Chapitre 3: un mensonge

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J'avais passé toute la matinée dans ma chambre à faire mes devoirs après de longues heures je décida enfin de faire une pause, je ferma mes livres et descendis les escaliers en bois qui craquaient doucement sous mes pas. Après avoir pris un gâteau qui était posé sur la table de la cuisine je me diriga vers la bée vitrée de la cuisine pour ouvrir celle ci et aller dans le jardin, la sensation de l'herbe fraîche sous mes pieds m'apaisa et me détendait, j'alla sous le grand oliviers pour y voir un papillon aux ailes brunes voir oranger, il avait deux cercles sur chaque ailes qui ressemblaient à des yeux. A cet instant précis je me rendis compte que c'était grâce à ce papillon que je détenais mon prénom, Amaryllis, c'était grâce à ce papillon que mes parents m'avaient appelé ainsi. Il ce posa sur mon épaule et je ne pus retenir un rictus sur mes lèvres pensent que c'était sûrement le hasard voir peut être même le destin.

Tandis que j'aidais une petite chenille a grimpé sur une feuille afin qu'elle soit un sécurité une douce mélodie parvena à mes oreilles, une mélodie mélancolique qui nous donnerait presque envie de pleurer, un léger frisson parcouru mon échine, et sens que je m'en aperçoive mes jambes ce dirigeait seules vers cette douce mélodie. Il se trouver la, dans le salon dos à moi assis sur le fauteuil en face du piano, c'est long doigts pâles caressaient les touches du piano avec délicatesse comme ci cela était la chose la plus fragile du monde. Il avait l'air serein et calme, ces cheveux sombre reflétant quelques mèches rouge sang à là lueur du soleil.
    - Amaryllis ?
Je me figea à la voix de Lucie dans mon dos, puis je me tournais un sourire timide sur le visage, Rigel ce tourna lentement avant de planter un regard accusateur et plain de mépris de ces grands yeux bleue foncé sur moi, l'air agacer il me passa à côté et monta à l'étage.
    - J'ai besoins d'un coup de pouce, j'arrive pas à réparer une étagère et j'ai besoin d'une assistante tu veux bien m'aider ?
    - Bien sûr.
Je me trouver dans le garage à passer les outils nécessaire à Lucie, elle me parler de toutes les choses qu'elle aimerait faire avec nous durant le week-end.
    - On pourrait aller faire du shopping toutes les deux.
Je levé la tête surprise, elle voulais faire les magasins avec moi, elle et moi toutes les deux.
    - Oui pourquoi pas.
    - Super une journée que toute les deux sens garçon.
Sens Rigel, sens que je doive subir ces paroles blessentes, sens devoir subir ces regards méprisant, sens que je me sente faible pendant une journée. A table il eu un silence assez pesant, Lucie riait avec Paul qui était juste à ces côtés tandis que Rigel et moi restions dans le silence le plus totale jusqu'à ce que Lucie ce tourne vers nous.
    - Dites vous étiez dans le même orphelinat n'est ce pas ?
    - Oui.
    - Vous étiez proche dans cet orphelinat ?
A ces mots mes mains tremblaient, il était hors de question que Rigel prenne la parole pour lui dire que non et que Lucie nous renvoyent tout les deux dans cet horrible enfer.
    - Oui.
Mes propres paroles raisonnaient dans ma tête, je vis Rigel ce contracter face à mes mots, mon mensonge. Mes mains tremblaient, qu'allait il dire ou faire lorsque nous serions seul ?
    - Ah oui ?
    - Nous étions comme des frères et sœurs.
Je voyais les points et la mâchoire de Rigel ce contracter face à mon nouveau mensonge.
    - Tu entend ça Paul, c'est super !
Je force un sourire mais il s'était évanoui lorsque je sentis la main de Rigel effleurer la mienne, j'avalais durement ma salive regrettent instantanément d'avoir sorti ce mensonge. Puis ça main ce ferma sur ma cuisse si fort que j'ai du me levé d'un bon de peur qu'il ne me marque.
    - Désolé je viens de me rendre compte que j'avais oublier de finir mes devoirs.
N'attendent pas de réponse je couru dans les escaliers avant de me réfugier derrière un mur, j'appuyais mon dos contre celui-ci pour reprendre mon souffle et calmer les battements de mon cœur qui palpiter a tout vitesse. C'était comme si ces mains avaient marqué ma peau au fer chaud. Comme si ces doigts m'avait brulé lorsqu'il les avait enfoncer dans ma chair. Rigel, tout le monde le voyais comme le garçon parfait, son charme et ça beauté rendais tout le monde aveugle, ces faux sourire ce masque qu'il mettait pour charmer chaque personne qu'il avait envie de manipuler, il pouvait charmer tout le monde mais pas moi. A travers ce sourire ce cacher quelques chose de beaucoup plus sombre de cruel. Il savait comment me faire peur, comment me faire trembler tout en prennent un air inoffensif.

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