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Janvier 2019

France

PDV VICTOIRE

-Papa on a fait du patin avec maman.

-C'est trop bien ça. dit Enzo.

-Et on a manger avec papy et mamie.

Je souris la voyant heureuse de sa journée avec moi.

-Tu as passé une bonne journée?

-Oui. C'était trop bien. Même que j'ai eu des cadeaux de Père Noël. De maman et de Antoine.

-Trop bien. Mon coeur tu vas joué dans ta chambre. Papa veut parler à maman.

Elle est parti et j'ai regarder Enzo surpris. Ce n'était pas prévu qu'on parle.

-Mes parents m'attendent.

-Ce sera rapide. Il y a quoi entre lui et toi?

-Lui qui? je demande.

-Antoine. Où il y en a plusieurs?

-Enzo je t'en pris.

-J'attend.

-Quoi?

-Que tu me parles de lui? De vous?

Je soupire.

-On est ensemble.

-Depuis quand?

-Un mois et demi.

-Cesse de me mentir.

-Mais je ne te mens pas. Je sors avec lui que depuis un mois et demi.

-Depuis quand tu le fréquente.

-Cette été.

-Tu n'as jamais cru en nous en faite.

-Pardon?

-A peine sorti tu trouves un autre mec à te taper. Alors que je t'ai attendu.

-Mais Enzo, tu m'as interner de force. Jamais de la vie je ne serai revenue vers toi. J'avais besoin d'aide, tu ne m'as pas aider une seule fois.

-Tu étais dangereuse Victoire.

-Tu m'as forcé à avoir un enfant.

-Je ne t'ai pas forcé, tu l'as voulu.

-Tu sais quoi laisse tomber. On a jamais pu parler tous les deux. Ca a toujours était toi qui parle et je ne peux rien dire.

-Ne me fait pas passer pour le méchant.

-Tu m'as enlevé ma fille Enzo. je cri. Tu penses être le gentil? Je ne peux plus la voir. Je ne sais plus rien d'elle.

-Et toi tu te fais toujours passer pour la victime. il dit. J'ai simplement essayé de protéger notre famille.

Je soupire.

-Si tu veux me parler, tu le feras en présence de nos avocats. Violette tu viens me faire un bisous à maman.

-Je vais être plus claire Victoire. dit Enzo. Revois cet homme, tu peux faire un trait sur ta fille.

-Tu me menaces?

-Je te préviens. C'est soit ta fille, soit cet homme.

-Tu n'as pas le droit Enzo. Et même, tu n'y arriveras pas.

-J'ai réussi à t'interner. il répond. Si je veux plus que tu ne la vois, tu ne la verra plus. Mais je suis gentil, je te laisses le choix. A toi de voir auquel tu tiens le plus. Ta fille ou ton connard de footballeur?

-Ecoute moi bien Enzo. J'ai rien dit la première fois. Je pensais que c'était dans mon intérêt. Mais enlève moi ma fille, et je te jure que tu t'en mordra les doigts.

-Si tu fais le bon choix, tu la verras autant que tu voudras. Je t'aime Victoire, je ne veux que ton bonheur.

Il a réussi à m'embrasser et je me suis reculer à la seconde. Ma main est aller claquer sur sa joue, j'ai pris mes affaires et je suis sorti.

-Ca va? demande ma mère en me voyant monter dans la voiture.

-Oui.

Ils sont parti et mon père m'a déposer chez moi. Ils sont monté chez moi, et je n'ai pas vraiment parler.

-Qu'est ce qu'il y a mon coeur? demande mon père. Tu t'es disputé avec Antoine.

-Non.

-Avec Enzo?

-Non. je répond. Je suis juste triste de l'avoir laisser. C'est rien papa, vraiment.

J'ai menti à mes parents ne voulant pas aller les inquiéter plus. Ils ont fini par partir et moi je me suis enfermer une fois seule.

Je me suis effondrée dans le canapé, me rendant compte qu'Enzo à toujours cette emprise sur moi. Qu'il sait toujours comment me manipuler. Et au final il me met le doute. Je sais qu'il serai capable de m'enlever ma fille. Je serai malheureuse dans les deux cas.

J'ai passé la nuit à réfléchir sur les différentes solutions que je puisse prendre. A chaque fois j'ai une issus différente mais je perds dans tous les cas.

En parler à mon avocat, ne servirait à rien.

En parler à mes parents, je n'en n'ai pas envie. Je refuse de les inquiéter encore plus. Ils ont passer ces dernières années à faire des nuits blanches à causes de moi. Je m'en veux que ma prise de décision les impacte eux en premier.

Au final, la solution ne me plait pas mais ça va être la seule chose à faire. J'espère qu'il me comprendra.


Sept T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant