Chapitre 23: Ce n'est pas juse

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J' étais paralysé j'arrivais peine à bouger un doigt, ma meilleure amie embrasser le garçon qui faisait battre mon cœur à mille à l'heure. J'arrivais plus à respirer j'étouffais c'est fichu crise d'angoisse étaient elle revenus ? Voir ma meilleure amie me rappellera tellement de souvenir à la haute barde que je m'écoula au sol sombrant dans les ténèbres incapable de tenir plus longtemps sur mes deux jambes. Une chaleur qui m'étais familière ce referma sur ma peau gelé puis le bruit de la douche me parviens au oreilles. Lorsque j'ouvris les yeux je tomba directement sur le visage de Rigel, je posa mes mains sur son torse et le repoussa.
    - Lâche moi.
    - Amaryllis...
    - Non Rigel lâche moi !
    - Emie est venue te voir.
    - Me voir ? Ou plutôt te voir. Je l'ai vu t'embrasser tu sais.
    - Et je l'ai repoussé par ce que je n'éprouve aucun sentiment pour elle.
J'arrêtais tout mouvement comme si je m'étais prise un coup sur la tête. Étais je vraiment en train de faire une crise de jalousie à Rigel ? La honte, son petit sourire en coin me fis baisser les yeux.
    - Je t'ai fait couler l'eau de la douche, n'y passe pas trois ans.
    - Attends.
Il se tournis vers moi un regard inquiet sur le visage, je tritura mes doigts.
    - Tu peux rester devant la porte. Je veux dire dos à moi s'il te plaît.
Il me regarda avec de grands yeux et je me répandis compte de ce que je venais de dire.
    - Non ! Je voulais dire au cas où mes jambes me lâche à nouveau et que je me cogne la tête.
Rigel laissa un rire franc et sinistre lui échapper des lèvres puis il s'approcha de moi, ces lèvres et son souffle chaud effleurent la peau de mon oreille.
    - Je t'attend de l'autre côté sinon j'ai bien peur de perdre le contrôle devant ton corps nus papillon.
Avant qu'il ne puisse ce détourner je prends son visage entre mes deux mains avant d'écraser mes lèvres le faisant pousser un gloussement.
    - Tu n'aurais pas dû faire ça papillon.
Il agrippa l'arrière de mes cuisse avant de me soulever dans ces bras, mes jambes glissant au tour de ça taille par instinct il me plaqua contre le mur. Ça mains posé sur ma poitrine et ces lèvres dans mon coup me coupent le souffle je fus obligé de dire dans un soupire:
    - Attend Rigel je veux pas faire ça ici. J'ai jamais...
    - Aucun problème.
Il éteignit l'eau de la douche me portant toujours dans ces bras et ce dirige dans ça chambre avant de me poser doucement dans son lit. Rigel s'allongea sur moi et caressa doucement mes cheveux.
    - Dit je t'ai déjà fait peur ?
    - Parfois oui mais entre nous je pense que c'est ce côté qui m'as attiré chez toi.
    - Pourquoi ?
    - Par ce que je savais qu'au fond tu n'étais pas vraiment comme ça, que ce n'était qu'un masque.
Il sourit doucement avant de déposer un baiser tendre sur mes lèvres. Puis ces lèvres suivirent le contour de ma mâchoire, mon coup, mon épaule. De ces doigts il attrapa l'ourlet de mon t-shirt et le jette un regard interrogateur.
    - Je peux ?
Je hocha la tête lentement le laissant m'enlever mon t-shirt.
    - How Amaryllis tu es, magnifique.
    - Tu es tout aussi magnifique tu sais.
    - Mais j'ai encore mon t-shirt il faut que tu arrange ça.
Avec un petit rire je l'aida à enlever son t-shirt.
Nous souriames alors que nous nous enlevions nos vêtements, les mains de Rigel parcourus mon corps nu ainsi que les miennes parcouraient son corps nu me laissant échapper des gémissements. Il mis deux doigts dans mon intimité puis lorsqu'il s'arrêta j'ouvris les yeux surprise. Il sortis un emballage de capotes avant de faire glisser celle ci sur sa longueur et de s'aligner à moi.
     - Rigel ?
    - Oui papillon ?
    - Ça va faire mal ?
    - Je vais tout faire pour éviter que ca n'arrive.
Je lui lança un sourire avant qu'il ne s'insère en moi me faisant pousser un gémissement de douleur. Il ne bougea pas pour laisser le temps à mon corps de s'adapter à cette toute nouvelle sensation. Il embrassa mon visage de milles baisers avant de commencer des cas et viens lent et doux. Je n'avais aucune idée de si Lucie et Paul étaient là mais le seule chose que je savais c'était que la douleur avait disparu pour laisser place au plaisir. Rigel me regardait comme pour attendre un signal.
    - Rigel...
    - Oui...?
    - Vas y a ton rythme s'il te plaît.
    - Mais je veux pas-
    - Vas y c'est moi qui te le demande.
Il écrasa ces lèvres contre les miennes accélèrent ces mouvements, très vites l'orgasme nous pris de court dans des gémissements bruyants, mes jambes et mon cœur trembler face à ce plaisir soudain. J'embrassas une dernière fois Rigel avant qu'il ne se retire et s'allonge à mes côtés me prennent dans ces bras.
    - C'était-
    - Incroyable.
    - Oui.
Avec un dernier sourire au visage la fatigue me pris de cour et je sombra dans le meilleur sommeil que je n'en jamais eu.
Lorsque j'ouvris les yeux Rigel tenais ça tête sur un coude fixent mon visage encore endormi, je lui lança un petit sourire ensoleillé et il me le tandis avec tendresse avant de se pencher en avant avant de déposer un léger baiser sur mes lèvres.
     - Bonjour toi.
    - Bonjour papillon.
    -  Je ne t'ai pas demandé mais hier-
    - Si c'est à propos d'Emie y a plus rien entre nous si j'ai coucher avec elle c'était pour t'oublier mais c'était nul par ce que sortir avec ton amie me faisait pensé à toi et j'aurais jamais-
    - Rigel, c'est bon. Je voulais juste savoir ce qui c'est passer après que tu sois sorti.
Il me regarda l'air de réfléchir puis une ombre passa sur son visage pas, il fixer à présent la porte. Je le tourner pour voir qu'est ce qui avait provoqué cette expression. C'est à cet instant que mon visage ce mis à pâlir Paul ce trouver là les yeux et la bouche grande ouverte sous le coup du choque.
     - Paul...
    - C'est bon. Amaryllis Lucie veut te voir.
Je me tourna vers Rigel qui n'avait même pas l'air inquiet tout le contraire de moi.
     - Qu'est ce qu'ont-
     - Je vais demander à retourner à la Haute barde.
    - Quoi non !
    - Amaryllis si je suis venue dans cette famille c'est uniquement par ce que j'ai su que tu habiter juste à côté.
Il caressa tendrement ma joie avec un petit sourire triste, j'étais au bord des larmes. Nous étions à peine devenu un couple qu'il fallait déjà que nous nous séparions ? C'était injuste !

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