Le fil rouge (Borusara)

-Chapitre 8- Qu'est ce qu'il m'arrive ?

TW : Sang, crise d'angoisse, mort cadavre.

Bien le bonjour c'est encore moiii!
En ce qui concerne la suite de cette fanfic j'en ai vraiment pas la moindre idée. Le problème c'est que je me souviens de la fin que je voulais donner mais je connais plus les étapes.

Si j'avais arrêté d'écrire c'est parce que j'envisageais de faire entre 30 et 40 chapitres. Et au fil du temps j'ai trouvé que mon plan manquait de cohérence.
Je le modifie donc totalement en essayant quand même d'arriver à cette fin car je me rappelle à quel point je l'aimais. Il n'y aura donc pas de deuxième time skip (je me rappelais plus pourquoi).😭
J'essaierai de faire le moins d'incohérences.
J'ai d'ailleurs totalement modifié et corrigé le chapitre un. J'avais moi même du mal à me relire donc je n'imagine même pas vous.

Bonne lecture !

Point de vu Boruto

J'ouvre lentement les yeux pour tomber sur le plafond beige de ma chambre.
Je grogne légèrement face à une violente douleur à la tête.
Un frisson parcours ma colonne tandis que je ressentais encore cet étrange poid dans mon chakra.

Je me relève sur mes coudes mais mon corps ne suit pas ce que mon cerveau demande. Je m'effondre donc sur mon lit dans un bruit sourd.

Putain...

Dans un geste désespéré, je tente d'appeler ma mère. Après quelques minutes sans l'entende d'un quelconque bruit je comprends que personne ne m'a entendu.

Je n'ai donc pas d'autres choix que de me lever. Je passe mes jambes en dehors du matela et je m'appuie avec mes bras sur la structure. Utilisant le peu de force qui me restait, je glisse pour me tenir debout.

L'espace d'un instant, je tenais sur mes deux jambes, puis, l'instant d'après j'étais écroulé sur le sol.

Je marmonne un juron et je ramène mes jambes contre mon ventre.

Ma vue commence à devenir de plus en plus flou et ma tête est devenue soudainement très lourde. Je ferme douloureusement les yeux et j'enfonce mes ongles dans ma paume pour éviter de crier de douleur. Je n'osais même plus appeler ma mère. Si elle arrivait et qu'elle me voyait dans cet état elle prendrait peur.

Je rampe jusqu'à mon bureau et j'ouvre un tiroir. J'attrape une boîte de médicaments et précipitamment, je l'ouvre. Je verse les cachets dans ma mains et les prends sans eau.

Ensuite, je m'appuie contre mon bureau et je me mords le poignet en attendant qu'ils fassent effet. Les larmes coulaient le long de mes joues. L'air passait de moins en moins dans mes poumons. Avec ma main gauche, je tenais fermement ma chaise dans l'espoir que tout s'atténue rapidement.

Après une dizaine de minutes, les douleurs devenaient de plus en plus supportables.

Je passe mon bras sur mes yeux essuyant mes pleurs. Je prends une profonde inspiration avant de tenter de ravaler ma salive. Je réouvre mes yeux encore flous par mes larmes. Il fallait que je me lève.
Je pose la paume de ma main sur la chaise, replis mes genoux et me lève.
Mes jambes tremblaient mais je tenais debout.

Un soupire de soulagement s'échappe de mes lèvres. Tout en boitant, je marche à travers ma chambre mal en point. Pourtant, il fallait que j'ai l'air bien.. Je regarde l'heure sur mon réveil 11h11. Il me semble que ChoCho avait dit un jour que : lorsque on regardait l'heure et qu'on tombait sur des heures miroirs, cela avait une signification. Je ne sais pas ce que veut dire 11h11 mais cela ne doit pas être si important.

Du bout des doigts, je touche la poignet métallique de ma chambre puis je l'ouvre d'un coup sec.

Tout semble calme dans la maison. Aucun bruit de fond que ce soit de la télévision ou d'une quelconque discussion.