Chamitre 12: l'amour maternel

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Lorsque j'ouvris les yeux Nessi n'était plus dans mon lit, Lucie et Paul avaient dû l'amener au vétérinaire, je descendais déjeuner. Rigel ce tenais là à table il fit mine de pas me voir et je fis de même. A l'instant où mon postérieur se pose sur la chaise Rigel pris son assiette et sorta de table. Depuis quand Rigel me fuyait il ? En fait la réponse était juste devant mes yeux depuis toujours, il m'avait toujours évité mais pourquoi ? Qu'est ce que j'avais fait pour qu'il veuille me fuire ? Je passer l'après-midi enfermé dans ma chambre à étudier, la porte s'ouvre toute seule laissant apparaître Nessi qui gambada jusqu'à moi.
    - Nessi ! Si tu savais comme tu m'as manqué.
    - Nessi ?
La voix de Paul était joyeuse il me lança un grand sourire puis entra dans ma chambre.
    - C'est ainsi que tu compte l'appeler ?
    - Elle n'as donc pas de propriétaire ?
    - Non pas de propriétaire en vu. Elle est à toi.
Je la pris dans mes bras et la sera doucement contre moi comme si c'était la chose la plus fragile du monde, je l'admirer c'était un berger Australien avec les yeux vairons. Elle était magnifique, après plusieurs heures j'avais enfin finis mes devoirs je décida alors de descendre pour aller dans le jardin, Nessi m'apporta un bâton et je lui lança celui ci,elle lui coura après comme si c'était la chose la plus amusante du monde ce qui me fis sourire. Alors que le soleil ce coucher petit à petit je décida de me mettre à la lecture lorsque j'allais prendre un livre dans la bibliothèque je sentais une présence derrière moi, je me figea avant de me tourner lentement vers l'intrus. Rigel ce tenais là un livre de constellation à la main, il me fixer de ces yeux bleue nuit.
    - Je t'es fait peur papillon ?
    - Non.
Il fit un pas en avant me faisant reculer je me plaqua contre la bibliothèque m'apprêtent à sa vengeance par à port à l'autre soir mais rien, je sentis son souffle contre mon coup.
    - Ne me réveille plus jamais quand il ne faut pas.
Son murmure a un souffle de ma peau je serra les poings me rappellent quand je lui avait demander de me remercier.
    - Tu ne m'as toujours pas remercié.
    - Tu m'as laisser des traces.
    - Et ça aussi c'est une trace Rigel !
Je lui montra la tâche rouge qu'il m'avait faite ce soir là, dans le bateau de Lisa. Son visage resta impassible mais je pus voir son regard ce décomposé, Rigel ne parler jamais ni même avec son visage mais avec ces yeux, ces yeux le trahissaient.
    - Ce soir là tu m'as fait cette trace !
    - A croire que je n'étais pas moi même.
Il posa rapidement le livre dans la bibliothèque et ce trouna pour partir mais j'attrapa ça manche et il ce pétrifia.
    - Ne fais pas ça...
    - Faire quoi ?
    - T'enfuir, Rigel, je veux simplement te comprendre.
    - Crois moi tu n'en a pas envie.
Sur ces mots il tira d'un coup sur son bras pour ce débarrasser de mon emprise et monta dans ça chambre. Je restais la, seule et livrer à mes pensées, pourquoi ne voulait il pas s'ouvrir aux autres ?
    - Amaryllis tu veux bien venir m'aider avec le rôtis s'il te plaît ?
    - Oui tout de suite.
J'aider Lucie a préparé le dîner quand elle ce tournis vers moi un sourire jusqu'aux oreilles.
    - Ce week-end des amis d'enfance vont venir à la maison donc si jamais Rigel et toi avait besoin de nouveaux vêtements.
    - Merci Lucie pour tout ce que tu fais pour nous.
    - Mais c'est normal.
Elle posa ça main sur l'arrière de ma tête et caressa mes cheveux, j'aimer ce côté maternel chez Lucie. Ce côté que Mme.Jacobs n'avait eu qu'avec Rigel, elle lui avait donné un prénom, Rigel, il n'avait que quelques jours lorsqu'il est arrivé à la Haute Barde, sous la lumière de la lune et les étoiles qui scintiller elle avait de l'appeler Rigel pour l'étoile la plus brillante de la constellation d'Orion. Mme.Jacobs ce comportait comme une vraie mère avec Rigel, elle lui avait appris à jouer du piano et l'aider dans ces devoirs parfois il avait un repas différent des nôtres et des habilles neuf bien qu'il les salissez très vite. Ce soir là je n'avais pas faim mais je me suis forcé pour ne pas décevoir Lucie. Après avoir finis de manger j'emmena Nessi faire une balade au bord de la plage rien de mieux que d'aller à la plage pour détendre mes nerfs, avec un grand soulagement demain Rigel aller reprendre les cours ainsi que ces heures de colles, je pensais à ce que je pourrais faire demain après-midi quand mon téléphone émet un song m'annoncent un nouveau message, c'était Lisa.<< Ça te dit de passer l'après-midi chez moi demain ? PS: ma grand mère vas faire des gâteaux :D>> je tape un rapide message pour lui dire que je viendrais mais qu'il fallait que je prévienne Lucie et Paul<< Pas de soucis à demain >> elle marqua ce dernier message accompagné d'une vidéo d'un chat qui sautille de partout, ce qui me fit sourire. Je ne sais pas pourquoi mais Lisa savais comment me faire sourire et j'avais énormément confiance en elle et Lion.

En rentrant la musique qui provient du piano me fit lâcher la less de Nessi qui prend la fuite vers le salon.
    - Nessi !
Mon chuchotement était étrangement fort je ne voulais pas qu'elle ce dirige vers le piano, Rigel avait horreur qu'ont le dérange lorsqu'il jouer. Je la voyais se faufiler entre ces pied et il arrêta de jouer, c'est quand il ce pencha pour prendre la peau du coup de Nessi que je courut, lui arracha Nessi des mains, et le poussa jusqu'à le faire tomber à terre.
    - Laisse la tranquille c'est de ma faute si elle est venu te déranger, j'ai laisser tomber ça less.
Rigel me regarda avec son sourire habituel et le regard qu'il m'adressa me fit froid dans le dos, je pausa Nessi par terre qui celle ci s'enfuit en gambadant d'un air innocent.
    - Tu le fais exprès hein ?
    - Comment ça ?
Il avança d'un pas pointent un doigt accusateur sur moi ne laissant rien paraître sur son visage.
    - De me déranger dans les pires moments.
    - Je...je suis désolé je...
    - Tu as toujours peur de moi papillon.
    - Je veux juste comprendre pourquoi tu ne te laisse pas comprendre, comme tu le faisais avec Mme.Jacobs. Je ne veux te comprendre Rigel.
Il fit un pas en arrière l'air de réfléchir puis il planta son regard dans le miens.
    - Crois moi il est préférable que tu reste en dehors de tout ça, je ne veux plus que tu m'approche ni même me comprendre comme le faisait Mme.Jacobs.
    - Pourquoi ?
    - Par ce que ! Tu ne sais pas ce que c'était.
La rage qui m'envahit me fit serrer les points si bien que mes jointures devenait blanche, alors que Rigel me tourner le dos pour partir je me mis à crié:
    - Je ne sais pas ce que c'est d'être aimer c'est ça ?!
    - Tu ne comprends pas !
    - Elle t'aimer Rigel !
Elle l'aimer vraiment, Rigel avait le droit d'être propre tout les jours, il pouvait manger à ça faim, elle le traité comme son fils biologique... alors que nous, nous étions condamnés à mourir de faim à mourir de froid...je détestais la façon dont je lui avait adressé la parole à ce moment là. Il n'avait rien fait de mal, ce n'était pas ça faute si il était le favori, c'était ça faute à elle.

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