve à quelque chose non ?

-Jacob: *rire* l'humilité ne fais pas parti de tes qualités.

-Moi: tout comme toi chéri.

-Jacob: qui se ressemblent s'aiment.

A ce moment-là, Julie vint avec ce que je lui avais demandé.

-Moi: et le plateau de monsieur ? Il doit le faire tout seul ?!

-Julie: euh...c'est juste...

-Jacob: c'est bon ne t'en fais pas Julie, je n'ai pas faim.

-Moi: tu peux partir.

-Julie: d'accord madame, mais que voulez-vous mangez ce soir ?

-Moi: tu sais bien que je ne mange que de la salade le soir pourquoi me le demandes-tu ? Tu as déjà oublié mes habitudes ? Pourquoi est-ce que ma mère te garde, tu es si incompétente.

-Jacob: calme toi Marjeri tu n'es pas obligé d'être aussi dure avec elle, la pauvre est sur le point de pleurer.

-Moi: dégage avant que ce ne soit moi qui ne te vire.

-Julie: *en séchant ses larmes* oui madame.

Elle partit presqu'en courant, je ne sais pas réellement pourquoi mais je détestais cette femme, d'aussi loin que je me souvienne, elle a toujours été avec nous et d'aussi loin que je me souvienne, je ne l'ai jamais aimé. Son existence pour moi était insignifiante, elle n'était qu'un parasite qui était accroché à ma famille pourtant elle avait l'audace de me regarder avec de la pitié et de l'inquiétude. Comme si une moins que rien comme elle avait le droit d'avoir de la peine pour moi.

-Jacob: pourquoi es-tu si méchante avec elle ?

-Moi: je ne l'aime pas.

-Jacob: Julie ?! Mais elle est si gentille !

-Moi: *silence* elle ne sait pas rester à sa place.

Z A Ï R E - Au bout du chemin, l'amour m'attendOù les histoires vivent. Découvrez maintenant