Le vibreur de mon portable me réveilla, j'ouvrais lentement les yeux sentant une chaleur contre mon corps, Rigel était là blottis contre moi, ça tête un peu au dessus de ma poitrine son souffle s'écraser sur ma peau, ces jambes enlacées les miennes. Ma main était posée sur sa tête et l'autre était posé sur sa nuque encore chaude par la fièvre, je regardais mon téléphone qui afficher le nom de Lucie.
- Rigel...
Son nom ce transforma en un murmure, il frotta son nez contre ma peau me serrant plus fort dans ces bras.
- Rigel il faut que je réponde, c'est Lucie.
Il grogna contre ma gorge enfouissant son visage un peu plus dans le creux de mon coup, tandis que j'essayer de prendre mon portable et de calmer le rythme de battement de mon cœur, ces lèvres humides se posèrent contre la peau de la gorge me faisant arrêter tout mouvement et me faisant pousser un petit cris de surprise. Mes bras avaient cesser d'essayer d'attraper mon portable, ces lèvres remontèrent vers ma mâchoire.
- Rigel...
Le fait qu'il ne me réponde pas me montra qu'il était encore entre le rêve et la réalité, j'empoigna ces épaules et le plaqua contre le matelas, ces bras toujours agrippés à mes hanches il m'entraîna avec lui, je plaqua ces épaules plantent mes ongles dans ça chère le faisant grogner et me libéra de son emprise. Je pris mon portable essayant de calmer mon cœur affolé et rappela Lucie.
- Amaryllis tout vas bien ?
Je pus entendre dans ça voix de l'inquiétude et de l'anxiété, je pris une grande inspiration avant de répondre d'une voix calme:
- Oui Lucie tout vas bien, Rigel dors et ça température à baisser.
- Tant mieux, vous voulez rentrer ?
Je réfléchis un instant voyant dans l'état qu'était Rigel il aurait était plus sage de rentrer.
- Oui, je pense que oui vu l'état dans quel état est Rigel.
- D'accord ont arrive tout de suite.
A la fin de l'appel j'envoie un message à Lisa pour lui dire qu'il était préférable de rentrer vu l'état de Rigel, elle ne perdit pas de temps à me répondre << t'en fait pas je comprends ma belle :) >>. J'étais soulager de voir à quel point mes amies pouvais me comprendre, et qu'ils ne me jugerait pas quoi que je fasse. Je le regarder dans le plus grand des silence, je ne le voyait plus comme le fabricant de cauchemar juste comme...Rigel, un jeune homme endormi, malade et fatigué. Avec une ame et un cœur comme tant d'autre, et une tristesse inexplicable s'abatta sur moi. Je me sentis épuisé et faible, fasse au bleue qu'il avait laisser en moi sens même me toucher.
- Je te déteste...
Ai je susurais
- Je te déteste, je ne supporte pas tes silences ni les choses que tu me dis. Je déteste ton sourire, la fasson dont tu ne veux pas m'avoir près de toi, toute les morsures que tu m'as infligé. Je déteste la fasson que tu as de gâché les choses les plus belles, la violence avec la quelle tu t'éloigne, comme si c'était moi qui te privé de quelque chose. Je te déteste. Par ce que tu ne m'as pas laissé d'autres choix...
Ai je chuchoter, les larmes aux yeux, mon cœur était meurtri par les paroles que je m'apprêtais à dire.
- Mais je déteste le fait de ne pas te détester même après toute les choses que tu m'as faites ou dites...
Je ne détestais pas Rigel. Je ne l'aurais jamais détesté. J'aurais juste voulut le comprendre, voir s'il y avait l'ombre d'un cœur pur parmi tant d'autre derrière toute cette rage et ces ténèbres.Cela faisait quatre jours que Rigel était resté à la maison et avait tout fait pour m'éloigner de lui, il se trouver la face à Lucie qui soignait ces plaies.
- Amaryllis tu veux bien venir m'aider ?
Je le torda un instant les mains septique de la réaction de Rigel, puis je hoche la tête avant de m'approcher hésitante.
- Tiens prend la glace et pose la sur son sourcil s'il te plaît je reviens je vais chercher les pansements.
- Mais-
Avant même que je ne puisse parler Lucie était déjà hors du salon, Rigel regarder le piano à queue les muscles de ça mâchoire et chaques muscles de son corps étaient contractés. L'atmosphère était lourde puis avec hésitation je le regarda avant de lui demander:
- Dit ? Tu...tu te souviens de la nuit...sur le bateau ?
Il tourna lentement son regard sombre vers le miens avant de faire son habituel sourire.
- Il y a quelques chose dont je devrais me souvenir papillon ?
- Tu te souviens vraiment de rien ?
Il fronça légèrement les sourcils confus, il ne se souvenais vraiment de rien ? Pourtant moi j'y avais pensé tout ce temps comme si il m'avait marqué au fer chaud comme si nous étions liés.
- Qu'est ce que tu veux ?
- Rien juste...
- Je ne veux plus que tu m'approche.
J'appuya sur la poche de glace un peu plus baissant les yeux sur le sol
- Tu te souviens de rien ?
- Si il y avait un truc dont je devrais me rappeler je m'en rappelerais Amaryllis.
- Tu pourras au moins me remercier.
- Te remercier pourquoi ? Pour les griffures que tu as laissé sur mes épaules ?
Il dégagea ma main de son visage et parta l'air inquiet et l'air de contrarié.
- Il c'est passé quelques chose avec Rigel ?
- Non, il avait juste encore un peu mal à la tête.Lisa sautilla dans les couloirs l'air heureuse chaque personnes avait ça propre rose bien qu'il eu des disputes Lisa semblait heureuse, Lion avait reçus une rose blanche ainsi que Lisa.
- J'ai oublier Amaryllis je t'ai volé ton cadenas.
- Quoi pourquoi ?
- Au cas où tu aurais un admirateur secret.
Je me mis devant mon casier levant les yeux au ciel.
- Je suis nouvelle ça m'étonnerait que quelqu'un soit sur moi.
- Eu...
J'avais ouvert mon casier le visage de Lisa et Lion c'était décomposé, je tourna la tête une rose noir était là dans mon casier.
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Fabricant de cauchemar
RomantizmAprès avoir subit les atrocités d'un orphelinat Amaryllis retourne chez son frère malheureusement .Celui-ci fait partie d'un gang et confit ça sœur a ces voisins qui vont adopter un jeune homme Rigel peut être même Amaryllis , le garçon qui a tent m...