❛ 𝐇 𝐄 𝐀 𝐑 𝐓 𝐋 𝐄 𝐒 𝐒 ❜ 𝑪𝒉𝒊𝒔𝒉𝒊𝒚𝒂 𝑺𝒉𝒖𝒏𝒕𝒂𝒓𝒐

𝟒𝟎 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑 𝐁𝐀𝐓𝐓𝐀𝐍𝐓 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝒇𝒊𝒏𝒂𝒍𝒆

𝐶𝑜𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 :

❝1. Être en vie. 2. Métaphore pour exprimer la présence de sentiment. ❞

𝑆𝑦𝑛𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒𝑠 :

- éprouver - ressentir -

┃𝙏𝙒 : 𝘚𝘤𝘦̀𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘩𝘦𝘶𝘳𝘵𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘴𝘦𝘯𝘴𝘪𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴

┃𝙃𝙪𝙣𝙜𝙚𝙧 𝙙𝙚 𝙍𝙤𝙨𝙨 𝘾𝙤𝙥𝙥𝙚𝙧𝙢𝙖𝙣 𝘦𝘴𝘵 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘮𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦́ 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘱𝘪𝘵𝘳𝘦.

♚

𝐏 𝐎 𝐈 𝐍 𝐓 𝐃 𝐄 𝐕 𝐔 𝐄
𝒆𝒙𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓

Le meurtre, cette action de reprendre le contrôle de force sur quelque chose ou quelqu'un. Par attaque, pour se défendre.
Dans certaines situations votre peine sera allégée. Vous n'aviez peut-être pas le choix. Vous étiez au pieds du mur face a quelqu'un qui ne vous, ou à l'un de vos proche, ne voulait pas du bien. Le juge comprendra vos motivations et allègera votre peine, de plus, même si vous êtes ce que vous êtes : Un meurtrier, certains ne vous jugeront pas. Ils auraient fait pareille.
C'est humain de se défendre face a un danger, surtout un danger de mort.
Ce qui ne l'est pas est le meurtre pour obtenir des biens que vous juger "vous appartenir".
Vous tuer par cupidité, jalousie de l'autre, vous vous salissez les mains pour du superficielle. Tout le monde vous verra comme un monstre froid et sans cœur. Et navré de vous le dire, mais c'est ce que vous êtes.

L'hôpital baigne dans la lumière de se beau soleil d'été, il pénétre les baies vitrées, allant se balader dans la salle d'attente, sur le visage des patients qui n'ont pas le courage jusqu'ici de mettre le nez hors de le leurs chambres. Il parcourt les lits, les couloirs. Hormis celui de l'aile sécurisé.
L'aile des patients potentiellement dangereux, des comfirmer comme les criminels. Les murs sont froid et empêche les rayons chaud et la dopamine du soleil de donner vie à l'endroit. Cette partie de l'hôpital est la seule à ne pas avoir été rénovée, les lieux sont vieux tout comme les chauffages. La seule source de chaleur du lieu, hélas, ça ne motive pas grand monde à venir sans en avoir l'obligation.

Dans une petite salle, petite est le mots vu la petitesse du lieu, autour d'une table blanche, de deux chaises blanche dans une pièce blanche. Froide et aussi accueillante que le reste, se trouve deux personnes.
Le coupable et le psychiatre.
L'un avait les mains sur son carnet à prendre des notes. L'autre menotté à ma table. La criminel répond au nom de Tommie. Elle refusait de parler depuis un moment et quand elle ouvre la bouche c'est soit pour se plaindre, soit pour sortir une réplique cinglante ou pour...

_______ Je vous l'ai dit...je n'ai rien fait. C'est arrivé il y a plus de dix ans...bien avant que je ne sois téléporté dans l'autre monde.

Encore cette histoire de monde dystopique qu'elle glane a qui lui adressait la parole.
D'après la jeune fille, les faits étaient liés à une histoire de yakuza, d'un père puis d'un fils qui l'aurai retrouvé dans son monde étrange. Niragi. de ce qui est renseigné sur le papier que le psychiatre frappe du bout de son stylo. Ce rabachement sans relâche était lourd et son mécontentement commençait à se voir.

_______ Vous êtes bien consciente de ce que vous dites n'est-ce pas ? Vous vous rendez compte de l'extrémité à laquelle vous êtes arrivés ?

La fille, comme à son habitude, lorsque quelqu'un dément ses dires et qu'elle n'avait pas envie de repondre, se plonge dans l'ignorance complète.
À cette réaction le docteur se pencha sur la table, un geste qui en aurait intimidé plus d'un. D'une voix clair direct et sans détour il dit :