Chapitre 28 : Un cœur meurtri

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Je me précipitais d'appuyées sur le boutons d'urgence pour signaler que Rigel c'était réveillé, il avait raison depuis le début, j'étais fragile aussi fragile qu'un papillon, un insecte qui ne dur certes que quelques jours mais pourtant si tranquille et si beau.
Le papillon a toujours était mon insecte préféré surtout le Nica, Rigel ,lui, ressemblait plus à un papillon de nuit, sombre mystérieux qui ne sort que la nuit pourtant ensemble nous faisions la paires.
J'avais l'impression qu'un monde sans lui ne serait jamais possible à présent, moi qui voulais me débarrasser de lui je me trouvais ici près de lui dans cette chambre d'hôpital à lui tenir la main.
     - Rigel pourquoi est tu parti ?
Rigel baissa les yeux comme un enfant pris en pleine bêtise, les muscles de sa mâchoires ce contractèrent et il serra les poings, si fort que ces phalanges furent blanche.
    - Écoute papillon, je sais que je n'est pas étais et je ne serais jamais le " héros " de ton histoire, je serrais toujours le loup le côté obscur de ton histoire, te voir dans cette état ce soir là ma fait comprendre une chose, si Samuel t'a droguet ce soir là c'est de ma faute si je n'avais pas été là tout aurait était tellement plus simple. Tu aurais été avec Samuel et moi je serais resté à ma place à La Haute Barde.
    - Rigel, je t'interdis de dire ça tu m'entends ! Ne dis pas que tu est le méchant de cette histoire, par ce que même si tu crois que tu es le problème ça n'aurais jamais fonctionné sans toi !
Ma voix ce cassa sous l'émotion, les larmes me montaient aux yeux, le voir si abîmé m'avait explosé en pleins visage, je voyais qui été Rigel, un morceau de verre à l'écart, une étoile vagabondes, un garçon déchiré de l'intérieur vouait à ce taire.
    - Tu est une lumière Rigel, tu est l'étoile que tu as toujours été, par ce que tu est ma lumière, par ce que sans toi je ne serais pas comment faire, je ne vois plus que toi ou que j'aille je te vois ! Tu es mon Fabricant de Cauchemar !
Je baissais la tête pour qu'il ne me voit pas pleurer je serais le tissus de mon t-shirt bien trop fort, je fermé les yeux pour éviter de laisser mes larmes s'échapper mais en vains, elles étaient vouaient à s'échapper.
Rigel n'as pas toujours étais un garçon sympa à l'orphelinat mais pourtant quelque chose me dit que tout ceci n'était une carapace qu'il avait créé.
Qu'un portail de ronce et de rosier noir pour ne laisser entré personne dans son cœur, ou qu'une coque de glace recouvrait son cœur.
Il n'avait jamais voulu que je m'approche car il avait toujours crus qu'il me briserait, qu'il me ferait du mal.
Et pourtant il as était si doux sans même s'en rendre vraiment compte.
Je sentis une fraîcheur agréable sur la main, celle de Rigel avait recouvert ma paume et il me regarder avec un léger sourire, il me tira doucement contre ça poitrine et caressa lentement mes cheveux.
Alors que les médecins entrèrent nous n'y prêtons pas attention, je sentis ces lèvres et la tiédeur de son souffle contre mon oreille.
    - Tu as toujours chercher une fin heureuse comme dans les comptes de fée et à présent tu-
    - Tu l'as dit toi même la vie n'est pas un compte de fée qui a toujours une fin heureuse.
    - Tu as raison, mais si ce que tu essayer de me dire plutôt était " je t'aime " sache que moi aussi je t'aime Amaryllis depuis le début, je ne voulais pas que tu t'approches de peur de te blesser et pourtant c'est en te tenant à l'écart que je t'es fait le plus de mal.
Je vis son pouce effleurer le papillon de ma chaîne à plusieurs reprises ce qui me fit sourire mélancoliquement, je dû me détacher de Rigel pour laisser les médecins le consulter, je me trouver sur un fauteuil dans le couloir à attendre les résultats quand Lucie et Paul arrivèrent vers moi me serrant fortement dans leurs bras.
    - Amaryllis, tu nous a fait une frayeur.
Je leva les yeux pour regarder Lucie et Paul, j'étais à présent sur de moi comme l'avait été Rigel lorsqu'il a pris la décision de retourner à la Haute Barde pour mon bien.
    - Je veux porter plainte et assister au procès de Mme Jacobs.
    - Es tu sur de tenir le coup ? Me fit Paul inquiet.
    -  Pas si je ne parle pas à quelqu'un...
    - Ne t'en fait pas pour ça tu as rendez-vous la semaine prochaine chez le psy.
    - Lucie... est tu sûr que je ne peux pas t'en parler à toi plus tôt qu'à une inconnue ?
