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Bonne lecture les copines
🎀🤍

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On était lundi début de semaine le temps passait vite j'étais en pose midi avec les filles au foyer.

Ça faisait une semaine que j'avais bloqué « Monsieur anonyme » et heureusement que je l'ai pas débloquer  je dort meme mieux.

mon œil..

Un moment je me lève avec les filles et on va à la viscolaire j'avais une évaluation juste après en sciences et j'avais besoin de réviser avec Tony.

( Le surveillant pour ceux qui ont oublié)

J'étais avec lui j'avais sortie les cahier mskn son bureau c'était devenu mon bureau carrément.

Ça faisait déjà de longues minutes qu'il me faisait réviser et honnêtement j'étais à ca de lâcher prise je comprenais riennnnn fallait retenir des mots clé et tout j'ai pub ce que j'ai manger hier vous croyez je vais retenir tout le cours ?

Tony : Fait un effort eh !

Je me met à rire j'en avais marre c'était chiant clairement.

Moi : Mais j'arrive paaaas ! * Je rigole en même temps *

?? : Elle est trop bête cette fille.

Quelqu'un rigole je me tourne et vois un collègue au faux îmran celui qui fait sport avec moi il était là aussi avec son collègue Leny mais y avais aussi le "vrai" îmran.

Je restais bloqué sur le vrai Îmran j'arrivais pas à croire qu'il était là en plus l'ambiance était gênante depuis la scène d'il y a une semaine.

Il me lance un regard bizarre en mode "Tourne les yeux" je me sentais oppressé le sang je tourne mon regard vers Toby qui continuais à parler dans le vide le pauvre.

Leny : Zerma tu connais pas les **** (Il parle du cours je me souviens plus de ce que c'était)

Je le regarde mal de quoi il se mêle ? On n'est même pas proche on a eu cours ensemble 2-3 fois Saye.

Moi : À croire toi tu sais, t'a meme pas su faire rentrer un seule ballon dans le panier et tu viens tu parle de moi.

Je me rappelle de la
Fois où on avais fait basket je devais me mettre dans son équipe et il avais pas su marquer une. Seule. FOIS !

Même moi j'avais marquer mdrrr et quand j'y repense je me met à rire c'était vraiment humiliant pour lui.

Leny : Ah psk toi t'a bougé même ?

Je le regard blasé j'avais mieux bougé que lui juste je faisais des poses toute les 5 minutes.

J'avais besoin de me détendre c'est si dur à comprendre?

Moi : Bref. * Je me met vraiment à révisé*

Leny : AHHH VOILÀ ! Mdrr t'assume pas !

Je répond pas je le vois rire et je sais même pas comment mon regard a dérivé sur lui encore une fois j'arrivais même plus à contrôler mes yeux ils voulaient le voir c'était même plus moi qui décidait.

Il était sur son téléphone et en même temps il parlait à la surveillante face à lui j'étais vraiment comme en transite bloqué dans ma tête j'avais l'impression qu'il y avais que lui et moi.

Mais quand son regard dérive vers le mien j'avais l'impression que la bulle dans la quelle j'étais avait explosé elle avait disparu d'une vitesse c'était trop.

Je sentais la gêne monté ON se regardait droit dans les yeux il me lâchait pas du regard je sais même pas pourquoi et moi non plus car à se moment là j'étais bloqué mdrrr j'étais vraiment bloqué premier degré j'arrivais plus à bougé ni mon corps ni mon regard.

On se lâchait pas du regard j'avais vraiment l'impression qu'on était que deux dans cette pièce ses yeux il clignait même pas une fois il avais un regard perçant grave froid sa tête entière était froide pas un sourire pas une ride rien.

Ça m'a fait un choque qu'on se regarde et là il baisse les yeux j'avais l'impression d'avoir "gagner" pourtant je me sentait pas victorieuse mais plus tôt..mal ?

J'avais l'impression qu'il m'avais mal regardé je sais pas pourquoi je sentais vraiment son regard nerveux c'était frustrant car on se connaissait pas plus que ça en sois alors pourquoi me regarder mal ?

Il fait demie tour et sort avec les garçons puis sa sonne, j'avais même pas vue que le temps était passé aussi rapidement je le voyais monté les escaliers avec les garçons et un moment il se tourne pour prendre d'autres escaliers et son regard s'était encore une fois baissé mais vers ici.

Encore une fois.

On se regarde pendant une fraction de seconde et je vous jure quand je vous dis que je me sentais persécuté c'était vraiment le cas il parlait avec ses yeux et le regard qu'il m'avais lancé j'avais l'impression d'avoir tuer un membres de sa famille.

Il est bizarre..

La journée passe tranquillement comme à son habitude j'avais fini assez tard et avais pris le bus aujourd'hui j'étais chez que vers 19h00 pile y avais beaucoup de bouchons aujourd'hui sur la route.

La routine du soir comme à mon habitude mais depuis une semaine je ressentais quand même se vide et je ne pouvais pas me mentir à moi même je le sentais je le savais c'était habituel depuis quelques mois maintenant que tout les soir j'entretenais une discussion aléatoire avec « Monsieur Anonyme ».

C'est vrai que je ressentais un petit vide mais je me dis à chaque fois que c'était peut-être un mal pour un bien il n'y avais rien de sérieux je ne le connaissais même pas ce mec et je me dis que peut-être je venais de me sortir d'une galère qui allait refaire surface dans le future.

Alors je ne l'ai pas débloqué et depuis je n'ai eu aucune autre demande que ce sois sur les réseaux ou même dans la vrai vie a part la scène du tourniquet pour laisser passer îmran avec moi il n'y avais eu plus rien de chelou.

Quelques jours passent normalement beaucoup trop normalement même ennuyant carrément je me sentais vide sah j'avais l'impression d'être justement revenu à ma vie banale et ennuyante d'avant.

1 Semaine passe puis 2 semaines et quelques-uns jours d'affilée et rien ne s'était toujours passé j'avais mis une croix rouge sur « Monsieur Anonyme » je savais qu'il n'y allait plus rien à voir mais je sentais quand même quelques choses.

Un pressentiment bizarre comme ci il allait se passer quelques chose de chelou d'inhabituel quelques chose que tu sens mais que tu n'arrive pas à décrire.

Et lors de la troisième semaine de cours un lundi après-midi cesse que j'ai ressenti en fois mille comme ci je savais qu'il allait se passer quelques choses.

Et j'aurais aimé ne rien ressentir.

Car l'épine que j'ai ressenti ce jour là elle m'avais perforé le cœur.

Il m'avais perforé le cœur.

Chronique de Meriem : - 𝑬𝒍 𝒉𝒐𝒃 𝒔𝒂3𝒃 -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant