Fabricant de cauchemar

Chapitre 20: Les messages

Les rayons de ma chambres Mme piquaient les yeux, je pris mon portable pour voir l'heure mais je vis un simple message de la part d'un inconnu « je vais bientôt venir te chercher »
    - Amaryllis tu me conseilles quelle robes ?
    - La bleue te vas à ravir.
Avec un sourire Lucie sorti de ma chambre afin de  ce préparer pour un événement, Lisa entra avec un sourire jusqu'aux oreilles mais celui-ci disparaît dès qu'elle voit ma tête. Elle s'assit sur mon lit et jette un coup d'œil à mon portable.
    - C'est encore un coup du fameux harceleur ?
    - Hm on dirait bien.
    - T'en fait pas je suis sur que c'est Samuel.
    - Si tu le dit.
Elle me pris mon portable des mains avant de le poser brusquement sur mon lit.
    - Enfin bref arrêtons de penser à ça. Aujourd'hui c'est journée spas, et ce soir grosse teuf chez moi.
    - Je sais pas si... je pourrais pas venir.
    - Pourquoi ?
    - Faut que j'aille a l'évènement de Lucie avec Paul et Rigel... enfin bref.
    - Pas de soucis mais c'est quand même journée spas.
J'avais profité à fond de notre journée spas, mais le peut de temps que j'étais à la maison pour me préparer je n'avais pas croisé Rigel, je descendis les marches pour trouver Rigel sur le pas de la porte sens t-shirt en compagnie d'Emma c'est lèvres sur la joue de Rigel je sentis la colère m'envahir. Je passa devant eux attirent l'attention de Rigel.
    - Papillon.
Je me dirigea vers la cuisine ma robe couleur verte sapin encore ouverte dans le dos.
    - Lucie tu peux m'aider à la fermer s'il te plaît ?
    - Oui bien sûr.
De ces doigts tendres elle referma la fermeture éclair de ma robe.

Paul gara la voiture devant un grand immeuble, je ne sais pas ce qu'elle faisait là mais Emma était là à coller Rigel comme une sangsue.
    - Excusez moi il faut que j'aille prendre l'air.
    - Tu es sur que ça va Amaryllis ?
    - Oui tout vas bien.
Je forçais un sourire à Lucie et Paul avant de sortir du bâtiment et de me diriger sur la plage. Les pieds dans l'eau je portais ma robe à la main marchant dans l'eau fraîche qui caressait lentement ma peau fragile.
    - Amaryllis.
    - Laisse moi Rigel s'il te plaît...
    - Écoute Emma est là par ce que son père est le patron de Lucie il n'y a rien avec elle.
Les larmes aux yeux je me tourne, il avait eu raison ce soir là, nous étions condamnés à vivre séparément. Lui en tant que mon frère et moi en tant que ça sœur même si nous n'étions pas du même sang.
    - T'avais raison Rigel...Ont devrait s'éloigner avant que sa dégénère...
    - Quoi ? Mais...
    - Tu l'as dit toi même non ?
    - Oublie ça Amaryllis.
    - Pourquoi ? T'es toujours vague au lieu de me dire clairement ce que tu ressens !
    - Par ce que je t'aime ! Je suis amoureux de toi. Depuis le premier jour où nos regards ce sont rencontrés. Si j'ai fait toute ces choses c'est par ce que je ne voulais pas l'admettre j'avais l'impression d'être faible et je sais que ce n'est pas une excuse...
Sa mâchoire contractée et ces yeux de fer river sur l'océan je m'approchas lentement, lorsque je me trouve devant lui j'enroule mes bras au tour de sa taille l'entraînent dans une étreinte. Je ne m'attendais pas à ce qu'il réponde à mon étreinte mais lentement ces bras s'enroulèrent au tour de mon corps me rapprochent encore plus, la tête sur son torse et les yeux fermés j'aimer sa chaleur et son odeur et même si personne n'est parfait Rigel avait enfin de compte un cœur aussi tendre que la crème chantilly.

Nous étions allonger au lit l'un à côté de l'autre.
    - Je peux plus...
    - De quoi ?
    - Me retenir.
Je le regarda confuse, Lucie et Paul étaient partis dîner chez des amis et nous étions seuls à la maison.
    - Te retenir ?
    - Je t'aime Amaryllis et je veux que tu le sache, je veux que tu te sente heureuse et toi et moi savons que nous nous retenons depuis longtemps d'être comme nous sommes là en ce moment même.
Je me penche pour poser mes lèvres sur les siennes mais soudainement il recule.
    - Qu'est ce qui ne vas pas ?
    - Si tu m'embrasse, j'ai peur de me jeter sur toi.
    - Comment ça ?
Je le regarde attentivement et comprends ce qu'il voulait dire, la chaleur me monta au joues ce qui fit rire Rigel.
    - Je ne veux pas te brusquer papillon met ça dans ta petite tête.
Il déposa un léger baiser sur mon front et sorti du lit, je me redressa me demandent ce qu'il fabrique.
    - Qu'est ce que tu fait ?
    - Je vais faire quelques courses pour Lucie elle m'as demander d'aller les faires, mais comme tu es encore un peu malade tu reste ici.
    - Mais je vais m'ennuyer.
    - Je reviens vite d'accord ?
    - D'accord.
Sur ceux il s'en vas, je me dirigea vers mon bureau et un message de Lisa s'afficha sur mon écran « c'est quand qu'on ce voit tu me manque :,(» son message me fit sourire j'allais bientôt retourner en cours et j'avais hâte de revoir mes amis. Un autre message apparu et celui ci me fit frissonner « tu es à moi Amaryllis met ça dans ton crâne ». La panique me pris aux tripes je jette mon portable comme ci celui ci m'avait brûlé bien trop sous le choque de ces menaces qu'avais je fait pour mériter cela ? Au même moment la sonnerie de la porte d'entré retentit dans la maison. Je descendis les escaliers dans le salon ce trouver Lucie et Paul en compagnie de Fanny.