Il faisait chaud, lorsque j'ouvris les paupières un Rigel endormi sur le fauteuil à côté de mon lit me fit fasse. Lucie et Paul étaient là à parler avec un docteur, Lucie semblait inquiète à ce que le médecin lui confiait.
Je me releva si bien que j'eu des vertiges, lorsque Lucie vis que je ne dormais plus elle s'assît sur le bord de mon lit, sa main chaude caressa ma joue aussi tendrement qu'elle eu l'habitude de le faire.
- Comment te sens tu Amaryllis ?
- Étourdie ?
Je jeta un regard à Rigel, il avait l'air mal en point lui aussi, il était plus pâle que d'habitude et s'emblée avoir mal quelque part.
- Qu'est lui arrive t'il ?
- Ces maux de têtes ont repris. Amaryllis, j'ai besoins de savoir...ce qui t'es arrivé dans cet orphelinat.
Apeuré de dire quoi que ce soit je pris instinctivement la main qui était à mes côté, ces doigts ce contractèrent et c'est à cet instant que je me rendis compte que j'avais pris celle de Rigel. Ces doigts ce contractèrent sous la peau gelé de ma main et je n'osa pas lui adresser un regard.
- Sortez.
La voix de Rigel ce fut sèche Le médecin sort accompagné de Lucie et Paul, j'avais besoin de me reposer mais peut de temps après le départ des trois adultes, Rigel s'assied sur le bord de mon lit et me pris dans ces bras.
- Rigel tu es brûlant, tu as pris un Doliprane ?
- Oui, ne t'en fait pas ma température a baissé depuis.
- Si, je m'inquiète pour toi Rigel.
- Et je t'assure que tout vas bien papillon.
Il caressa doucement ma joue avec son pouce, tandis que je me laisser aller à son contact la porte s'ouvrir et le contact de Rigel parti aussitôt.
- Rigel tu devrais sortir il faut que Amaryllis ce repose un peut.
Sens un mot ni même un regard de plus Rigel sortie de la chambre, c'est à cet instant que je me demander ce que nous étions. C'est vrais, à partir de cette soirée au bord de la plage tout avait changer j'avais encore peur d'approcher Rigel, peur qu'il me rejette comme il avait l'habitude de le faire.
Je partis regarder à la fenêtre la pluie qui tomber Rigel ce tenais là dehors, ne sachant pas ce qui lui prenait de rester immobile je descendis les marches à toute vitesse et me précipita dehors à mis chemin de l'allée je le voyais, Rigel et Emie leurs lèvres l'une contre l'autre, ces cheveux aussi noir que la poudre de mes cauchemars et ces lèvres aussi rouge que je sang contre celle de Rigel me fit m'immobiliser.
Je ne su pourquoi mais un étrange sensation est apparue dans le creux de mon estomac, un sentiment haineux.
Un sentiment incontrôlable, comme des ronces qui se frayer un chemin dans les vaines, mes membres tremblaient sans même pouvoir les contrôler, étais je vraiment en colère étais je en pleine crise de panique ? Ou de jalousie ?
Que m'arrivait il, je n'avais jamais était aussi faible qu'as cet instant précis et j'avais horreur de par être faible.
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Fabricant de cauchemar
RomanceAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...