    - Je ne suis pas diplômé Amaryllis mais parle moi quand tu veux si tu as besoin.
Sa main frotta gaiement ma joue me faisant sourire a travers mes larmes, même si j'avais vécu l'enfers j'arrivais encore à me dire que d'autres personnes vivaient pire que moi a l'heure d'aujourd'hui, mais j'en avais assez d'entendre le frottement des ceintures que prenais Mme Jacobs pour m'attacher.
Parfois Elle les serrais si fort que mes os craquer, Elle me demander de cacher mes hématomes avec du maquillage ou des manches longues.
Mais je détestais lorsqu'Elle me rabaisser devant les autres.
    - N'as tu pas appris ta leçon ?! Où est ce juste que tu as un cerveau en compote comme toutes ces créatures immondes de tu sauve ?
Ce jour là je ne m'étais pas tue et j'en avais eu les conséquences, cela faisait des hématomes en plus sur ma peau pâle.
J'aimer être dehors avec tout les bruits que faisait les animaux car cela était la seule chose qui réussissait à me redonner un peut de courage et j'arrivais à me dire qu'un jour je serais aussi libre que les oiseaux dans le ciel ou que les papillons qui virevoltaient parfois dans la cours avant qu'un enfant ne les écrasent avec leurs mains.
L'être humain peut être horrible en vers toute sorte de créatures pourtant même si la plupart des filles ont peur de ce faire piquer par des araignées je préfère sauver celle ci et me faire piqué que de l'écraser comme un vulgaire déchet.
    - Monsieur, Madame, Rigel est réveillé il sort d'une grave opération alors je vous conseil d'y aller doucement.
    - Merci, docteur.
Lucie et Paul ce tournèrent vers moi un sourire mélancolique au visage et Paul sortie un document de ça sacoche.
    - Ce n'est peut être pas le bon moment mais Amaryllis... veut tu être notre petite fille ? A part entière cette fois.
    - Bien sûr que oui !  Mais et Rigel ?
    - Nous lui avions proposé il y a quelques temps mais il as refusé catégoriquement de ce faire adopter.
Confuse j'entrais dans la chambre de Rigel, il me regarder avec intrigue.
    - Qu'est ce qui ne vas pas papillon ?
    - Pourquoi tu as refusé l'adoption ?
    - Car ça n'as jamais été mon rêve Amaryllis, je suis aller dans cette famille dans l'unique but de rester près de toi, une chose est sûr je ne veux pas te quitter tu es trop importante pour moi.
     - Rigel...
J'enroula doucement mes bras au tour de son torse faisant attention à ne pas appuyé sur ces hématomes, même si ce n'était qu'un câlin je su que nous nous échangions toute nôtres douleur et notre tristesse.
Rigel dû rester encore quelque temps à l'hôpital avant de pouvoir revenir, j'étais dans la cuisine Nessi ce trouver a mes pieds tandis que Lucie et Paul était parti faire des course avant d'allait à la mairie pour une fête ou un truc du genre, moi j'étais resté pour faire un gâteau au chocolat, c'était l'anniversaire de Rigel, il fallait bien faire quelque chose même si il n'aimait pas le fêter.
J'avais attaché mes cheveux en chignon décoiffé et j'avais mis un tablier qui été à présent tout sale.
    - Qu'est ce que tu fais papillon ?
Je sursauta surprise et prise de cours par la voix de Rigel, il ce trouver appuyé sur l'encadrement de la porte les bras croisés sur son torse nu et musclé, ces veines bleue ressortaient de ces avant bras bien qu'il fasse trente degrés aujourd'hui j'avais maintenant l'impression qu'il en faisait quarante.
    - Un gâteau.
Rigel s'approcha lentement ce plaçant derrière moi, ces mains parcoururent mes bras avant de se poser sur mes mains.
Son souffle contre ma nuque me fit tourné la tête.
    - Je sais que c'est ton anniversaire aujourd'hui et...je n'ai pas de cadeau.
    - Pas besoin papillon.
Il grogna lorsque ces dents avaient éraflé la peau de mon coup, je poussa un léger soupire face à cette sensation plaisante.
    - Rigel...
    - Ne bouge pas papillon...
J'arrêtais tout mouvement, je fermais les yeux, ma respiration me pris de cours.
Une de ces mains caressa ma hanche tandis que l'autre se posa sur un de mes seins.
    - Rigel...
    - Ne bouge pas...
Il mordilla doucement mon lobes d'oreille me donnent des frissons dans tout le corps.
La porte d'entré s'ouvrît brusquement et le bruit des sacs de courses nous alerta.
Rigel fit un Bon en arrière me laissant surprise, il alla dans l'entrée afin d'aider Lucie et Paul à ranger les courses.

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