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Juillet 2018

France

PDV ANTOINE

Le retour en France est juste incroyable. Je ne m'attendais pas à une telle effervescence. Je suis au fond du bus et il y a du monde de partout alors qu'on est sur le périphérique parisien. Des motos nous suivent, c'est irréel.

On s'est garé pour pouvoir changer de bus, on est censé être à l'abris des regards et pourtant on voit plein de monde et ça cris de tous les côtés.

-Pavard il est à poil, il va toutes nous les faire tomber.

On rigole tous.

-Victoire ne vient pas avec nous? demande Paul à Olivier.

-Elle est avec les familles. répond Didier. C'est votre moment, elle vous le laisse.

Je suis clairement déçus qu'elle ne soit pas avec nous, Victoire à été plus qu'importante pour moi dans cette coupe du monde. Sans elle, j'aurai pu perdre pied plusieurs fois.

Le bus démarre et on s'en va pour descendre les champs Elysée, la foule ne semble pas désemplir. Ca cri de partout, on entend nos noms de partout, il y a des pancartes, ce n'est pas quelque chose que je vais oublier. Victoire avait raison, on était couper de tout, et on a en réalité tout un pays qui nous a soutenu.

Il a fallu se changer une nouvelle fois avant d'arriver à l'Elysée, il était pas possible qu'on y aille avec nos écharpes et nos tee shirts. On a enfiler nos smokigs pour entrer dans l'Elysée. J'ai manquer d'exploser de rire en entendant Lucas chambré les Belges. Le président nous acceuille et nous emmène dans son jardin. Je souris en voyant Victoire avec les familles.

Paul nous a fait du grand Paul en mettant le feu à l'Elysée et à su gêner notre NG national. J'ai zapper toute notion de fatigue, et j'ai kiffer les petits fours de l'Elysée.

-Alors le bus? demande Victoire.

-T'aurais du venir avec nous. dit Paul. T'avais ta place.

-Non, c'était votre moment.

-C'est fini. dit Hugo. Retour à la vie normal.

-Mais à la vie de champion du monde. j'ajoute.

-Vous faites quoi vous? demande Pavard.

Chacun donne ces plans.

-Et toi Victoire? je questionne Victoire. Tu fais quoi?

Je vois à ces yeux qu'elle a envie de me tuer, ce qui me fait bien rire. Je souris en entendant sa réponse.

-Je pars en vacances. J'ai besoin de soleil, j'en peux plus de la Russie.

-Et toi Griezmann? demande Olivier. Retour avec ta petite famille?

Je soupire, sachant que c'est le moment.

-Je ne voulais pas en parler, parce que ce n'étais pas le moment. je leur avoue. Mais je suis séparer avec Erika. On passe au tribunal en septembre pour le divorce.

Tout le monde semble surpris, il faut dire qu'on a été très doué pour jouer un rôle. La preuve en est, Erika n'est qu'à quelque mètre à rire avec ma mère avec toujours son alliance à son annulaire.

-Mais pourquoi?

-Parce qu'elle couchait avec un autre. je réponds à Olivier.

Par chance la conversation s'arrête ici lorsque Didier arrive.

-Les garçons profité de vos familles et de ces vacances bien mérité. On se revoit à la rentré bien motivé pour de nouvelles aventures. Mon coeur, tu viens avec nous?

-Oui. dit Victoire. Je vais récupérer mes affaires et dire au revoir.

Elle est parti dire au revoir à tout le monde et j'ai réussi à m'extirper vers les vestiraires.

-J'aimerai les affaires de Mademoiselle Deschamps. je demande au vestiaire.

Elle me tend se que Victoire à poser et je lui remercie. La voyant arrivé je me suis mis en retrait pour qu'elle ne me remarque pas directement la laissant demander ces affaires.

-C'est ça que tu veux? je demande.

-Oui. elle sourit.

Je prend sa veste et l'aide pour l'enfiler, je ressors ces cheveux et lui tend son sac à main.

-Merci. elle sourit.

-Prête à dormir sans moi? je demande.

-J'aurais toute la place dans le lit. Tu ne vas donc pas me manquer.

-Ok.

Je m'en vais mais je souris quand elle me retiens.

-Tu sais que tu es un enfoiré? elle me demande. Je pars en vacances avec qui?

-J'ai bien rigoler. On se voit dans une semaine.

-Tu vas survivre sans moi?

-Vu que je compte t'appeler? Oui.

Elle sourit.

-Profite et célébre ta victoire.

-Tu ne veux pas venir? je lui propose.

-Il n'y a rien entre nous, mais on se sait Antoine. Erika je l'apprécie beaucoup, et ce n'est pas respectueux pour elle de faire ça.

Je soupire sachant qu'elle a raison.

-J'y vais, mes parents vont m'attendre. On s'appel?

-Oui m'dame.

Je la prend rapidement dans mes bras et lui embrasse la tempe. Elle s'en va et moi je vais rejoindre ma famille. Mia était fatigué, on est parti pour aller à l'hôtel avant de prendre un train pour rentré chez mes parents le lendemain matin.

Sept T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant