Sept T1

21

Octobre 2018

Espagne

PDV VICTOIRE

-Tu en as pensé quoi? me demande Antoine une fois dans la voiture.

-Ca dépend le genre de maison que tu veux. Mais elle je l'ai trouver très froide, pas lumineuse.

-Je suis d'accord.

-Tu ne réfléchi pas en fonction de ce que je te dis? je demande.

-Pas que. il répond. Si je me trompe pas, c'est la dernière pour aujourd'hui.

-Pourquoi tu prends mon avis autant en compte.

-Parce que tu es une femme et tu as bon gout.

-Tu ne connais pas ma déco.

-Mais même. Et puis je veux que tu t'y sentes bien.

J'ai changer la musique pour mettre du Ninho et on a chanter tous les deux.

-Pourquoi tu as retenue celle-là? je demande.

-On est à 20 minutes du stades et 10 de l'école de Mia.

-Elle est bien placé.

-Mieux que l'autre.

Il se gare, la maison est en visite libre toute la maison. Il y a d'autres personnes qui visite. L'entrée donne sur une immense pièce à vivre, avec des baies énorme. Une sorte de trou pour l'espace de vie avec le canapé.

-C'est super grand. je dis.

-Et lumineux. il constate.

On continu vers la cuisine qui est ouverte sur la pièce à vivre. Elle est blanche et est encore une fois très lumineuse. Une fenêtre panoramique donne sur le jardin pour faire la vaisselle.

-C'est fonctionnelle. je dis en ouvrant les placards.

-Et je pourrai voir Mia de partout.

-Oui.

On a vu la buanderie et le garde mangé avant de monter à l'étage. Il y a 6 chambres avec un grand dressing et trois avec des salles de bain. On termine par la suite parentale qui est juste incroyable.

-La baignoire dans la chambre. je souris. Super l'intimité.

-Moi j'aime bien. Je nous imagine bien. il dit moins fort.

Je le frappe et il rigole. On a été au sous sol, puisque je la maison est en quelque sorte sur pilotie. On y trouve une salle de jeu et de sport. Et une salle de cinéma privé. On termine sur l'extérieur ou il y a un immense jardin.

-Il y a un terrain de basket. sourit Antoine.

-Tout ce que tu aimes. je souris.

-Il manque une piscine. Mia adore se baigner et c'est plus que nécéssaire ici.

-Après tu as largement la place pour la faire construire. je dis.

-Oui, c'est vrai.

-Tu en penses quoi? je demande.

-J'aime bien le jardin et savoir que je peux voir l'extérieur de partout. La maison est incoryable, mais est ce que ce n'est pas un caprice de vouloir si grand alors que je suis seul. il me questionne.

-Je ne sais pas. Tu auras Mia. Moi ça ne me choque pas, mais j'ai l'habitude des maisons de footballeur.

-Parce que tu as fait beaucoup de maison de footballeur? il me questionne ne levant un sourcil.

-T'oublie qui est mon père. je souris. Et que j'en considère beaucoup comme des frères.

-C'est vrai.

-Après tu peux te donner le temps de réfléchir Anto. Tu n'est pas presser.

-Non, mais j'aime cette maison.

-Tu as peur de quoi?

-De me sentir seul. il m'avoue. C'est déprimant une grande maison et d'être seul. Mais d'un autre côté il y a tout que j'aime.

-Et bien fait une offre, et tu verras. Si ils te la valident c'est qu'elle était faite pour toi. Sinon tant pis. Et puis si tu changes d'avis, une offre n'engage à rien.

-C'est vrai.

Finalement Antoine à fait une offre et notre journée s'est terminé. On est rentré à l'hôtel pour se poser.

-Oui papa. je dis au téléphone.

-Et tu viens seule?

-Avec qui tu veux que je viennes? je demande.

-Je ne sais pas, avec qui tu es en Espagne.

Je pouffe de rire.

-Je ne sais pas. Je peux?

-Bien sur que oui. il répond. Maman me fait signe et elle est pour qu'il vienne.

-Je vous redis, mais je ne sais pas.

-Et tu sais si tu auras Violette?

-Je ne sais pas. Je vais demander à Enzo. Mais je ne suis pas sur, je l'ai déjà eu une fois ce mois si. Et tu connais Enzo.

-Je sais. il soupire. Bon je ne t'embête pas plus longtemps. Passe un bonjour à mon numéro 7.

-Ca marche.

On a fini par raccrocher et je regarde Antoine.

-Tu as un bonjour de papa.

Je vois mon ami sourire. Je le rejoins dans la cuisine et je l'aide à couper les fruits.

-Maman a demander si tu voulais venir à l'anniversaire de papa.

-L'anniversaire de Didier. il sourit. Mon statut de chouchou va être conforter.

-Je ne veux pas que tu sentes obligé. j'ajoute. Mais tu es le bienvenu.

-Vous le faites quand?

-Le 18. Toute la famille et des amis de papa viennent manger.

-Je peux. il répond. Mais la question étant, est ce que tu veux de moi?

-Avoir l'occasion de passer le week-end avec toi? C'est oui direct. En plus tu pourras voir ma déco, peut être que tu voudras m'engager pour être ta décoratrice personnelle.

-Alors je serai là. il répond avant de déposer ces lèvres sur les miennes.

-Vous prenez beaucoup de liberté monsieur Griezmann. je dis en me glissant dans ces bras.

-Parce que ça te dérange? il répond.

Il me surprend pour m'asseoir sur le plan de travail.

-Pas le moins du monde. je rétorque.

-Tant mieux. il dit en partant.

-Antoine. je l'engueule.

-Quoi? Tu voulais un truc? il me demande joueur.

-Pas de soucis, tu veux jouer, on va jouer. je répond.

-Tu vas perdre. il dit en s'approchant de nouveau.

Je descend du plan de travail pour me mettre à sa hauteur.

-Tu n'as jamais joué avec moi. je répond. Je gagne toujours. Sois prêt à perdre.