Qu'elle est un cadeau ou non cela m'étais égal, elle était déjà mon cadeau, je ne pensais pas que le bonheur pouvais exister, enfin jusqu'à aujourd'hui.
Le plus difficile pour nous a près serait le procès de Mme Jacobs, étant donner qu'elle ne me traité pas comme les autres je ne pouvais pas aider Amaryllis pour cela, elle était la seule à pouvoir faire quelque chose.
Je voyais qu'elle était dans c'est dans ces pensées mais nous n'avions pas encore les dates exacte du procès il était hors de question qu'elle stresse si cela devait ce passer dans un mois.
- Tiens Rigel tu peux venir dans le garage dans cinq minutes j'aurais besoin de toi avec la voiture.
- Pas de soucis.
Ont m'as toujours dit que mon ton était froid mais la réalité c'est que je ne m'en rendais même pas compte.
Après avoir aider Lucie avec les courses j'allais au garage aider Paul avant qu'il ne parte avec Lucie pour leur galas.
Pourtant cela n'avait rien d'une voiture, un draps était sur la machine qui ce trouvait devant moi, il y a quelque temps j'avais passé un permis moto pour pouvoir m'en prendre une quand j'en aurais eu les moyens.
- Bonne anniversaire mon garçon.
J'approcha doucement l'engin et enleva avec précaution le draps pour y découvrir une Honda Srambler CL 500 la moto que je voulais depuis longtemps voir depuis des années.
Je regardais la moto ne sachant pas comment réagir, Lucie entra à son tour à compagnier d'Amaryllis qui tenais le gâteau qu'elle avait préparé plutôt.
J'avais horreur des anniversaires, cela me rappeler toute les fois où Mme Jacobs me faisait un gâteau et obligé les autres a chanter pour qu'au final personne à part moi mange ce gâteau bien trop gros pour mon estomac.
Cela me rappeler à quel point j'étais un trophée abandonné pour Elle.
Mais j'avais décidé de faire des efforts, je leurs lançait un faux sourire avant de répondre avec le moins de froideur possible:
- Merci, pour tout vos efforts et pour la moto.
- Ça nous fait plaisir Rigel.
Lucie m'enlaça et Paul tapota mon épaule tandis que Amaryllis était dans le coin du garage avec son gâteau allumer par les bougies, je m'approcha doucement avant de me pencher pour toutes les soufflés d'un coup.
Ce soir là nous avions fait un petit apéritif avant que Paul et Lucie ne partent pour leurs galas.
J'étais à présent seul avec Amaryllis, je pouvais sentir son regard inquiet sur moi alors que je nettoyer les assiettes dos à elle.
- Qu'est ce qui ne vas pas papillon ?
- Je...je sais que tu-
- Ne t'en fais pas pour moi.
Je posa l'assiette dans l'évier avec plus de force que nécessaire, et serra l'éponge de toute mes force.
- Tu t'inquiète trop des autres sans te préoccuper de toi.
- Mais-
- Je vais me coucher.
Je me dirigea vers la porte mais Amaryllis me retenait par la manche ses doigts fins cramponnés le tissu de mon t-shirt si fort que je crus l'entendre craquer.
- Je ne t'ai toujours pas offert de cadeau...
- Le cadeau compte t'il vraiment pour toi ?
- oui...
- Dans ce cas.
Je pris c'est épaules avant de la faire pivoter contre le mur, je glissa mon genoux entre ces cuisse lui faisant pousser un faible gémissement.
Ces yeux miel qui fixer les miens me faisant perdre tout contrôle et s'en était agacent, j'avais envie de la faire crier, trembler, j'avais envie que son corps soit contre le miens que nos chaleurs ce mêlent ensemble et que chaque fois que mes dents éraflé ces lèvres elle en perde la tête. Mais pas ici, je voulais que cela lui reste en mémoire alors a court de souffle je lui fit:
- Je sais où nous pouvons aller.
- Ou ça ? Me fit elle étonné
- C'est peut être mon anniversaire mais ce que je vais te montrer va te couper le souffle.
Je pris ça main pâle dans la mienne avant de l'entraîner dehors, je me mis à courir sans la lâcher d'un pouce car elle faillit tomber a de nombreuses reprises ne pouvant pas suivre mon rythme.
- Où est ce que tu M'emmène Rigel. Riait elle
- Dans un endroit où les couleurs son les maîtres de monde.
Nous arrivions enfin sur le pont par le quel nous passions chaques soir afin de rentrer après les cours.
Je la vis observée l'orizon et toute ces couleurs du soir, ces yeux grand ouvert et sa bouche entrouverte, la lumière du soleil qui illuminé son doux visage et ces cheveux châtains légèrement ondulés, la lumière du soleil faisait ressortir ces pommettes et la couleur miel de ces yeux les rendant plus clair que ce qu'ils n'étaient déjà. Elle tourna légèrement la tête vers moi émerveillé.
- C'est-
Je ne lui laissa pas le temps de parler et écrasa mes lèvres contre les siennes, je pris doucement ces joues entre mes mains, un fous que je me suis éloigné un silhouette ce dessina derrière Amaryllis.
- Samuel.
Ce mec était revenu les dents serrer et les mains contractées je rester sur place, lui tenait un bouquet de fleure la mienne dégoûté et choqué.
Amaryllis ce tournis lentement comme si elle n'avait pas envie d'y croire.
La mine horrifié elle resta là en état de choque comme si elle ne voulais pas y croire et je ne compris pas ce qui lui passer par la tête à cet instant, je ne compris pas ce qu'elle ressentait je commençais même à me demander si c'est par ce qu'elle l'aimer ou qu'elle ne voulais pas le voir.
VOUS LISEZ
Fabricant de cauchemar
RomanceAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...