Fabricant de cauchemar

Chapitre 6: A bout

Rigel m avait toujours regardé comme si j'étais transparente ou comme un déchet, il avait l'air d'être dégoûté de ma présence même entre les quatres murs du couloir de notre lycée il avait l'air écœurer de moi. Je me suis toujours demander si au fond de lui il y avait un cœur qui battait bien enfouit, je me suis toujours posé la question si il ressentais des choses. Tout ce qu'il s'avait faire était de faire régner la terreur tel un cauchemar que l'on fait chaque fois que l'on ferme les yeux.
    - Ho mon dieu qu'il est beau.
    - Regardez.
    - J'espère qu'il m'invitera au bal.
Depuis ça bagarre Rigel était devenu populaire au près des filles, bien qu'elles lui tournaient au tour comme des guêpes, il n'avait jamais prêté attention à elles. Elles avaient beau lui parler soit il trasser son chemin soit il leur disait d'aller voir ailleurs mais cela ne faisait qu'empirer. Il ce trouver là assis devant ce piano de la salle de musique, une fille ce trouver devant la porte. Ces cheveux étaient lisses et son maquillage était parfait, ces ongles étaient vernis et elle tenais un sac a main, cependant Rigel venait juste de finir de jouer, il pris son sac sur une épaule et essaya de passer mais la fille aux cheveux bruns l'en empêcher.
    - Dis tu joue toujours aussi bien ?
Rigel avait l'air distant mais calme, pas comme quand nous étions tout seul dans la même pièce.
    - Seulement quand les filles dans ton genre ne vienne pas m'embêter.
    - Qu'est ce que tu veux dire par mon genre ?
Il tourna lentement la tête vers elle pour la regarder, un sourire en coin tandis qu'elle le regarder avec des yeux de biche. Je savais ce que son sourire voulait dire, il était près à morde à piquer là où ça fait mal comme il le faisait toujours avec moi pour la tenir à distance de lui.
    - Le genre de fille qui fait les trottoirs.
Il passa à côté d'elle sens prêter attention aux exclamations choqué des autres, elle était resté planté la, pétrifié par ces paroles. Mais elle n'avait pas l'air blessée, pas du tout, elle avait l'air de persévérer.

Je me trouvais à mon bureau essayant de réviser un peu mon cours de littérature, après plusieurs heures je décida de faire une pause, sachant que Rigel avait des heures de colles et que Lucie et Paul n'allaient pas rentrer avant ce soir à la maison j'avais la maison pour moi seule. J'allais dans la cuisine prendre quelques cookies et pris un livre. Je me souvenue que nous nous racontions beaucoup d'histoire à la Haute Barde mais celle qui était la plus importante pour nous était celle du fabricant de cauchemar, un homme qui aurait perdue ca femme et voulait faire payer tout les habitants praitendent que c'était de leurs faute, il faisait régner peur et terreur dans les rêves des gens.
La porte d'entrée claqua me faisait sursauter, je me tournis pensent que c'était peut être Lucie j'affichais un sourire heureux, un sourire qui s'évanouit dès que je vis Rigel, ces grand yeux bleu foncé me transperçaient puis sens un mot il monta dans ça chambre. J'avais espérer qu'il rentrerai plus tard pour que Lucie soit là et que je n'est pas a subir ces regards menacent.

Je me trouver à mon bureau, Lisa avait un pinceau de maquillage à la main.
    - T'es supere pâle on vas remédier à ça ma belle.
    - Lisa laisse la, la pauvre.
Lion était allongé sur mon lit l'air de trafiquer quelques chose sur son portable, si bien qu'il ne nous jeta même pas un regard.
    - Roh ça va on a bien le droit de s'amuser non ?
    - Mouais, dites vous faites quoi durant le week-end de quatre jours cette semaine ?
    - Je vais en mer !
Lisa disa ces quelques mots avec excitation.
    - Ho ça vous dit de venir ? Genre je sais pas mais papa a un yatsh ont aura largement la place. Et Amaryllis tu pourrais invité Rigel.
A ces mots mes mains ce crispèrent sur ma robe froissant celle ci. Je le voyais déjà tout les jours, il était aussi à l'origine de tout mes cauchemars et en plus elle voulait que je l'invite ? J'hésitais un instant puis me souviens de la promesse que je m'étais faite avant d'arriver ici, reste cool.
    - Je suis pas sûr qu'il accepte...
    - Ho Rigel !
Je leva la tête pour voir Rigel qui passer au même moment ou l'on parler de lui. Il se figea et ce tourna lentement vers nous, ce n'est que là que Lion leva la tête de son portable. Rigel fusilla Lion du regard comme si il était sur le point de lui sauter à la gorge et de lui arracher les yeux.
    - Ont ira sûrement sur le Yotte de mon père ce week-end ça te dit de venir ? Si Lucie est d'accord ?
    - D'accords.
Sur ceux il s'en vas comme si rien de c'était passé. Il avait accepté... Je ne su pourquoi mais j'eu soudainement envie de pleurer sens doute a cause de la fatigue, je n'avais pas beaucoup dormi la nuit dernière à cause d'une Énième terreur nocturne. Lion me jette un regard interrogateur et repose son portable à côté de lui.
    - Je sais pas toi mais j'ai l'impression que ton frère ne m'aime pas beaucoup.
    - C'est pas mon frère.
    - Quoi comment ça ?
Je me tord les mains sous l'effet du stress avant de relever la tête pour les regarder tout les deux dans les yeux.
    - Rigel et moi avions était dans le même orphelinat, il as été accueilli par Lucie et Paul qui étaient les voisins avant que mon grand frère ne m'abandonne à nouveau enfin voilà quoi.
Lisa regarda dans le vide l'air de réfléchir tendis que Lion me regarda avec de grands yeux.
    - Donc vous allez devenir frère et sœur !
    - Hm...
Je n'avais aucune envie que Rigel passe le week-end avec nous si Lucie et Paul accepte. Il ne parlerait sens doute pas et ferait son habituel regard.

A table personne ne parler c'est pour cela que je décida que parler du week-end.
    - Dit Lucie j'avais une question...
    - Oui ?
    - Lisa nous a invité Rigel et moi pour le week-end de quatre jour sur le bateau de son père, je voulais savoir si tu étais-
    - C'est fabuleux oui bien sûr, vous pouvez y aller ! Quand est ce que vous faites cela ?
    - Dans deux jours.
    - Parfait il fallait que je vous offre un petit quelques chose.
Lucie sorta de table pour ce diriger dans le salon, lorsqu'elle revient elle tenais deux boîtes à là mains, nous ouvrîmes les boites qui contenaient un portable. L'émotion me monta aux yeux.
    - C'est pas grand chose mais-
    - Ils sont parfaits Lucie merci.
Ceux ci me suffisait suffisamment pour me montrer que Lucie tenait à moi ce simple geste comme tout les autres. La fassions dont elle me regarder avec tendresse et j'aimer son côté maternel.