Kaya (6 ans)
La fin de l'été arrive et avec la rentrée des classes, que je redoute comme chaque année depuis la moyenne section, car je suis la fille trop grande pour sont âge que tout le monde rit de moi, parce que j'ai des lunette et que je bégaye a cause de mon appareil dentaire, ma couleur de peau les fait rire aussi car contrairement a mon jumeau Andréas je suis matte car je tien de maman, qui es d'origine Amérindienne, papa lui es français et Andréas tiens de lui, la seule chose que j'ai de papa ce sont c'est cheveux brun le reste et tout comme maman, je la déteste souvent pour sa d'ailleurs. Ce soir la je ne dors pas correctement ce qui es un comble pour la petite marmotte que je suis, mais demain sera la rentrer et si je me plais pas en CP et si la maitresse est une horrible femme comme la directrice de Matilda dans le film et qu'elle punit les enfant dans l'étouffoir pendant des heures, je fais des cauchemars toutes la nuit et le jour arrivent bien trop tôt a mon goût, beaucoup trop vite même....
Maman vient dans ma chambre pour ouvrir mon rideau comme tous les matins, le soleil caresse mon visage de ses rayons chaud et je fronce le nez. Elle se penche au dessus de moi et embrasse le bout de mon nez.
-Aller petite marmotte debout aujourd'hui tu fais ton entrée dans la cour des grand ma petite Aponi*. Dit-elle avec le sourire aux lèvres.
-Maman tu crois que si je suis malade pour ma rentrer c'est grave. Dit-je sans conviction car elle détecte nos tentative a moi et mon frère pour les soit disant maladie imaginaire.
-Kaya tu va as l'école et puis c'est tout, pas de discutions et tu le sais, a part si tu veux que j'appel ton père ?
-Non, non c'est bon ne dérange pas papa pour sa hein. Je me lève c'est bon. Dis-je en sautant de mon lit et part m'habiller pour l'école.
Maman quitte ma chambre pour descendre en bas préparer notre petit déjeuner a Andreas et moi, bien-sur quand j'arrive se faillo qui me sert de frère est déjà la en train de déjeuner. Papa lui lis sont journal le « Midi Libre » comme tout les matins en buvant sont café fumant.
-Bonjour papa. Dis-je.
-Bonjour marmotte, alors comme sa on ne veut pas aller a l'école ?
Je fusille du regard maman qui as encore une fois tout dit a papa et je vais avoir droit au sermon de tout les jours d'école qui est « Kaya si tu veux t'en sortir dans la vie, faut aller a l'école et apprendre, regarde moi tu vois je suis expert comptable et de renom pour un brillant cabinet d'avocat et je me suis battue pour sa tout les jours, blablabla.... »
*Aponi : signifie papillon en Amérindiens.
-Jacques arrête de lui dire, je pense que notre petite Kaya sais tous sa maintenant. Dit maman en souriant a papa avant de l'embrasser, beurk ils sont dégoutant vraiment, je déjeune et embête mon frère comme tout les matins c'est mon passe temps favoris.
-Les enfants on y va, dépêcher vous. Nous dit papa qui nous emmène tout les matin a l'école pour certains, mais une prison faite de béton et de verre pour moi, je rêves de pouvoir partir vivre dans la tribu de Papadou qui se trouve dans le désert du Texas, sont village qu'il appel sa tribu car c'était la ou vivais les Apach avant la colonisation, et tienne as garder les coutumes de leur ancêtre de ce qu'il nous as expliqué, c'est paysage ocre mon toujours fait rêver, un fois arriver devant l'école Andreas et moi sortons de la voiture de notre père, ce dernier ne s'éternise pas il est toujours presser de partir travailler. Je regarde le bâtiment qui va être ma prison pendant dix long mois et heureusement que les vacances existe.
-Tu ne me laisse pas Andreas. Dis-je tout bas car mon frère jumeau et mon seul et unique ami depuis notre naissance.
-Jamais Kaya, jamais, c'est toi et moi face as tous, tant qu'on est ensembles il peut rien nous arriver. Dit-il en me souriant, cette phrase est notre mentrat depuis toujours, et on la répète à chaque fois que nous avons besoin.
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Midnight Love
RomanceIl ne croit pas en l'amour, pour lui ce n'est qu'un comte de bonne femme, il s'interdit d'aimer, ce n'est pas pour lui, il en connaît même pas la définition ni la conjugaison. Elle croit au prince charmant sur sont cheval blanc, mais l'amour elle n'...